Théâtre de Gennevilliers

03 – Personnage romanesque et vision(s) du monde p. 6 p. 12 p. 18 Le texte théâtral et sa représentation, du xviie siècle à nos jours p. 25 chapitre 04 – L'évolution des formes théâtrales depuis le xvii siècle chapitre 05 – Le théâtre et la question de la mise en scène p. 26 p. 32 écriture poétique et quête du sens, du moyen âge à nos jours p. 39 chapitre 06 – Place et fonction du poète au fil des époques chapitre 07 – Versification et formes poétiques chapitre

l'anti-héros chapitre 03 – Personnage romanesque et vision(s) du monde lE tExtE théâtrAl Et sA rEprésEntAtion, du xviiE sièclE à nos jours p. 6 p. 12 p. 18 p. 25 chapitre 04 – L'évolution des formes théâtrales depuis le xvii siècle chapitre 05 – Le théâtre et la question de la mise en scène e p. 26 p. 32 p. 39 © rue des écoles, 2011-2012. Reproduction, diffusion et communication interdites sans accord préalable de rue des écoles. écriturE poétiquE Et quêtE du sEns, du moyEn âgE à nos jours

en charge, ne relèvent pas de l’intérêt général : celles qui sont interdites par la règle de droit et celles qui font l’objet d’une réprobation sociale (exemples des sex-shops, des théâtres et des activités de jeu). Dans un arrêt CE 1916 Astruc et Théâtre des Champs-Élysées, le Conseil considère que l’activité de théâtre n’est pas un service public – et que donc elle ne satisfait pas à l’intérêt général. Maurice Hauriou considère que l’activité théâtrale « renferme des éléments de démoralisation, représente

– Martial de Laboulaye, le critère va encore être assoupli : CE 12 juin 1959 – Syndicat des cinématographes de l’Oranie, la ville avait créé un théâtre de plein air, et les gens allaient donc moins au cinéma, le CE estime que le théâtre de verdure a un intérêt public alors même qu’il n’y avait pas de carence. CE 29 décembre 97 – Cne de Gennevilliers, Cne de Nanterre : il est admis que les communes peuvent créer des SPIC facultatifs. CAA Nancy 1er octobre 98 – Communauté Urbaine du Grand

grâces à ceux qui ont eu confiance en mon travail et m’ont intégrée à leurs projets de recherche : MM. les professeurs Frank Greiner, Jean-Claude Ternaux et Marc Vuillermoz. Je remercie également les responsables de l’Université Populaire de Gennevilliers, qui m’ont permis d’intervenir dans le cadre d’un séminaire sur les figures tragiques dirigé par M. Jean-Claude Ternaux. Ma reconnaissance va aussi aux membres de l’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse pour leur bon accueil : je sais

été créées par les associations. Ces activités concernent des groupes de parole, des ateliers de parentalité, des ateliers de redynamisation ou re-socialisation (peinture, couture, jardin, beauté, écriture, informatique, gestion du budget familial, théâtre, gymnastique, banque alimentaire, cuisine), des débats sur des questions sociales ou d'actualité (APIAF de Toulouse, Du Côté des femmes de Cergy), des sorties culturelles ou des fêtes. Ces ateliers permettent aux femmes de retrouver confiance en elles

des conseillers de M.Sarkozy, que celui-ci appelle affectueusement « mon plus jeune collaborateur», pourrait se retirer s’il le souhaitait. Passionné d’opéra, cet énarque issu d’une famille d’universitaires de gauche et laïque préside toujours le Théâtre des Champs-Elysées, à Paris. Mais il est incapable de décrocher du social depuis son entrée au cabinet du ministre du travail, Joseph Fontanet, en 1969. Avec M. Sarkozy, il gère la relation avec les syndicats, fort de son expérience et de son carnet

sur la qualité de l’activité et c’est au juge de dire si l’activité est ou non d’intérêt général en fonction alors des représentations sociales propres à l’époque. Ainsi, par exemple, alors qu’au début du XX ème siècle, les représentations dans les théâtres publics n’étaient pas en jurisprudence d’intérêt général elles le deviennent en 1923 (GHEUZI). Aujourd'hui, la reconnaissance de ce qu’une activité est d’intérêt général résulte d’une part de son caractère désintéressé au plan financier et d’autre

mis à jour au sein du G.T.E. entre les deux tendances. Le groupe de Gennevilliers, avec R. Fonvieille et B. Bessières, encore membres du G.T.E., travaillait simultanément avec le Groupe de Pédagogie Institutionnelle, dans lequel se retrouvaient des enseignants de tous niveaux : instituteurs, mais aussi professeurs de lycées. Michel Lobrot, René Lourau, Philippe Grauer participaient aux recherches du G.P.I. L'école de Gennevilliers où enseignent R. Fonvieille et B. Bessières va servir de point de départ

aveugle, sur les bras. L'abbé Protiste, moyennant finance, trouve le moyen d'envoyer Robinson et la vieille à Toulouse. Une fois cette épine hors du pied, Bardamu attrape un rhume tenace qui précipite sa décision d'abandonner Rancy. Il est figurant au théâtre Tarapout jusqu'au jour où, une fois de plus, il part. À Toulouse, Il rejoint Robinson qui va se marier avec Madelon, la fille de la vendeuse de cierges. Au moment où Bardamu va prendre le train pour Paris, il apprend que la mère Henrouille «s'est