Terreur De Cosette

manière détournée. Il donne sa propre vision de la société, une version parfois pessimiste des choses même si l’auteur se veut objectif comme dans les Misérables de Victor Hugo avec le destin tragique de Jean Valjean et la seule fin heureuse pour Cosette. Mais l’écrivain peut aussi par l’intermédiaire du personnage mettre en avant un défaut essentiel et caractéristique de la société de son époque comme l’a fait Emile Zola avec son roman Nana qui raconte l’histoire d’une jeune fille prédestiné à un

manière détournée. Il donne sa propre vision de la société, une version parfois pessimiste des choses même si l’auteur se veut objectif comme dans les Misérables de Victor Hugo avec le destin tragique de Jean Valjean et la seule fin heureuse pour Cosette. Mais l’écrivain peut aussi par l’intermédiaire du personnage mettre en avant un défaut essentiel et caractéristique de la société de son époque comme l’a fait Emile Zola avec son roman Nana qui raconte l’histoire d’une jeune fille prédestiné à un

là le but de Hugo ? « Peindre des choses vraies par des personnages de fiction » (Hugo), c’est ce que se proposent de faire les Misérables, œuvre quasi-éponyme. Il s’agit de montrer la misère de l’homme en racontant l’histoire de Jean Valjean, Cosette, Fantine, Marius et bien d’autres encore. Les personnages de Hugo se veulent être des représentants du peuple, de l’homme, et sont donc emprunts de réalisme. En effet, tout d’abord, Hugo a réalisé un travail remarquable quand à la présentation de

Les Misérables de Victor HUGO, Cosette, une enfant au service d'une femme qui la bat, suscite une grande peine : il est dit que même si "elle avait près de huit ans, on lui en eût donné à peine six", "qu'elle était "était maigre et blême" puis qu'elle ne portait "qu’un haillon qui eût fait pitié l’été et qui faisait horreur l’hiver", que "le creux de ses clavicules était à faire pleurer" et enfin qu'"il y avait au fond de sa prunelle un coin étonné où était la terreur". Cette description est d'abord

certains décors pour représenter leur vision du monde. Victor Hugo dans « Les Misérables » y a exprimé une certaine vision comme dans le passage de Cosette dans la foret Dans ce passage la petite fille semble oppressé parce monde qui veut lui mettre la main dessus comme pour la tué, elle semble étouffé et mourir de peur. Victor Hugo nous montre un monde de terreur ou ils ne fait pas bon vivre. Dans « La Faute De L’Abbé Mauret » Zola va lui aussi exprimer sa vision du monde travers ce roman. Dans le passage

Il lui donne rendez-vous dans une maison borgne, mais au moment où il va parvenir à ses fins, Frollo survient et le poignarde. 18. Paru en 1874, Quatre-vingt-treize a pour toile de fond les plus terribles années de la Révolution française : la Terreur. À l'origine, ce roman devait constituer le dernier volume d'une trilogie romanesque consacrée à la Révolution française, dont L'Homme qui rit constituerait le premier volume, mais Victor Hugo n'a pas mené ce projet jusqu'à son terme (le deuxième

D'un héros toutefois l'image auguste et chère Hérite du respect qui payait ses vertus ; Trajan domine encor les champs que de Tibère Couvrent les temples abattus. Souvent, lorsqu'en l'horreur des discordes civiles, La terreur planait sur les villes, Aux cris des peuples révoltés, Un héros, respirant dans le marbre immobile, Arrêtait tout à coup par son regard tranquille Les factieux épouvantés. II Eh quoi ! sont-ils donc loin, ces jours de

dont il examine tous les aspects, urbanistiques, démographiques, économiques et sociaux, culturels et religieux, qu’il soumet à évaluation au nom des valeurs des Lumières. Député de Paris à la Convention nationale en 1792, il est incarcéré durant la Terreur comme girondin ; il échappe à la guillotine et devient beaucoup plus modéré ; il sera député au Conseil des Cinq-Cents sous le Directoire et membre de l’Institut. Il publie en 1798 un Nouveau Paris qui fait état des transformations

dans la cathédrale et dévalisa la sacristie. Ses brigandages désolaient le pays. On mit la gendarmerie à ses trousses, mais en vain. Il échappait toujours ; quelquefois il résistait de vive force. C’était un hardi misérable. Au milieu de toute cette terreur, l’évêque arriva. Il faisait sa tournée. Au Chastelar, le maire vint le trouver et l’engagea à rebrousser chemin. Cravatte tenait la montagne jusqu’à l’Arche, et au delà. Il y avait danger, même avec une escorte. C’était exposer inutilement trois

les côtes ! Un cric ! quelque chose ! Ah ! " (l.28). - " Ah ! voilà que ça m'écrase ! " (l.33). --- > Paroles exclamatives, syntaxe heurtée et interjections traduisent la souffrance du bonhomme et apportent un effet de réel. Ce sont des paroles de terreur. B- La menace incarnée par Javert. Dans le chapitre précédent ( " Vagues éclairs à l'horizon "), le narrateur a dressé le portrait d'un homme inquiétant, Javert. Javert est l'ancien garde-chiourme du bagne de Toulon où il a jadis connu Jean Valjean