Theodore Roosevelt

(3/9) l’ample mouvement d’une chevelure soudain dénouée, et qui se déploie. Il rend d’abord l’impression physique, l'émotion sensuelle que faisait ressentir au poète le caractère animal de la chevelure de Jeanne Duval, cette Haïtienne de Jacmel que Théodore de Banville décrivit dans ses ‘’Souvenirs’’ : «C’était une fille de couleur, d’une très haute taille, qui portait bien sa brune tête ingénue et superbe, couronnée d’une chevelure violemment crépelée, et dont la démarche de reine, pleine d’une grâce

mouvement verra le jour. Les auteurs principaux du réalisme sont Flaubert, Stendhal, Balzac… L’école parnassienne : Gauthier en est le précurseur avec Leconte de Lisle comme « chef ». Accompagné d’autres membres tel que Coppée, Mallarmé, Théodore de Banville, etc. Ils se réunissent depuis environ 1850 chez l’éditeur Alphonse Lemerre et crées une revue poétique Le Parnasse Contemporain où fut publié leurs œuvres en trois recueils de poésie : un en 1866, un autre en 1871 et le dernier en 1876

parnassiens à partir de 1866. Le Parnasse apparaît en réaction aux excès lyriques et sentimentaux du romantisme avec des auteurs tels que Catulle Mendès, Sully Prudhomme, José-Maria de Heredia, François Coppée, Léon Dierx, Théophile Gautier et Théodore de Banville les précurseurs du mouvement. Leconte de Lisle est attaché à la réalité historique et à la beauté de transcription. Il cherche son inspiration parmi les peuples barbares ou les natures exotiques. Il met en œuvre une poétique de la distance

On retrouvera toutes ces valeurs dans la littérature, la peinture et la musique Le mouvement romantique se base sur le rejet du rationalisme et du classicisme, s’affranchissant de l’étroite réalité et du froid bon sens. Quelqu'un de ses artistes: Théodore Géricault (1791 -1824 ) Eugène Delacroix (1798-1863) II/Artiste: Caspar David Friedrich: Caspar David Friedrich, né le 5 septembre 1774 à Greifswald en Poméranie suédoise, est le chef de la peinture romantique allemande du XIXe siècle. Son enfance

 I/Le fond : A) la description : On a au premier plan un radeau de fortune au cœur d’une mer agité. Radeau sur lequel on distingue un amoncellement de corps. Sur ce radeau on voit a droite un groupe d’individus qui semble agité, autour d’un noir ou d’un métis qui est juché un pied sur un tonneau et autour de lui des hommes le portent et agitent leurs bras, ils semblent montrer un bateau à l’horizon. Le métis agite des chiffons blancs et rouge. On ne sait pas si le bateau s’éloigne ou se

«Anthologie de poèmes» ~Sommaire : ¤ Rondeaux : - Rondeau de printemps, René Charles d'Orléans - La nuit, Théodore de Banville ¤ Ballades : - La ballade des pendus, François Villon - Ballade des dames du temps jadis, François Villon ¤ Odes : - Ode à Cassandre, Pierre De Ronsard - Le printemps, Pierre De Ronsard ¤ Sonnets : - La cloche du soir, Jules Vernes - Quand par le dur hiver..., Jules Vernes Rondeau de printemps Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de

conception du travail sur l’expression, une influence certaine sur les poètes ultérieurs (notamment sur les symbolistes) et sur Mallarmé. PRINCIPALES ŒUVRES 1852 Théophile Gautier, Émaux et Camées Leconte de Lisle, Poèmes antiques 1857 Théodore de Banville, Odes funambulesques 1862 Leconte de Lisle, Poèmes barbares 1869 Sully Prudhomme, Les Solitudes 1884 Leconte de Lisle, Poèmes tragiques 1893 José Maria de Heredia, Les Trophées TEXTES : 1. « L’Art » de Théophile

Le Radeau de la Méduse de Théodore Géricault 1817-1818 Il reprends les codes de David , pour les corrompes. L'histoire de la frégate de la Méduse → vers le Sénégal (400 pers à son bord) Le commandant(faumaré) veut aller plus vite , les matelot ne sondent pas l'eau , et il est trop tard le bateau s'enlise , et le bateau coule très lentement , ils s'enfuis avec le Roi et ses proches dans des canots de sauvetage a moitié remplis. Il y a un ingénieur qui construise le radeau et il n'y a que 5 pers

Théodore Géricault commence son apprentissage de la peinture à 15 ans. Ses œuvres de jeunesse représentent principalement des chevaux et des sujets militaires. A 25 ans, il part un an en Italie et y découvre les peintres de la Renaissance. Il est alors particulièrement impressionné par les œuvres de Michel-Ange. Il admire également un autre grand peintre, le maître flamand Pierre Paul Rubens. De retour en France, il s'intéresse et peint un événement historique et politique d'actualité. En

Hugo un poème de sa composition, intitulé « La Mort ».  A 21 ans, Verlaine est chargé de la critique littéraire dans la revue "L'Art", il écrit des articles élogieux sur Charles Baudelaire et Victor Hugo. Il rencontre les parnassiens, François Coppée, Théodore de Banville, José-Maria de Heredia et Leconte de Lisle. Son père meurt la même année. Il fréquente les cafés et salons littéraires parisiens puis, en 1866, collabore au premier Parnasse contemporain et publie les Poèmes saturniens. On y sent l'influence