Testostérone

testicules produisent de la testostérone qui permet la masculinisation (descente des testicules dans les bourses, mise en place des organes génitaux externes) cf doc 1a. Le document 1b nous permet de mettre en relation la sécrétion de LH et celle de testostérone. En effet avec l’étude des deux courbes, on constate que les pics de LH surviennent juste avant ceux de testostérone. Ainsi on en déduit que la LH stimule les cellules des testicules pour produire la testostérone qui intervient dans la différenciation

par diverses hormones qui sont généralement médiées par l’axe hypothalamo-hypophysaire établissant une connexion entre le cerveau et les testicules. Ainsi la FSH contrôle la prolifération des cellules de Sertoli et la LH régule la production de testostérone par les cellules de Leydig. Ces deux hormones hypophysaires sont sous le contrôle de la sécrétion pulsatile de la GnRH par l’hypothalamus. En plus de ce contrôle endocrinien il faut ajouter de nombreux facteurs paracrines

des hormones de synthèse qui dérivent de la testostérone . Cette hormone, produite principalement chez l’homme, assure la masculinisation de l’individu en particulier par augmentation de la masse musculaire. Chez l’homme un taux de testostérone insuffisant est préjudiciable à la fonction de reproduction. Afin d’y remédier, des stéroïdes anabolisants de synthèse (comme la nandrolone ou l’énanthate de testostérone) peuvent être prescrits. Ces molécules sont détournées de

produit une faible quantité de spermatozoides Spermatogenèse deficiente. 2) Comparaison Conclusion Rat témoin La sécrétion de testostérone est discontinue pulsatile avec une fréquence de 4 pulses par 4 heures et un maximum de 20 UI/ml et un minimum de 5 UI/ml. Rat A. La sécrétion de testostérone est nulle durant 4 heures. Rat B. La sécrétion de testostérone est discontinue pulsatile avec une fréquence plus élevée que chez le rat témoin de 10 pulses par 4 heures mais un maximum plus faible

mesure où la testostérone est importante pour la libido, on peut penser que l’homosexualité pourrait être liée à une perturbation hormonale.  déficit en testostérone pour les mâles  excès de testostérone pour les femelles. Sur 27 travaux réalisés en 1987 : 3 travaux seulement montrent une baisse hormonale chez les hommes. Mais c’était des consommateurs de marijuana. Les traitements hormonaux de l’homosexualité ont toujours été un échec. Des injections de testostérone à des hommes

semaine de gestation. 1.2 - Du sexe gonadique au sexe phénotypique les testicules sécrètent des hormones qui masculinisent l'appareil génital : p.240, 241 La différenciation du sexe masculin résulte de la sécrétions d'hormones testiculaires : - la testostérone, sécrétée par les cellules de Leydig, empêche la régression des canaux de Wolf (futurs canaux déférents) et masculinise les organes génitaux externes (pénis); - l'AMH (hormone anti-müllérienne), sécrétée par les cellules de Sertolli, provoque la

mamères, le pancréas, les enzymes digestifs sont également exocrine. Voir TP ou p.220 1.2) Une fonction endocrine Le testicule produit une hormone: la testostérone. Les expériences d'ablations et de greffes (ou d'injestions) temoignent d'une télécommunication entre testicules et organes cibles. Ce sont les cellules de Leydig qui sécrètent la testostérone, cette testo est produite à un taux constant chez l'adulte (augmentation lors de la puberté). Mais ce taux auscille faiblement autour de cette valeur

perfluocarbones le salbutamol Les hormones anabolisantes : Les stéroïdes anabolisants, également connus sous le nom de stéroïdes androgéniques anabolisants ou SAA, sont une classe d'hormone stéroïdiennes liée à une hormone naturelle humaine : la testostérone. Ils augmentent la synthèse des protéines dans les cellules, entraînant une augmentation de tissus cellulaires (anabolisme), en particulier dans les muscles. Les stéroïdes anabolisants ont également des propriétés virilisantes notamment le développement

B) - Une perte du gène SRY C) - la présence d'un chromosome X supplémentaire D) - l'absence d'un chromosome X QUESTION N°4 : A : VRAI, B : VRAI, C : FAUX, D : FAUX. QUESTION N°5 Au cours de la mise en place de l’appareil génital masculin, la testostérone : A) - permet le maintien et la différenciation des canaux de Wolff B) - permet la dégénérescence des canaux de Wolff C) - permet le maintien et la différenciation des canaux de Müller D) - permet la dégénérescence des canaux de Müller QUESTION

développement embryonnaire, les voies génitales se différencient : Chez le mâle, les hormones testiculaires contrôlent la sexualisation des voies génitales. La testostérone, par les cellules de Leydig, stimule la masculinisation des canaux de Wolff à l’origine des voies génitales mâles et des organes sexuels externes. La testostérone est sécrétée par les cellules de Leydig ou les cellules interstitielles. L’hormone antimüllérienne, AMH, est sécrétée par les cellules de Sertoli et entraîne