Texte Sur Une Injustice

qu’elles ont toutes sur nos coeurs. Pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence dont elle nous entraîne. J’ai beau être engagé, l’amour que j’ai pour une belle n’engage point mon âme à faire injustice aux autres ; je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige. Quoi qu’il en soit, je ne puis refuser mon coeur à tout ce que je vois d’aimable ; et dès qu’un beau visage

et enfin ce que cela lui permet de dire. I/ Montaigne adopte dans cet extrait une démarche presque scientifique. a. Montaigne commence tout d'abord à s'interroger Il s'interroge en effet sur le bien fondé de la civilisation européenne au début du texte. • Il évoque le prestige de la France : (l.3) « nouvelleté »(pays moderne); (l.4) Rouen (symbole économique français de la Renaissance) ; (l.4) Charles neuvième (personnage important) ; le Roi (symbole du pouvoir qui est accentué par l'allégorie :

cette œuvre est surtout l’occasion de dresser un réquisitoire contre toutes les formes d’asservissement. En ce sens, De l’Esprit des lois est représentatif de l’esprit des lumières, qui prône la raison, la liberté et l’égalité et dénonce toutes les injustices, et préfigure l’Encyclopédie. Il l’est aussi du fait du choix de l’ironie comme arme de dénonciation de cette pratique barbare, l’argumentation indirecte permet, en effet, de susciter une réflexion chez le lecteur plutôt que de le convaincre en

Les philosophes des Lumières étaient souvent engagés et il leur tenait à cœur de dénoncer des causes telles que l’esclavagisme. Nous nous demandons si pour défendre une cause ou dénoncer une injustice de manière efficace, le meilleur moyen est de faire appel aux sentiments du lecteur. D’abord nous verrons qu’il peut être utile d’essayer de persuader, puis que l’on peut aussi chercher à convaincre. Pour modifier les opinions et les comportements, un des moyens imparables est de jouer sur les

d’une imperfection et même conflictuelle de la justice est présente. * Pascal : il s’agit là d’un texte plus philosophique (un texte politique et historique) qui date de la seconde partie du XVIIe siècle. On se tient là dans un contexte d’absolutisme, un état fondé sur la force et dirigé par une seule personne ayant un pouvoir arbitraire, en l’occurrence, Louis XIV . Un des enjeux de son texte est de montrer de quelle manière la justice s’applique par la force. Pascal est un janséniste. Le jansénisme

mouvement se rapproche de l'humanisme. Dans le texte que nous avons, nous fait état d'un homme à la faim tenace qui lui rappelle sa propre matérialité. Comment Jacques Prévert, grâce à la forme poétique, dénonce-t-il la misère, conséquence du système social de l'époque ? Nous verrons dans un premier temps que ce texte raconte une scène pathétique, étalant le quotidien douloureux d'une homme, puis nous verrons qu'il a une visée polémique du fait des injustices de sa situation. Avant tout, le poème

différences, sont réellement efficaces pour convaincre ou persuader le lecteur. Si l’on prend l’exemple de deux formes d’écritures courantes : la fiction et l’essai, alors on peut se demander quel est le plus efficace des deux pour dénoncer une injustice ou défendre une cause. Nous essayerons de répondre à cette question en étudiant tout d’abord les points forts de la fiction, puis en quoi l’essai peut être avantageux et enfin comment l’apologue permet une argumentation des plus convaincantes.

ses écrits ayant été forgé dans l'expérience des pires moments de l'histoire. Sa critique du totalitarisme soviétique lui vaut les anathèmes des communistes et coupe les ponts avec Jean-Paul Sartre. Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1957. TEXTE 23, section 3, 4è partie p.196 -peste à son paroxysme -combattants las mais qui ne déséspèrent pas -maldiedemble croître: *nvlle épreuve de la peste: mort d'1 enfant *long passage sur cet événemt pathétique & émotionnel 1) La mise en jeu médiatique

portrait esquissé des ... * Des interventions personnelles montrent l’implication de Montaigne dans le récit, lui donnent de la spontanéité et créent la complicité avec le lecteur ( sa mauvaise mémoire, ses ennuis avec l’interprète ) Transition : Le texte prend au début l’allure d’une fable qui pourrait s’intituler . Or, toute fable implique une leçon, une réflexion morale. II – L’étranger comme révélateur : critique de la société L’intention de tirer une réflexion de cette anecdote apparait dès

la seconde guerre mondiale, où camus s’engage dans la gauche, voire dans les mouvements révolutionnaires et écrit pour un journal clandestin appelé « combat ». Mais Camus parle du projet de l’écriture du roman dans ses carnets depuis 1942. Le texte que je vais traiter s’agit d’un extrait de la Peste qui se situe dans le cinquième chapitre de la cinquième partie, laquelle j’ai nommé « fin de la chronique et le vraie devenir de la peste » Dans cet extrait on voit l’allégresse des habitants de