Theophile Gautier De La Mode

.......................................................................21 Litterature…………………………………………………………………………22 Introduction En linguistique, un archaïsme est un emploi lexical ou grammatical passé de mode, qui n'est plus d'usage depuis fort longtemps. L'avancée de l'industrialisation, de l'urbanisation et de l'informatisation de la vie quotidienne fait considérablement évoluer le langage et le vocabulaire contemporains. Les archaïsmes obéissent généralement

sensibilité exacerbée, dont les sentiments qu'ils le subjuguent sont incontrôlables. Ensuite, le poète est celui qui voit autrement, qui porte un regard neuf sur ce qui est souvent ignoré par les autres hommes. Il a pour certains un rôle de visionnaire. Son mode de vie décalé peut aussi être considéré comme un facteur de sa différence. Enfin, les poètes dépeignent leur univers et leurs impressions en travaillant un langage particulier, de façon esthétique et inaccessible à beaucoup d'autres hommes. Les

qui comme Ulysse, a fait un beau voyage est un sonnet (forme poétique fixe née en Italie au tout début de la Renaissance, c’est-à-dire à la fin du XVème siècle, et composée de deux quatrains et deux tercets) mélancolique (la mélancolie était à la mode au XVIème siècle). Dedans des Prez je vis une Dryade Dedans des Prez je vis une Dryade, Qui comme fleur s'assisoyt par les fleurs, Et mignotoyt un chappeau de couleurs, Echevelée en simple verdugade. Des ce jour là ma raison fut malade

l’approche biographique………………….……...21 CHAPITRE II : L’étude des personnages principaux entre la fiction et la réalité. I. RESUME DE L’HISTOIRE « LA DAME AUX CAMELIAS………….25 II. L’ETUDE DES PERSSONAGES DU ROMAN…………………..…..28 a. « Marguerite Gautier » le personnage fictif. b. « Marie Duplessis » la personne réelle. III. LES FIGURES DE RESSEMBLECE ET DE DIFFERENCE ENTRE MARGUERITE ET MRIE……………………………………………….….31 c. Les figures de ressemblance. d. Les figures de différence. e. « Armand

->intervention humaine C’est par le regard que je crée l’œuvre d’art car je donne mon jugement, mon sentiment. Une œuvre d’art n’est pas un objet comme un autre. L’œuvre d’art ne vise absolument pas à remplir une fonction utilitaire. Théophile Gautier, Poésies complètes, il est à la fois un poète et un théoricien de l’art. Il dit « dès qu’une chose devient utile, elle cesse d’être ». Autrement dit à partir du moment où une œuvre d’art devient utile, elle n’est plus une œuvre d’art. Elle devient

(Salomon devient Soliman), viennent se superposer des références maçonniques, un discours messianique à coloration socialiste affublé des oripeaux d'une fable kaïniste et prométhéenne elle-même prélevée sur le corpus des légendes préadamites remises à la mode par l'érudition orientaliste dès le XVIIè siècle. Ce petit récit constitue aussi une mise en abyme de l'hétérologie caractéristique du genre récit de voyage et particulièrement important dans le Voyage en Orient, où il incarne la volonté de Nerval

que firent d’autres écrivains car il existait une tradition littéraire sur ce pays. Elle remontait à Bernardin de Saint-Pierre et à ses ‘’Observations sur la Hollande’’ (1818). On peut considérer comme sûr que Baudelaire les avait lues. Théophile Gautier avait, sans originalité, recueilli la tradition : la Hollande d’’’Albertus’’ (1832) évoque «toute une poésie de calme et de bien-être», et I'on ne prendrait pas la peine de relever ce texte si le mot «calme» ne se retrouvait chez Baudelaire.

particulièrement dans La Wallonie. Le théoricien français du symbolisme, c’est Jean Moréas. Le symbolisme s’oppose clairement au mouvement parnassien, mis en route par Théophile Gautier. Comme auteurs, comme écrivains symbolistes on peut citer Mallarmé, Rimbaud, Baudelaire, et comme auteurs parnassiens, on peut bien évidemment citer le comte de Lille, Gautier, Verlaine. Les symbolistes s’intéressent tout d’abord au monde des sentiments : l’amour, l’angoisse métaphysique et existentielle, la peur. Ils sont convaincus

comporte une multitude de tendances contradictoires mais peut se concentrer autour de quelques principes communs : goût de la sensualité, des extrêmes, de l’ornementation, du langage à effets. Les genres privilégiés du baroque sont la poésie avec Théophile de Viau, Pierre de Marbeuf ou SaintAmant, et le théâtre, influencé par les auteurs espagnols (par exemple l’Illusion comique de Pierre Corneille)[4] . La variété de la littérature française du XVIIe siècle Durant la période de transition qui va

tout à fait inconnu ou du moins oublié, lorsqu’en 1847 Mme Allan-Despréaux, qui avait joué à Saint-Pétersbourg, avec le plus grand succès, Un Caprice, le fit admettre à la Comédie-Française. Ce fut une révélation. « Depuis Marivaux, écrivait Théophile Gautier, il ne s’est rien produit à la Comédie-Française de si fin, de si délicat, de si doucement enjoué que ce chef-d’œuvre mignon enfoui dans les pages d’une revue et que les Russes de Saint-Pétersbourg, cette neigeuse Athènes, ont été obligés de