Textes Fictifs

Questions sur un corpus p.110 Ce corpus synchronique et homogène est constitué de deux textes et d’un tableau du 19 ème siècle d’Andrieux : La Bataille de Waterloo. La Chartreuse de Parme et Les Misérables sont des œuvres romantiques écrites par Stendhal Et Victor Hugo. Tout d’abord nous verrons le point de vue adopté ainsi que les différents effets produits. Ensuite nous étudierons de quelle façon les textes de Stendhal et de Victor Hugo illustrent la vision du roman par Vigny. Les trois œuvres

Le corpus est composé de quatre textes de théâtre : Un extrait de Les acteurs de bonne foi de Marivaux (1757), un extrait de Le théâtre et son double d’Antonin Artaud (1938), un extrait de Le songe d’une nuit d’été de William Shakespeare (1595) et un extrait de L’échange de Paul Claudel (1901). Ces différents textes traitent de l’Illusion théâtrale. Comment le théâtre parvient-il à poser la question du réel ? Le théâtre permet de divulguer des vérités. D’ailleurs, dans Les

Silènes = marginalia d’Umberto EcoPortrait péjoratif du physique de Socrate / Portrait mélioratif de l’intérieur (savoir)Il y a un contraste entre les textes antiques et les textes comiques : (Platon/Galien = textes érudits) et ses écrits ou bien des titres inventés (La Dignité des Braguettes ou encore Pantagruel).Il instaure un dialogue fictif avec l’utilisation de la 2éme personne du pluriel ainsi qu’avec ses questions rhétoriques.Il laisse passer une même idée à travers plusieurs images : ne

des personnages.  Doit-il inventer en imitant ou laisser carte blanche à son imagination ? Cette « tâche », qui au demeurant n’a rien d’obligatoire,  ne consiste-t elle qu’en l’imitation du réel ou également en la création de personnages totalement fictifs ? Nous développerons un premier axe sur la création réaliste de personnages, un second sur leur possible caractère imaginaire et enfin nous nous interrogerons sur la limite qu’il existe entre les deux.   Nous pouvons constater que depuis les

tradition romanesque. Mais les contradictions respectives et réciproques de ces deux textes en inversent la fonction. En effet, dans la fiction au XVIIIe siècle, les avant-textes sont censés garantir l'authenticité de l'histoire racontée, ou du moins persuader le lecteur de cette authenticité. L'Avertissement et la Préface des Liaisons aboutissent au contraire à brouiller les repères. a) L'avertissement de l'éditeur fictif :   Cet avertissement se présente comme une mise en garde à l'intention du lecteur

Répondre à une question sur le corpus. Correction. Textes supports : Dumarsais, Encyclopédie, article « Philosophe », 1757 Voltaire, Le Dictionnaire philosophique, article « Liberté de Penser »,1765 Kant, Qu'est-ce que les Lumières? 1784 Marat, Les chaînes de L'esclavage, 1792. Question : Justifiez le rapprochement de ces quatre textes. Le corpus met en présence quatre textes d'une diachronie resserrée, de 1757 à 1792. C'est un premier point de convergence. Ils appartiennent tous quatre à cette

propos. Mais la littérature d'idées peut aussi être à la fois divertissante et instructive en faisant passer des idées de manière détournée. Ainsi, de nombreux auteurs ont plaidé en faveur de l'égalité entre les hommes et les femmes à travers des textes argumentés, où leurs idées étaient clairement identifiées. C'est le cas d'Olympe de Gouges, avec sa Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (1791), dans laquelle elle exhorte les femmes à prendre conscience de leur situation et à

Fiche – Les genres, le Roman INTRODUCTION Les genres littéraires sont des ensembles de textes qui obéissent à des contraintes et à des conventions communes. Les critères de reconnaissance des genres ne relèvent cependant pas de règles éternelles et sont étroitement liés à l'histoire dune culture ou encore d'un pays. Les différents genres varient aussi au niveau de la forme (poésie, récit, théâtre), de la nature du contenu (récit d'aventure ou journal intime), de la recherche d’effet (registre

remarques sur les six premiers textes du recueil Le premier : Le texte éponyme, a l'allure d'un conte, d'un apologue. Il imagine l'origine du chant du rossignol pour évoquer en réalité la source de la création littéraire chez Colette. Elle évoque les années difficiles de son mariage avec Willy et son émancipation. Elle a perdu sa naïveté mais s'est libérée par l'écriture. p. 140 l. 70-71 (les deux dernières lignes du chapitre) Nuit blanche ; Jour Gris ; Le dernier feu : textes dédiés à Missy ; célèbrent

un roman sentimental ? → Objet d’étude : le personnage de roman du XVIIè s à nos jours Etre au point sur les grandes lignes de l’Histoire Littéraire : personnages de roman : Métamorphoses du héros (voir cours ENT) → Textes et documents complémentaires Se souvenir des textes étudiés dans le cadre de l’entraînement à l’écrit. Les 2 épreuves sont complémentaires. → Lectures personnelles Quels sont les œuvres romanesques (ou non) qui pourraient être évoquées à titre d’exemple pour « nourrir