Théâtre Hébertot

Écritures textuelles et scéniques des Théâtres d'Asie Comparaison de deux mises en scène de la pièce Médée d'Euripide Supports utilisés pour le devoir : Médée, mise en scène par Jacques LASSALLE au Festival d'Avignon en 2000, réalisé par Don Kent, 2h40 Lolannu, [樓蘭女], une adaptation de Médée d’Euripide, mise en scène par Wu Hsing-kuo en 1992, 1h45 J'ai choisi de travailler sur Médée tout d'abord car c'est une pièce qui me plaît énormément. De plus, ayant visionné les deux mises en scène

de partie Une entrée dans l’œuvre pp.11 à 14 : « Intérieur sans meubles. (…) Lunettes noires. » L’ouverture de la pièce ne répond pas aux attentes de la scène d’exposition classique. Fin de partie semble redéfinir « la règle du jeu » d’un autre théâtre. La longue didascalie inaugurale fixe et fige un univers aux gestes arrêtés ou mécaniques, un monde clos et gris. Exposition paradoxale « La règle du jeu » Les questions : où ? quand ? qui ? sont caduques ici : la fonction informative de la scène

cinéma, donc il critique l’importance que les gens accordent au cinéma. Ensuite, Holden Caulfield critique le théâtre, qui fait partie de l’industrie du divertissement. Il y fait partie puisque le théâtre est une représentation que nous donnent des acteurs pour nous divertir à travers une histoire. Notamment, nous voyons cette critique quand Holden dit : « […] j’aime pas beaucoup le théâtre. C’est pas aussi dégueulasse que le cinéma, mais y a vraiment pas de quoi s’extasier. (p. 143)» Nous pouvons

et ouverte avec autant de brutalité par Oedipe (vers 1261), donne accès à la pièce la plus intime, la chambre des époux avec la couche nuptiale qui a servi de cadre à leur bonheur jusqu'à la révélation de leurs crimes involontaires. C'est aussi le théâtre de leur expiation赎罪 : l'ouverture de cette porte solidement verrouillée (vers 1261-62) met fin au secret de leur intimité et les expose aux regards de tous. Par une focalisation à plusieurs degrés (le messager et ses compagnons regardent Œdipe qui

« ars » qui est un synonyme de « technique », ceci sont des activité qui requiert un certain savoir faire (ex : »Avoir l'art et la manière », « C'est du grand art »). L'autre sens est plus moderne et restreint, il est devenu un divertissement avec le théâtre, la musique, la danse, la peinture .. Le divertissement est une activité qui permet aux hommes d'occuper leur temps libre en s'amusant et de se détourner ainsi de leurs préoccupations. L'art a-t-il pour seule fonction de nous divertir c'est-à-dire

l’action en cours d’une manière très théâtrale en plein dialogue avec une question qui s’avère être un ordre. Ce début in medias res est confirmé par l’utilisation des articles définis (« la dame », « l’enfant »,…) qui semble indiquer un avant comme au théâtre ou dans le roman réaliste (L’assommoir de Zola). Comme souvent dans les débuts de roman, pour permettre au lecteur de découvrir progressivement l’intrigue, le narrateur est en focalisation externe, se limitant aux informations apportées par les gestes

donne une impression de retenue sans ôter de sa force à la critique et autorise une description frappante par les images et l’expression des sentiments. Le texte de Giraudoux est extrait d’une pièce de théâtre (présence de didascalies, noms des personnages consignés avant chaque réplique). Le théâtre, genre « incarné », suscite l’émotion directe et permet la confrontation d’idées. Mais le texte ressortit aussi au genre du discours et dans une de ses formes traditionnelles : l’éloge officiel aux morts

Grelier - paysagiste - facteur d’orgue / Eric Verrier - plasticien - scénographe / Bernard Biniou Moreau - charpentier . France. Shishi odoshi de Daniela Colafrancheschi - paysagiste . Italie / Robert Hébrard - biologiste - sculpteur . France Le théâtre d’eau de Flavia Nasio - architecte . France. 19 19 20 21 22 Œuvre visuelle : 23 Danse avec les carpes des jardiniers du Conservatoire . France. Potager dansant des stagiaires du Conservatoire . France. La vague de coquillages de Thomas

répondant à la question du roi Peter, qui veut savoir qui il est, par de nouvelles questions : « Est-ce que je le sais ? » (p 45), « Suis-je cela ? Ou cela ? Ou cela ? » (p 45, en enlevant plusieurs masques). Les masquent sont représentatifs du théâtre de Guignol et placent le comédien au rang de pantin. Cette confusion de l’identité due à l’illusion du déguisement perd le personnage : lorsque Valerio déclare : « En vérité j’ai peur, car je pourrais ainsi m’éplucher, m’effeuiller tout entier » (p

abondamment disserté sur le sens et la recevabilité transhistorique de ces classifications. Le XIXème siècle, récupérant et remaniant ces données, distingue pour longtemps trois grands genres, l’épique (roman), le lyrique (poésie) et le dramatique (théâtre). Mais ce qui est beaucoup plus important, c’est qu’à l’intérieur du genre narratif, défini par le fait qu’un narrateur raconte les faits et gestes des personnages, la frontière soit parfois délicate à tracer entre le roman et d’autres sous-genres