Théâtre Bolchoï

du lecteur. Effectivement, le personnage principal, en tant que héros, trouve ses origines depuis la création des œuvres littéraires : depuis l’antiquité gréco-romaine, les auteurs donnaient à leurs personnages principaux, lors des pièces de théâtres, une constance héroïque. Prenons l’exemple d’Ulysse, personnage principal et héros du poème de l’Odyssée. Ulysse est définit comme un personnage très intelligent et malin, possédant une habileté exceptionnelle dans une activité noble, comme la guerre

heures sonnèrent. Leurs paroles coulaient intarissablement, les remarques succédant aux anecdotes, les aperçus philosophiques aux considérations individuelles. Ils dénigrèrent le corps des ponts et chaussées, la régie des tabacs, le commerce, les théâtres, notre marine et tout le genre humain, comme des gens qui ont subi de grands déboires. Chacun en écoutant l’autre retrouvait des parties de lui-même oubliées. Et bien qu’ils eussent passél’âge des émotions naïves, ils éprouvaient un plaisir nouveau

mise en scène/scénographie > Éric Sanjou environnement sonore > Mathieu Hornain vidéo > Matthieu Mailhé interprétation > Georges Gaillard (Hamm) Éric Sanjou (Clov) Valérie Mornet (Nell) Christophe Champain (Nagg) aide à la production > Théâtre de la Digue Nous n'en avons pas fini avec ce qui fait œuvre, avec ce qui fait sens et ce qui en donne à notre art, à nos vies et à celle de nos spectateurs. Fin de partie arrive à point nommé, après Shakespeare, Peter Weiss, Lorca, c'est encore

La tragédie ● Les bases : Genre théâtral dont l’origine remonte au théâtre grecque antique (Ex : Eschylle, Demostene) - se cractérise par une intrigue fondée sur un dilemme raison/passion (celle-ci est destructrice et prime toujours) - destin et fin tragique des personnages, décidés par le fatum - fonction didactique (Instruire par des références mythologiques ou instructions, par exemple) - les dieux décident pour les personnages dans Phèdre - aristocratie toujours représentée, présence de confidents

PLANCHE INFO ART PLA * Brilliant and moving puppet theatre : La distance qui sépare la marionnette la marionnette à fils du marionnettiste , accentue l’émotion et la magie des mouvements de la marionnette , elle semble indépendante. Ici , le marionnettiste fait partie intégrante du spectacle. Les fils servant à animer la marionnette , sont volontairement mis en avant. D’ailleurs , au fil du spectacle , la marionnette va prendre conscience du fait que sans marionnettiste , elle n’existe pas

Recherche sur le théâtre comique du XVIIème siècle 3. Recherches sur Corneille et Molière Molière : Molière, de vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, né aux alentours du 15 Janvier 1622 (La date de son baptême) et mort le 17 Janvier 1673, est un dramaturge et auteur de comédies. Molière est issu d’une famille de petite bourgeoisie de Paris. Il arrête ses études pour se consacrer au théâtre après la rencontre de Madeleine et Joseph Béjart avec qui il fonde « l'Illustre Théâtre ». Au cours de sa

Dans l'antiquité et jusqu'à l'époque classique, le théâtre est un genre où l'on peut apercevoir la tragédie de la comédie. Cette dernière se définit essentiellement par le fait qu'elle provoque le rire . On peut alors se demander si c 'est le seul objectif qu'elle poursuit . Donc, après avoir étudié la façon dont la comédie nous divertit, nous examinerons si une comédie peut changer les habitudes et surtout corriger les défaut d'une société. Le comique de caractère, ex : L'avare, de MOLIERE

Présentation de Koltès et de Roberto Zucco I) Présentation de Koltès (1948-1989) DOC 3 _ Koltès découvre le Théâtre en voyant Médée, et Maria Casarès au Théâtre dramatique de l’Est à Strasbourg. Sa passion est née. Ignorant tout des règles classiques, il monte sa troupe et monte des pièces qu’il adapte de romans : - Les Amertumes (1970) d’après Enfance, Gorki ; ou la Marche (1971) d’après Le Cantique des Cantiques ou encore Procès Ivre (1971) d’après Crime et Châtiment de Dostoïevski. Mais

situation) C’est également le narrateur qui présente les éléments de l’intrigue selon une dramatisation concertée, réfléchie (→ renvoie au théâtre) : texte qui rappelle le théâtre (présence de candélabres, « quatre coups », réflexion de Bernard « ça joue »). L’ensemble de l’extrait s’apparente à une scène dramatique avec ses monologues, didascalies, et son coup de théâtre. Nouvelle alerte du lecteur sur l’illusion, la fiction, qu’il s’apprête à lève et à laquelle il doit croire (« c’est le moment de croire »)

lumière sauf celle venant du feu (ennemi des pantins) et celle venant des fenêtres (peut être manière d’exprimer des spectateurs qui regardent le spectacle : mise en abyme ?). Ce monde clos a déjà été annoncé dans une double page où l’on voit le théâtre sous un chapiteau à l’intérieur même d’une place plutôt renfermée et étroite. Sara Fanelli illustre cette aliénation par les fils des pantins même s’ils ne sont pas directement décris dans le texte de Collodi. Arlequin page 44-45 est celui qui a