Texte Extrait Scène Comique

5)Ce texte est un extrait de la scène 5 de l’acte III du Malade Imaginaire, une œuvre de Molière créée en 1673. L’auteur qui est certainement des plus connu de la langue française notamment pour ses comédies réalise dans cette pièce de théâtre une audacieuse satire sociale. En effet, c’est en nous présentant dans le Malade Imaginaire le personnage d’Argan, un homme profondément hypocondriaque qui cherche à imposer un médecin en tant que mari à sa fille que l’auteur

Jarry – 1896 Introduction Alfred Jarry, est un poète, romancier, écrivain et dramaturge français. Cet extrait regroupe les scènes 3 et 4 de l’acte III d’une pièce de théâtre nommé Ubu Roi. Mais en 1896, lors de sa première représentation théâtrale, la pièce fait débat. Nous pouvons nous demander quelles sont les caractéristiques de ce texte. Dans un premier nous étudierons le registre de cet extrait puis dans un second temps nous étudierons la parodie qui nous est faite de ce roi. AXE 1 : le pathétique

mettait en scène des personnages stéréotypés qui faisaient la plupart du temps preuve d’improvisation. En effet, les textes n’étaient pas rédigés pour la majorité et ne présentaient qu’un schéma narratif (appelé canevas), ce qui souligne encore l’aspect principal de la représentation dans le théâtre. De plus, contrairement au théâtre classique, la commedia dell’arte employait des actrices professionnelles pour jouer les rôles féminins. L’accent était alors mis sur la représentation et non le texte théâtral

UE 32 – séance du 2 nov. 2010 - Commentaire d’un dialogue comique Molière, Le Misanthrope, Acte I, scène 2 (extrait) Alceste, « le misanthrope», cultivé et homme de goût, est sollicité par Oronte, un mondain, qui se mêle de poésie et lui demande son sincère avis sur le sonnet qu’il vient de composer. Philinte, ami d’Alceste, assiste à la scène. (…) ORONTE « Sonnet... » C'est un sonnet. «L'espoir... » C'est une dame Qui de quelque espérance avait flatté ma flamme. « L'espoir... » Ce ne sont point

Moyen-Âge, une étude brève de la farce permettant une articulation entre ces différents genres et époques. Objectifs : Lecture : Se familiariser avec un texte théâtral, Le duel verbal, les retournements de situation, Lire un acte d’exposition et réaliser le schéma actanciel d’une pièce, Le quiproquo (ou la méprise), Les procédés comiques de la comédie – farce : L’héritage de la farce et de la commedia dell’arte, Les personnages types de la commedia dell’arte, et les classes sociale du temps de

Devoir Français n°5 1) Ce groupement de texte donne une étude d’une passion amoureuse. Dans chaque extrait, les personnages Arnolphe, Alceste, Bérénice et Phèdre sont insatisfait dans leur passion, rejetés par l’être aimé. Le 1er texte est un extrait de L’Ecole des femmes ,écrit en 1662 par Molière. Cette pièce aborde le sujet de l’éducation des filles, leur importance dans la société et l’institution du mariage. L’amour d’Arnolphe se dévoile par l’utilisation du champ lexical

version préférée des professeurs de français dans l’optique de l’étude du théâtre en Première. A propos de la mise en scène de Armand DELCAMPE Au départ, la question était plus précise : il s’agissait de savoir quelles sont les particularités, les aspects intéressants (ou gênants ?) de la mise en scène de Dom Juan par Armand DELCAMPE. Don Juan (Didier Colfs), comique, un peu poseur, est une sorte de grand enfant, un grand gamin un peu efféminé qui veut tout : intelligent mais irresponsable

pets musqués de la belle lmperia avec le sieur de Lierne, gentilhomme François. Dans quel but François Béroalde de Verville utilise ce comique des flatulences ? Dans un premier temps, nous verrons comment l'auteur arrive à apporter un côté comique au texte, ensuite dans un second temps pourquoi fait-il cela ainsi que dans quel but. Dans la première partie du texte (l.1-l.10), on assiste à une discussion qui tourne autour des pets, on nous parle au début de draps ainsi que de tapis servant à retenir

Question : Comparez les relations entre les personnages mis en scène dans ces extraits. Les quatre textes proposés (Molière, Le Bourgeois gentilhomme, 1670 ; Beaumarchais, Le barbier de Séville 1775 ; Georges Feydeau, On purge Bébé, 1910 ; Eugène Ionesco, La Leçon, 1951) mettent en évidence des rapports de pouvoir et de domination, liés à la connaissance et à la culture. Le maître de philosophie domine M. Jourdain par son savoir comme le professeur domine l’élève : les deux hommes étalent leur

un extrait de la scène d’exposition du Médecin malgré lui, comédie classique de Molière (1622-1973). Le second est un extrait de l’acte V, scène 1 de l’œuvre théâtrale de Racine (1639-1699), Andromaque. Enfin, le troisième texte a été écrit par un auteur contemporain, Nathalie Sarraute (1900-1999), Pour un oui ou pour un non. Ces textes sont donc d’époque et de genredifférents. Dans les trois textes du corpus, un personnage exprime un reproche à l’égard d’un autre. La première scène extraite de