Théâtre de l'Ancre

va vers l'antagonisme de la personnalité ou de l'apparence de celui qui le porte comme dans "Le Roi au Masque d'or", vers un désir ou une obligation d'uniformité dans les "Sans-Gueule", vers le moyen d'exagérer son moi profond (rôle du masque au théâtre romain qui, par exemple montrait un large sourire pour le personnage du bouffon). Ce désir d'affirmation de soi se retrouve dans "Cratès, Cynique" et peut-être dans "Les Faux Visaiges". Monique Jutrin souligne ce rapport entre "ces jeux du masque

sur la IV e croisade Joinville et son Saint Louis Jean Froissart mène l’enquête Du Téméraire à l’Araigne : Commynes Chapitre 2 - Le théâtre : on prie, on rit La religion en scènes Sous les porches : « Le Jeu d’Adam » (entre 1160 et 1200) Sur les places : le Jeu de saint Nicolas (1200) Un grand son et lumière : le Mystère de la Passion Adam de la Halle et son théâtre populaire Sus aux bourgeois d’Arras : Le Jeu de la feuillée L’ancêtre de l’opéra-comique : Le Jeu de Robin et Marion De bien bonnes

. . . . . . . Sujet 16 • Texte de Georges Brassens (série collège, juin 2006) . Sujet 17 • Texte d’Arthur Rimbaud (série collège, juin 2006) . . Sujet 18 • Texte de Jules Supervielle (série collège, nov. 2007) . . . . . 261 ¾ ½ ¾ ¾ ¾ Le théâtre L’autobiographie 294 301 Sujet 19 • Texte de Marcel Pagnol (séries tech. et prof., juin 2005) ¾ Sujet 20 • Texte de Jérôme Garcin (série collège, avr. 2007) . . . . ¿¼½ Sujet 21 • Texte de Romain Gary (série collège, déc. 2007) . . . . ¿¼ Sujet

la IVe croisade Joinville et son Saint Louis Jean Froissart mène l’enquête Du Téméraire à l’Araigne : Commynes Chapitre 2 - Le théâtre : on prie, on rit La religion en scènes Sous les porches : « Le Jeu d’Adam » (entre 1160 et 1200) Sur les places : le Jeu de saint Nicolas (1200) Un grand son et lumière : le Mystère de la Passion Adam de la Halle et son théâtre populaire Sus aux bourgeois d’Arras : Le Jeu de la feuillée L’ancêtre de l’opéra-comique : Le Jeu de Robin et Marion De bien bonnes

plongés chacun dans nos propres pensées, en apparence du moins, et depuis près d’un quart d’heure, nous n’avions pas soufflé une syllabe. Tout à coup Dupin lâcha ces paroles : – C’est un bien petit garçon, en vérité ; et il serait mieux à sa place au théâtre des Variétés. – Cela ne fait pas l’ombre d’un doute, – répliquai-je sans y penser et sans remarquer d’abord, – tant j’étais absorbé, – la singulière façon dont 5 l’interrupteur adaptait sa parole à ma propre rêverie. Une minute après, je revins

s’y préparer pour une exploration, soit sur le littoral, soit à l’intérieur du pays. Ce projet convenait particulièrement à Nab. Entêté dans ses idées comme dans ses pressentiments, il n’avait aucune hâte d’abandonner cette portion de la côte, théâtre de la catastrophe. Il ne croyait pas, il ne voulait pas croire à la perte de Cyrus Smith. Non, il ne lui semblait pas possible qu’un tel homme eût fini de cette vulgaire façon, emporté par un coup de mer, noyé dans les flots, à quelques centaines

parle de début de roman, l’on parle également d’incipit. Ce mot provient du verbe latin incipio = commencer. * Relevez dans les deux premiers paragraphes les éléments qui appartiennent au monde marin. l.1 : « la mer » ; « l’eau » l.3 : « l’ancre » l.6 : « le peuple de la mer » l.6/7 : « ce fond » l.7 : « sable blanc »  l.8 : « l’eau » l.9 : « les poissons, grands et petits » l.11 : «  la mer » l.12 : « le corail » ; « coquillages » l.13 : « l’eau » l.14 : « les coquillages » l

de l’irréel. Un va-et-vient entre un univers réel et un univers fictif et fantastique. Ainsi la nature offre à l’homme l’épanouissement et l’imaginaire : elle l’inspire. Et dans cette nature l’oiseau occupe une place privilégiée, tel un actant au théâtre. c. l’oiseau, première métaphore de Pauline ? - Dans le premier chapitre, Pauline est incessamment comparée davantage que « réellement » décrite. C’est donc le rossignol qui va servir de lien entre le lieu et les personnages, comme un double

agitata, manent (Janus Vitalis, Roma Prisca, in Elogia, 1553). * Nouveau venu, toi qui cherches Rome au milieu de Rome, Et qui ne trouves rien de Rome au milieu de Rome, Regarde la masse de ces murailles et ces pierres brisées, Et ces vastes théâtres accablés sous une ruine affreuse. Voilà Rome: ne vois-tu pas comme les cadavres d’une telle Ville, impérieux, respirent encore la menace? De même qu’elle vainquit le monde, elle parut se vaincre elle-même: elle vainquit Pour que rien dans l’univers

s’y préparer pour une exploration, soit sur le littoral, soit à l’intérieur du pays. Ce projet convenait particulièrement à Nab. Entêté dans ses idées comme dans ses pressentiments, il n’avait aucune hâte d’abandonner cette portion de la côte, théâtre de la catastrophe. Il ne croyait pas, il ne voulait pas croire à la perte de Cyrus Smith. Non, il ne lui semblait pas possible qu’un tel homme eût fini de cette vulgaire façon, emporté par un coup de mer, noyé dans les flots, à quelques centaines