Tertiarisation Et Productivité

la rationalisation du travail conduit à l’organisation scientifique du travail imaginée par l’américain Taylor sur la base du travail à la chaîne (le taylorisme puis son application chez Ford, le fordisme) et dont l’objectif est d’augmenter la productivité. C’est le temps de la grande usine, qui crée une hiérarchie nouvelle entre la conception et la production. Les tâches se simplifient et se spécialisent pour les ouvriers qui deviennent alors « interchangeables » et dont le travail est souvent abrutissant

ou en tentant d’appliquer le concept de productivité venu du monde industriel tel quel aux services, paradoxalement obscurcit la réalité des services. De ce courant nous retenons que les thèses les plus répandues en France (J. Attali, école de la régulation, thèses marxistes et keynésiennes) voient dans les services, un secteur « éponge » (les cols blancs parasites) qui freine la croissance. Selon eux, il convient de rechercher prioritairement la productivité des services en copiant le modèle industriel

1863, qui investit dans des Stes diversifiées (voir schéma page 23 – Nathan 1ère) Progrès de la productivité (elle permet de mesurer l’efficacité du système productif d’une entreprise par exemple, dont celle-ci sera d’autant plus grande que l’entreprise produira une quantité donnée avec moins de facteurs de production utilisés pour la réaliser). Les raisons de l’augmentation de la productivité : Investissements, Qualification des ouvriers, Organisation du travail. Fin XIXème siècle :

la rationalisation du travail conduit à l’organisation scientifique du travail imaginée par l’américain Taylor sur la base du travail à la chaîne (le taylorisme puis son application chez Ford, le fordisme) et dont l’objectif est d’augmenter la productivité. C’est le temps de la grande usine, qui crée une hiérarchie nouvelle entre la conception et la production. Les tâches se simplifient et se spécialisent pour les ouvriers qui deviennent alors « interchangeables » et dont le travail est souvent abrutissant

coûts de production. En plus, hausse des gains de productivité du travail grâce à la mise en place de nouvelles machines et de gains de technologies. Ces différents facteurs vont intervenir de manière variable dans les pays industrialisés mais globalement, contribue à la baisse des coûts de production et de plus, relative baisse des taux d’intérêt donc les charges financières des entreprises sont moins importantes. De plus, les gains de productivité ont été importants mais hausse des salaires modérée

qui change la donne économique générale ; car il y a une économie sectorisée : =>Car le secteur 1 se mécanise ; invention de l’agriculture hors sol =>Développement du machinisme, mécanisation dans deux domaines 2-Tayloro-fordisme et tertiarisation Il repose sur la standardisation qui est Inventée aux E.U et qui donne la main au TFordisme elle est portée à sn apogée par Ford Cette homogénéisation du syst tech comprte d cons impor : -un besoin en M.O. accru qui signifie sur le

III- Le rôle du conseil en gestion des connaissances 7 IV- Les domaines de compétences des consultants en KM 7 VI- Nouvelles tendances en terme du conseil de gestion des connaissances 9 Conclusion 10 Introduction Du fait de la tertiarisation de l'économie, de sa complexité croissante et du recentrage des entreprises sur leurs activités ou métiers de base, les dirigeants ou décideurs ont de plus en plus besoin d'experts, de spécialistes capables de produire des études et des recommandations

marchandises qu’ils produisent. Marx pense que le capitalisme est miné par plusieurs contradictions : Il considère que l’accumulation du capital s’accompagne d’une augmentation de la part des machines par rapport à celle du travail (afin d’accroître la productivité). Mais comme la « plus-value » ne provient que du seul usage de la force de travail, le taux de profit rémunérant le capital tend à diminuer. Cette « loi de la baisse tendancielle du taux de profit », condamne à terme le capitalisme, car les entrepreneurs

3. Les pays d’accueil 4. Les secteurs touchés Qentin II. Les conséquences des délocalisations 1/ Les effets positifs d’une délocalisation a. Accroissement de la productivité et de la compétitivité b. Amélioration des pouvoirs d’achats des ménages c. Exportation d. Inflation 2/ Les effets négatifs d’une délocalisation a. Licenciement

croissance de la population active • L’accumulation du capital technique productif 3. Mais surtout par l’augmentation de la productivi té (croissance intensive) • On produi t toujours plus par uni té de travail et de capi tal • L’augmentation de la productivité du travail a des causes mul tiples . • Elle a également des conséquences sur la croissance économique C. CROISSANCE ET DEVELOPPEMENT : DES PROCESSUS INTERACTIFS 1. La croissance est souvent facteur de développement • Le développement s’intéresse