Théorie des miasmes

« continent » dans les sciences du nouveau. La notion d’infections n’était pas la même qu’aujourd’hui. Au 19eme siècle une infection, c’était au sens propre, c’était quelque chose qui avait mauvaise odeur. « les effluves ou exhalaisons des marais, les miasmes nés du corps de l’homme malade, et les émanations putrides résultantes de la décomposition des substances animales3 » Contrairement à l’infection, il y avait la contagion, définie comme : « Ayant pour racine le verbe tangere, tactum, toucher. Il

homme, à tout heure, deux postulations, l'une vers Dieu, l'autre vers Satan " (Baudelaire). L'homme est condamné à vivre ces deux forces. De plus le ''Spleen'' est un mot anglais qui désigne la rate : en effet, on croyait autrefois, selon la théorie des humeurs d'Hippocrate, que le sentiment de mélancolie était d'origine physiologique et, plus précisément, qu'il venait de la bile noire sécrétée par la rate. Le mot Spleen traduit donc chez Baudelaire l'ennui et le dégoût généralisé de la vie

développe la ligature des vaisseaux, médecin de guerre. Il est le père de la chirurgie actuelle. V. Semmelweis Hongrois du début 19e siècle Il préconise le lavage des mains entre chaque patiente lors des accouchements pour diminuer les fièvres. Sa théorie s’est développés ensuite et est tjs d’application. VI. Alexander Flemming Ecossais du 19 et 20e siècle On lui doit la découverte de la pénicilline en 1928. Il obtiendra d’ailleurs le prix Nobel en 1945. VII. Pasteur Scientifique français du

C'est un texte qui est extrait de la vraie chronique de Jean le Bel qui retrace la peste noire de 1348 à 1342 .Jean le Bel nous parle de la conséquence qui provoque une peur générale et un mouvement de panique. Jean le Bel est né en 1290 et meurt en 1370 , il est d'origine noble et devint chanoine à la cathédrale de Saint Lambert de Liége , tout en menant une vie mondaine et ne se privant d'aucun plaisir . Il combattit dans l'armée anglaise d’Édouard 3 , apprit la vie de chevalier au coté de son

lutter contre un fléau qui s’apparente à l’époque à une invasion. Apparu en Inde vers 1817, l’épidémie ne cesse de se répendre en alertant sur son passage les autorités alors que les modes de transmissions restent encore ignorés. Deux grandes théories s’affrontent : Celle de la contagion et celle de l’infection. Les médecins reconnaissent la dangerosité de cette maladie dont on peut suivre le parcours, la progression village après village, ville après ville, pays après pays. Le médecin du

la vue et l’ouïe sont des sens objectifs alors que le goût et l’odorat sont des sens subjectifs, ne permettant qu’une perception imprécise de la matière et servant davantage la jouissance que le savoir. Ce maitre de la raison pure, affirme dans sa théorie de l’aréisme que l’odorat est la perception forcée des particules qui altère la pureté originelle de l’air. Cette doctrine s’illustre avec le concept de la « menace putride » où les odeurs sont considérées comme la sources de maladies et limitent

qui date de 1871, a été écrit au moment où Rimbaud affirmait son désir de se faire « voyant » : « Le Poète se fait voyant, par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens » (Lettre du Voyant au poète Paul Demeny, 15 mai 1871) Cette théorie de la voyance se définit comme une révolte, un refus de l'ancien langage poétique. On qualifie cette révolte de créatrice parce qu'elle veut aboutir à une connaissance de l'inconnu, de soi-même et à un dépassement des limites poétiques déjà établies

témoignages insistent sur le contraste entre les réjouissances et la mort certaine. a) au point de vue médical, en 1832, on ne sait pas grand chose du choléra. Cependant, plusieurs conceptions, plusieurs théories s’affrontent . - maladie infectieuse : « foyers d’émanation délétères, miasmes pestilentiels… ». C’est une conception sociale et hygiéniste avec des motifs sociaux et politiques (insalubrité des logements des pauvres, urbanisme et hygiène sans plan d’ensemble de la part des ministres

étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde, Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde Avec une indicible et mâle volupté. Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides; Va te purifier dans l’air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l’existence

Par-delà les confins des sphères étoilées, Mon esprit, tu te meus avec agilité, Et ? Comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde Avec une indicible et male volupté Envole toi bien loin de ces miasmes morbides ; Va te purifier dans les l’air supérieur, Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leurs poids l’existence brumeuse, Heureux