Theatre Persuader Emouvoir

variante , en évoluant la littératures a multipliés ces fonctions . Montesquieu, écrivain et philosophe du XII° siècle, affirmait : « je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé » et trois siècles plus tard, Daniel Pennac est persuadé que « le temps de lire dilate le temps de vivre ». La lecture apparaît donc, quelle que soit l’époque, comme un moyen de distraction inégalable. Mais Elle possède aussi d'autre fonctions. En effet la distraction est rendue possible tout d'abords

METHODES : l'écriture d'invention – écrire un discours Objectif: maîtriser la dimension oratoire du discours (texte censé être prononcé devant un public) pour convaincre et/ou persuader- entraîner à mieux lire/écouter avec esprit critique les discours réels.... 1° étape: identifier la situation d'énonciation -- Qui parle ? Le sujet vous impose en général l’identité de l’orateur (personnage fictif, auteur, homme politique…). Vous devez adapter en conséquence l’expression que vous allez employer

de chose, ___car toute la vie n'est qu'un songe, ___et les songes rien que des songes. ___Calderón, La vie est un songe, deuxième journée, scène 19. Cette pièce La vie est un songe (1635) est une comedia écrite en vers. Elle s'inscrit dans le théâtre baroque espagnol et propose une réflexion sur l'illusion et la réalité, le jeu et le songe. La pièce est découpée en trois journées ; deux intrigues s'entremêlent. Nous allons étudier le monologue qui clôt la deuxième journée. L'histoire en bref

L’auteurL’époqued’écriture, de l’histoire.Le mouvement littéraire ou culturel.(Les lumières)Le genre de l’œuvre. (Roman, théâtre, poésie...)La fonction du texte dans l’œuvre. (incipit, exposition, excipit, dénouement...)Les thèmes dominants.La tonalité(lyrique, réaliste, pathétique, ironique...)La composition du texteUn ou des procédés marquantsL’enjeu du texte : but du texte (Dénoncer, raconter, décrire, émouvoir, persuader, faire rire...)II Analyser le texteComposition du texteRepérer les étapes, les mouvements du texteS’appuyer

La comédie et la tragédie au XVIIe siècle I Les règles de la tragédie classique au XVIIe siècle A La vraisemblance et la bienséance 1 La vraisemblance Vraisemblance La vraisemblance désigne la cohérence qu'une pièce de théâtre doit avoir. Elle sert à renforcer la réalité d'une pièce : le spectateur doit pouvoir la considérer comme vraie. Cela ne veut pas dire que les faits sont véridiques, mais qu'ils sont crédibles. Dans Bérénice de Jean Racine, la vraisemblance veut que Titus n'épouse pas Bérénice

l'assemblée se déclare inséparable du roi, on l'installe dans un nouveau bâtiment au tuileries. D'architecture amphithéatrale. Seulement problème de vue et d'acoustique. -Transferts dans Un nouveau bâtiment dans la « salle des machines » d'un théâtre en 1789. Avec toujours les mêmes problèmes architecturaux. ON ne s 'entends pas dans cette salle. -Jusqu'en 1795, la réflexion va se poursuivre au palais bourbon. Entre 1789 et 1795, on va avoir beaucoup de projets pour des salles d'assemblées

face à la vie qui l’attend. Il est ainsi intéressant d’étudier comment Diderot arrive aussi bien à émouvoir le lecteur et à faire passer sa satire des couvents ? Nous verrons dans un premier temps, la manière dont le récit inspire au le lecteur de la compassion. Dans un second temps, nous mettrons en évidence la critique de Diderot des institutions religieuses. Diderot cherche dans ce récit à émouvoir le lecteur. Il crée ainsi cette compassion du lecteur par les discours narratif et descriptif,

est efficace car elle traite de tous les thèmes et est accessible à tous. Tout d’abord, la littérature engagée est efficace car elle joue le rôle de porte parole des gens et traverse la censure ; c’est le cas de certains apologues, pièces de théâtre et romans. Dans les apologues, en effet, certains auteurs se servent de l’ironie pour échapper à la censure. Il en est ainsi pour « Candide » de Voltaire. Ce conte philosophique, publié en 1759, met en scène Candide, héros principal, qui constatera

réellement, vraiment… | Expressions toutes faites | à mon avis, sans doute, d’après ce qu’on dit… | à coup sûr, sans aucun doute, c’est sûr, c’est évident… | Verbes d’opinion | je crois, je pense… | je sais, j’affirme, je certifie, je suis persuadé… | Verbes d’état | sembler, paraître… | être | Verbes impersonnels | il n’est pas sûr que, il est possible que, il paraît que, il semble que… | il est certain que, il est sûr que, il ne fait aucun doute… | X – La voix passive, la tournure

nombreuses interprétations de ce mot. Voici les 2 principales : La définition d’origine sophistique selon laquelle la rhétorique doit persuader. Il s’agit de la conception héritée D’Aristote qui la définit comme la faculté de considérer, pour chaque question, ce qui peut-être propre à persuader. Un sophiste (du grec ancien sophistès : « spécialiste du savoir », formé à partir de sophia : « savoir, sagesse ») désigne à l'origine un orateur et un professeur d'éloquence