Theodore Schultz

Hugues, René Maizeroy, Jean Richepin, etc. Sous des pseudonymes — Colombine, Pompon, Santillane, etc. — se cachaient des écrivains connus. Tout aussi importants étaient les feuilletons, signés par Émile Zola, Hector Malot, Paul Bourget, Georges Ohnet, Théodore de Banville, Octave Mirbeau etc. Jules Vallès y publia son « Journal d'Arthur Vingtras » (janvier-mai 1882). De son côté, Maupassant y publia « Une vie » (février-avril 1883), « Bel Ami » (avril-mai 1885), « Mont-Oriol » (décembre 1886-jévrier 1887)

En premier lieu nous pouvons dire que la poésie nous éloigne de la réalité en nous embarquant pour des voyages .En effet nous pouvons dire que beaucoup d’auteurs du 16 ème et 17 ème utilisés le thème du voyage dans leur poème .Ils nous invitent à laisser le quotidiens routiniers pour des endroits inconnues . Ils veulent nous changer les idées avec de merveilleux et grandiose paysages .Ils encouragent a fuir le quotidien en réalisant des utopies .En effet dans le poème de Charles Baudelaire ‘ l’invitation

sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il préconise la liberté et le naturel en art. Tous les poèmes ne sont pas hermétiques et mystérieux, de par leur style, en effet «Le sang de la coupe » de Théodore de Banville est un poème facile de compréhension (rajouter quelque chose sur le poème, rimes, strophes,...). Ces poèmes sont écrits dans un but précis ; par son réalisme, Victor Hugo nous montre, dans « Mélancholia », les conditions déplorables

n’était pas poète. L’impression de spontanéité que suggère chacun de ses écrits, cela révèle l’examen d’un autre savant, plus concerté qu’il ne paraît. Ici, plusieurs références littéraires émaillent ses poèmes : str1 : le radeau de la Méduse / Théodore Gericault grand peintre romantique. Accident dramatique marin. str2 : Ses fluctuat nec mergitur – devise de Paris, il existe une amitié inubmersible. str3 : Castor et Pollux, recours à la mythologie, fils jumeaux de Jupiter et Léda, inséparable

contrairement au romantisme prend son inspiration ailleurs que dans le désordre de ses sentiments, les références viennent plutôt de l’architecture, de l’Antiquité et de scènes fameuses de l’histoire. Cette école est celle des poètes comme Théophile Gautier, Théodore de Banville et José-Maria de Heredia avec Trophées. Puis ce fut le symbolisme connu pour l’attention particulière des poètes à la musicalité du vers, à la valeur signifiante de la musique dans l’écriture poétique. Les poètes symbolistes aiment

sur les méditations poétiques d’Alphonse de Lamartine. D'autres y verraient au contraire l'ouverture d'une cantate de Joseph Autran. C’est le poème symphonique le plus célèbre de Liszt. La Peinture Romantique : Théodore Géricault A)La Formation Peintre français du XIXe siècle, Théodore Géricault est né le 26 septembre 1791 à Rouen et est mort le 26 janvier 1824 à Paris. Incarnation de l’artiste romantique, sa vie courte et tourmentée a donné naissance à de nombreux mythes. Géricault étudie dans

faire nos histoires, nos idées, sur ce qui arrive à l’instant où nous regardons le tableau. Tout est calme, reposant, il y a un sentiment de sérénité qui flotte autour de nous. Mais des œuvres picturales comme le Radeau de la Méduse de Jean-Louis Théodore Géricault, ne nous font pas ressentir le même sentiment. Ici l’œuvre est plus forte, les couleurs plus sombres, les esprits y sont déchainés du fait de la mort imminente les attendant. Mais sur les faces de certains, ont apercevoir une lueur d’espoir

taille, qui portait bien sa brune tête ingénue et superbe, couronnée d’une chevelure violemment crespelée, et dont la démarche de reine, pleine d’une grâce farouche, avait quelque chose à la fois de divin et de bestial. » C’est en ces termes que Théodore de Banville évoque la belle Jeanne dans ses Souvenirs. Baudelaire fait sa connaissance en 1842, à son retour de voyage: sans doute lui rappelait-elle "l'idéal de la beauté noire". Elle habitait au 6,rue de la Femme-sans-tête, près de l'hôtel Pimodan

des orphelins, parus dans La Revue pour tous en janvier 1870. L’orientation poétique est alors celle du Parnasse dont la revue collective, Le Parnasse contemporain. Le 24 mai 1870, Arthur, alors âgé de 15 ans, écrit au chef de file du Parnasse, Théodore de Banville, pour transmettre ses volontés : « devenir Parnassien ou rien » et se faire publier. Pour cela, il joint trois poèmes : Ophélie, Sensation et Credo in unam. Banville lui répond, mais les poèmes en question ne paraîtront pas dans la revue

Un nouveau professeur, Georges Izambard, vient enseigner dans le lycée d’Arthur. Grand amateur de poésie, l’enseignant l’initiera à cet art. Rimbaud découvrira notamment la poésie parnassienne. En mai, Arthur adresse quelques-uns de ses poèmes à Théodore de Banville, afin d’être publié dans le Parnassien contemporain. Mais cette tentative reste infructueuse. En août, la France entre en guerre contre la Prusse. Arthur, alors âgé de 16 ans, fait sa première fugue à Paris. C’est son professeur Georges