Théorie des Formes

Vers -370, Platon traversa, selon Léon Robin1 et Pierre-Maxime Schuhl, une longue crise intellectuelle, durant laquelle il s'interrogeait sur sa théorie des Idées (interrogation qui traverse les dialogues du Parménide et du Sophiste2. Il prit conscience de la difficulté d'association3 non symétrique des Idées avec les choses sensibles, ainsi que de l'association des Idées entre elles, de même que la communion (κοινωνία / koinônía) entre les Idées et le Bien4,5. Écrit aux environs de 360 avant J.-C

dans sa transcription sur un support), et qui engage un raisonnement (qui produit et valide la démonstration). 2) L’origine de la démonstration : Aristote est le premier à analyser la démonstration. Il le fait dans le cadre de la théorie du syllogisme, théorie des formes de raisonnement. La démonstration est un syllogisme dont les prémisses sont évidentes et indémontrables. Averroès prolonge la pensée d’Aristote en distinguant les démonstrations quia, relative à l’existence et qui vont des effets

transcription sur un support), et qui engage un raisonnement (qui produit et valide la démonstration). - L’origine de la démonstration : Aristote est le premier à analyser la démonstration. Il le fait dans le cadre de la théorie du syllogisme, théorie des formes de raisonnement. La démonstration est un syllogisme dont les prémisses sont évidentes et indémontrables. Averroès prolonge la pensée d’Aristote en distinguant les démonstrations quia, relative à l’existence et qui vont des effets

I – Introduction/analyse du sujet On se pose la question peut-on être sur d’avoir raison ? La raison est capable de présenter des théories, mais on peut se demander si elles correspondent à la réalité ou pas. Le sujet interroge la possibilité d'être sûr d'avoir raison, ce qui repose donc sur la certitude avec l’expression « être sur de » qui elle-même peut être comprise à différents

deux principes : l’un subissant, comme la matière, et appelé récepteur universel - l’autre agissant, comme une cause, et qu’il rattache à la puissance du dieu et du Bien. Platon développe une réflexion sur les Idées communément appelée théorie des Formes ou théorie des Idées : celle-ci interprète le monde sensible comme un ensemble de réalités participant de leurs modèles immuables. La Forme suprême est, selon le contexte, tantôt le Bien, tantôt le Beau. La philosophie politique de Platon considère

dialogue Socratique ou dialogue apporithique. C'est à dire que la question de départ ne reçoit pas de réponse. Ensuite, on distingue les dialogues de la maturité et les dialogues de la vieillesse. Dans ce type de dialogue, Platon développe ses propres théories. Qu'est ce que le beau ? < Différent> Qu'est ce qui est beau ? Socrate amène toujours son interlocuteur à réfléchir sur sa propre réponse. Pour un sophiste, toute discussion est un combat verbale. Le sophiste est toujours dans un rapport

Le texte que nous avons à expliquer est extrait de « la Préface aux Nouveaux essais sur l’entendement humain », œuvre écrite par Leibniz. L’objet principal dont traite le texte est le problème de l’origine de la connaissance. Depuis ce qu’apportent en réalité nos sens, on nous amène vers un problème de différenciation des connaissances entre les vérités particulières et les vérités nécessaires, pour expliquer le rôle de nos sens dans l’acquisition de nos connaissances. Ici, Leibniz tente de nous

La théorie des Idées est la caractéristique fondamentale de la philosophie platonicienne. C'est aussi ce qui, à nos yeux de modernes, paraît le plus aberrant. On considère souvent la théorie des Idées comme une loufoquerie qui n'a plus d'intérêt qu'historique, pourtant elle a joué un rôle important dans toute la suite de la philosophie (fut-ce à titre d'obstacle à éviter), et elle continue à avoir du poids dans la philosophie des mathématiques : un philosophe moderne comme Frege peut être considéré

La Vérité tel que nous la concevons est en général un fait solide, sur lequel on peut s’appuyer, mais il arrive que cette proposition que l’on tenait pour vrai se voit remplacer par une autre quiaprès réflexions parait plus juste. Cela nous amène à nous demander « Existe-t-il des vérités définitives ? » D’abord qu’est ce que la vérité, on peut la définir comme l’adéquation des faits avec lapensée ou encore ce qui relève de l’intelligible et non du sensible. Cette vérité est t elle « définitive

professionnels, comme les critiques (journaliste) qui passent leur temps dans les cinémas, au restaurant, à lire des livres. On peut donc former son goût, il y a des jugements esthétiques qui sont plus pertinents que d’autres. On trouve chez Hume un parallèle intéressant : il suggère qu’on peut former son jugement esthétique de la même façon qu’on peut former son goût face au vin. Il refuse donc l’idée que tous les jugements esthétiques se valent. L’idée du beau La thèse qu’on veut illustrer