Théorie des réseaux

TRAVAIL : THÉORIES ET RÉALITÉS Dr Serge F. SIMEN Enseignant-Chercheur Introduction… Les organisations sont un champ vaste : elles occupent une place centrale dans nos sociétés. Les théories des organisations (au sens strict) sont nées de la volonté de définir des principes pertinents de fonctionnement des organisations, de repérer des règles de gestion, de construire des outils susceptibles de concevoir de « bonnes » organisations. Partie 1 - L'organisation du travail : théories et réalités

l’entreprise, lorsqu’elle veut développer la motivation, c’est en fait plus d’implication et de performance qu’elle souhaite. En revanche, lorsque les salariés parlent de motivation, cela a trait à plus de satisfaction. Après un bref rappel des théories sur la motivation et l’évolution de ce concept à travers le temps, nous nous intéresserons aux enjeux que représentent la rémunération et ses compléments, sources importantes de satisfaction, et nous verrons par la suite, les autres leviers d’action

Un réseau social est un ensemble d'individus ou d'organisations reliés par des interactions sociales régulières. Un domaine académique, l'analyse des réseaux sociaux, les étudie en se basant sur la théorie des réseaux, l'usage des graphes et l'analyse sociologique. Des structures destinées à constituer des réseaux sociaux peuvent être créés volontairement, offrant aux participants des possibilités d'agrandir ou rendre plus efficient son propre réseau social (professionnel, amical). Le terme provient

faite de la stratégie du cavalier. 6 - Les réseaux La notion de réseau ; renvoie un ensemble d’acteurs économique qui entretiennent des relations de partenariat plus ou moins institutionnalisées. Réseaux de distributions : Leclerc Réseaux de production : les équipementiers Réseaux de communication : infrastructures communes Réseaux de transport : idem Réseaux de prestations de services : réseau bancaire, hôtelier Présence des réseaux : Une accélération liée : aux TIC ; et à la mondialisation

contenu de l’information : C. Internet favorise la démocratie II. Comment parvenir à s’informer librement à l’heure d’internet ? A. Allier les différents médias et analyser les sources de l’information : B. Ne pas se laisser aller aux Fake news et aux théories complotistes C. Avoir un regard critiqueCONCLUSION Introduction L’apparition d’Internet a tout bouleversé : au début des années 1990, seule une centaine de sites existait ; en 2019, il y en a plus d’1 milliard. Une quantité d’informations sans précédent

1) Type de loisirs 1.2) Finencement II) Forme de sociabilité 2.1) La naissance d’Internet 2.2) Réseaux sociaux liés à Internet A) Les réseaux professionnels B) Les réseaux « de loisirs » 2.3) La notoriété des réseaux 2.4) Réseaux sociaux non liés à internet A) Associations B) Lieux de sociabilité 2.5) Evolution de ces réseaux III) Synthèse 3.1) Lien entre loisirs et réseaux sociaux 3.2) Avis personnels Sources Introduction La consommation est au centre de la vie économique

même sens l’ensemble des comportements individuels. Granovetter distingue deux sortes d'encastrement : l'encastrement relationnel (les relations personnelles qui influencent l'action), et l'encastrement structural (qui renvoie plus largement aux réseaux auxquels l'acteur prend part). La notion d’encastrement trouve donc son origine dans l’œuvre de Karl Polanyi. Granovetter reprend cette notion. Cependant, elle prend un sens différent chez lui : « Si je suis d’accord avec les économistes (néoclassiques)

personnes de mon entourage qui m’ont en effet conforté dans ma position. 2. Observation du fait social Nous pouvons lire des d’articles nous alarmant sur les dangers de ces réseaux sociaux comme nous dit très bien le professeur Gauthier, pédopsychiatre travaillant au CHR de la CITADELLE qui "pose une analyse acerbe des réseaux sociaux (…) Les adolescents, dans leur impulsivité, mettent n’importe quoi sur ces sites. Sans se soucier du futur (…) Cela facilite le harcèlement, c’est un outil de communication

entre entreprises ayant des liens de client et fournisseur, voire entre entreprises concurrentes. Il en a résulté le renforcement de réseaux verticaux et horizontaux liant des acteurs au sein d'une même chaîne de valeur. La problématique de notre recherche est de mettre en lumière les nouvelles logiques de création de connaissances qui expliquent l'émergence de réseaux trans-industriels dans lesquels des entreprises n'appartenant pas à une même chaîne de valeur coopèrent en vue d’augmenter leur potentiel

aux notes...[**]. De plus, les méthodes de la micro-économie sont peu conciliables avec l’introduction de relations sociales. Ces dernières sont en outre difficiles à quantifier, donc à faire l’objet de tests empiriques. L’économie industrielle, la théorie de l’agence ou l’économie spatiale étudient bien des phénomènes en partie assimilables à des relations sociales, mais se focalisent sur des interactions stratégiques et ne rendent pas compte de la diversité des comportements réels. 3 Le rôle des