Terreur

l’intérieur du pays), religion (pratiques religieuses interdites)… Un seul syndicat est autorisé par le régime. B. Une société soumise 1. Par la terreur : le NKVD (police politique) traque tous les opposants : ceux qui contestent les décisions de Staline, les paysans qui refusent la collectivisation des terres (plus de 7 millions de paysans victimes de la terreur stalinienne). + Déportation dans les goulags (camps de travail forcé, où la mortalité est très forte à cause de la faim, du froid et des épidémies)

réalité de la terreur Stalinienne . * UN important mouvement communiste se créé en Chine , dirigé par Mao Zedong 2-- L’impact de la 2nd guerre mondiale * Le rôle joué par la résistance soviétique et l’armée rouge pendant la 2nd guerre mondiale accroît fortement l’aura de Staline et de l’URSS , particulièrement chez les intellectuels occidentaux ( en France et en Italie ) qui attribuent au régime les succès militaires soviétiques . * Le pacte Germano-Soviétique est oublié . La terreur pratiquée

socialement suspects. Le 1er décembre 1934, son familier Kirov est abattu à Leningrad par un jeune révolté, Leonid Nikolaïev. S’il n’a pas organisé lui-même l’attentat comme on l’a longtemps cru, Staline exploite l’événement pour relancer une campagne de terreur. [pic] Kirov au XVIIe Congrès, février 1934. Son assassinat sera le prétexte déclencheur des Grandes Purges Le soir même, le Politburo promulgue un décret qui supprime toutes les garanties élémentaires de défense et rend sans appel les sentences

TRAGEDIE La tragédie est une pièce de théâtre tiré de la mythologie ou de l‘histoire, qui met en scène des personnages illustres et représente une action destinée à susciter la terreur ou la pitié par le spectacle des passions et des catastrophe que ces passions provoquent. Rousseau dans sa lettre à d’Alembert sur les spectacles écrit : « la tragédie est si loin de nous elle nous présente des êtres si gigantesques si boursouflés si chimériques que l’exemple de leurs vices n’est plus guère contagieux

fin de vers engendre une attente aussi .Nous avons un réseau lexical de la violence a travers les procédés suivants : « terreur » (V1) ; « fureur » (V2) et « punir , crime » (V3) cependant cela inscrit la fable dans la tragédie. De plus nous possédons le registre tragique avec l’existence d’une allitération en r : « répand, terreur, guerre » ; des rimes masculines « fureur et terreur » puis l’hyperbole dans le vocabulaire violent qui montrent et insistent sur la dureté . Dans le procédé « Mal que le

que la population soit encadré et ce même par des moyens dans la terreur comme le goulag en URSS ou les camps de concentration en Allemagne nazie. Cette population est encadrée dans la plus grande terreur. * En conclusion, les régimes totalitaires exercent un pouvoir complet sur l’état qu’il contrôle, tant sur le gouvernement, l’économie et sur la population qui ne peut pas contester ces décisions car elles vivent dans la terreur.

homme en proie au doute, à la folie 1) Un narrateur en proie à la terreur Champs lexical de la terreur 2) Fantastique Champs lexical du fantastique Doute : somnambule : réaliste, invisible : surnaturel Il parle tout seul 3) Doute Répétitions : l.18, 19 « Moi ? Moi sans doute ? Ce ne pouvait être que moi ? », Paranoïa Conclusion : L’incompréhension et le doute se traduit par un personnage en proie à la terreur, qui tente de raisonner mais saisi par la crainte, voire la folie, n’arrive

Lénine comme nécessaire pour instaurer le communisme. Elle doit « briser la résistance des capitalistes exploiteurs » (l.5-6). Les « restrictions » de la liberté sont fortes mais ciblées contre les « exploiteurs ». Cette conception ouvre la voie à la terreur car les « capitalistes » peuvent être identifiés avec un grand nombre de personnes : nobles et marchands, mais aussi tous les propriétaires, les paysans… _ La « dictature du prolétariat » est une doctrine de Lénine préconisant l’emploi de la violence

de l’homme condamné par ses passions (Phèdre avoue à Hippolyte son amour incestueux : 2e aveu qui va précipiter le destin tragique des personnages.)  Lien avec le contexte : Ranime l’essence de la tragédie antique dont le but est de susciter la terreur et la pitié en soulignant le tragique de la condition humaine. Racine reconnait ses emprunts aux Anciens dans sa préface et y précise son but : la catharsis. (Purger les hommes de leurs passions et de leurs vices.) • Sujet posé : Démontrer que par

passions, puisqu’elle est morte à cause de son amour pour Pyrrhus. Par ailleurs, les personnages inspirent à la fois terreur et pitié. Les protagonistes de la célèbre tragédie de Racine commettent des actions, et ont une personnalité suscitant différentes émotions chez le lecteur/spectateur. Pyrrhus, notamment, a réalisé d’horribles actes suscitant la terreur, mais a également connu une fin tragique faisant ressentir de la tristesse. Ce dernier a commis d’affreux crimes ; il a assassiné