Testament Philippe Auguste 1190

gouvernants ont reçu les pouvoirs de Dieu, en vue de servir la loi divine. Ils doivent donc favoriser le bien et combattre le mal, ils doivent assurer la paix, développer la justice ou encore défendre les préceptes chrétiens de l’ancien et du nouveau testament. Cette conception a une double conséquence. Le pouvoir a une fonction principale répressive, les autorités publiques doivent réprimer les transgressions à la loi divine. On l’appelle la doctrine d’idéologie du glaive. Les autorités publiques perdent

sur le mariage, l’église construit la doctrine du mariage sacrement. Le mariage est un sacrement indissoluble. Ca persistera jusqu’à la Révolution Française. De la même manière, elle réussit à fonder sa compétence sur le testament. En effet, souvent, dans les testaments, on avait souvent des dispositions bénéficiant à l’église. * Le cadre féodal La féodalité est un régime, pas seulement politique, mais aussi un régime juridique. On a un éclatement du pouvoir, puis un éclatement du droit

«academos ». Parmi ses disciples : Aristote. Il a écrit « les lois » et « la république ». 12/ Aristote (385-323). Est un macédonien à Stagire. Aristote va vivre à Athènes (donc c’est un métèque). Le père d’Aristote est médecin du roi de macédoine (Philippe II). Il va enseigner à son fils la méthode de l’expérience : l’analyse du réel. Il observe Athènes, il n’est toutefois pas dans la vie politique. Toute son œuvre, son origine sociale, géographique va lui permettre de mettre en évidence une nouvelle

est liée au changement de régime politique. En 27 av JC, Octave devient Augustus, mais ne se considère que comme princeps. La dynastie suivante change d’attitude et estime que l’empire étant installé, les empereurs peuvent légiférer directement. (Auguste avait déjà légiféré directement à 2 ou 3 occasions) Antonin le Pieux et Marcorel, successeurs d’Hadrien, légifèrent directement et assimilent leurs lois à celles votées par les assemblées sous la république. Les constitutions impériales ont alors

la population (opinio juris) et le lieu où elles s’appliquent est le détroit (districtus). On essaie de mettre en place des grands ensembles, des grandes familles de coutumes. Ex: Le droit parisien correspond au domaine royal à l’époque de Philippe Auguste (XIIème siècle), c’est une société dans laquelle la communauté familiale est très soudée autour de l’idée de vie en commun dans un lieu. Donc ce système social va déterminer un certain nombre de règles coutumières : - La renonciation à la

a connus successivement plusieurs régimes, tout d'abord une royauté traditionnelle, jusqu'à ce que le roi soit chassé et qu'en 509 les romains ai établis la république. En 27 av J-C le système républicain est mort selon les historiens. Car Octave(Auguste) va exercer seul le pouvoir: "Imperium". On a forgé le mot d'empire, un seul homme qui a tous les pouvoir, dans un système républicain. Ex: en France avec Napoléon en 1804 avec l'empire. Les romains ont eu plusieurs types d'Etat: la royauté la république

XIIIème siècle, accentuée par la perte de la Terre Sainte et leur difficile « reconversion » en banquiers (aux papes et aux princes) suscita envie et haines. Au XIVème siècle, la puissance et la richesse des templiers inquiétèrent certains rois ; Philippe le Bel fit arrêter en masse (138) le même jour les templiers (1307), ils furent mis à la torture et avouèrent tout, une soixantaine furent brûlés vifs (en 1314, dont leur grand maître Jacques de Molay), leurs biens vendus ; le pape clément V supprima

réfèrent aux coutumes, aux usages ancestraux (usages immémoriaux). En français, le détroit de coutumes, là où les mêmes coutumes s’appliquent, s’appelle un district (districtus). 1. Coutumes du droit parisien C’est le domaine royal depuis Philippe Auguste. C’est une société dans laquelle la communauté familiale est serrée autours de la notion d’habitat commun. * La renonciation à succession future en cas de départ de l’enfant * La vente d’un bien familial est conditionnée par l’accord

entre 481 et 535, presque toute l'ancienne province romaine de Gaule, et au-delà, c'est-à-dire une grande partie du territoire de la France actuelle. Si le nom de France ne fut employé de façon officielle qu'à partir de 1190 environ, quand la chancellerie du roi Philippe Auguste a commencé à employer le terme de rex Franciæ[1] (roi de France) à la place de rex Francorum (roi des Francs) pour désigner le souverain, le mot était déjà couramment employé pour désigner l'ensemble du royaume, comme on

l'Eglise). Les textes bibliques montrent qu'un courant dualiste est apparu très tôt dans les premières églises chrétiennes (Epître de Saint Pierre). Si Manès a influencé le catharisme, les écrits de cette religion y font peu référence. Le Nouveau Testament (l'Ancien étant rejeté) semble prédominant même s'il s'agit parfois de textes non reconnus par Rome (Apocryphes). L'idée de base est l'existence de deux (dualisme) principes fondant et gouvernant le monde (1) . D'une part, Dieu, parfait et bon, qui