Theorie Gurley Shaw

de change réel. Les sociétés de commerce international peuvent payer leurs opérations au comptant ou à terme. Lorsque les paiements s’effectuent à terme, ces entreprises anticipent une amélioration de ces taux en leurs faveurs. Conformément à la théorie, il y’a une relation entre ces différents prix de la monnaie. 1.2 La monnaie facilite les échanges (les transactions) : moyen d’échange La monnaie remplit cette fonction «moyen d’échange» en facilitant les transactions9. Elle circule (de main en

On distingue traditionnellement la finance ou le financement direct de la finance intermédiée selon que la relation entre les agents à capacité de financement et les agents à besoin de financement est directe ou indirecte (intermédiée). * Gurley et Shaw Dans une situation de finance indirecte, les intermédiaires financiers achètent les titres émis par les entreprises et pour se financer, émettent eux même des titres auprès des épargnants (donc principalement les ménages). Autrement dit, le

spéculation qui optimise les échanges non plus. Alors que penser ? Un grand économiste qui a vécu l’autre grande crise, celle de 1929, peut nous éclairer. En effet, Keynes développe une analyse subtile de la spéculation dans le chapitre 12 de la Théorie Générale de l’Emploi, de l’Intérêt et de Opposer deux capitalismes n’est donc pas une solution. La spéculation ; malgré ses aspects choquants, peut s’avérer très utile aux marchés financiers. La considérer comme un fléau serait contre-productif. Cela

épargne et investissement nationaux ont connu un fléchissement significatif. Finance directe et finance indirecte Pour optimiser l’allocation, deux possibilités s’offrent : la finance indirecte et la finance directe selon la terminologie de Gurley et Shaw [12] définie en 1960. L’épargnant a en effet le choix entre deux solutions pour placer sa liquidité : – la placer chez un intermédiaire financier qui l’alloue à un emprunteur de son choix : ceci correspond au circuit de la finance indirecte

les épargne et investissement nationaux ont connu un fléchissement significatif. Finance directe et finance indirecte Pour optimiser l’allocation, deux possibilités s’offrent : la finance indirecte et la finance directe selon la terminologie de Gurley et Shaw [12] définie en 1960. L’épargnant a en effet le choix entre deux solutions pour placer sa liquidité : – la placer chez un intermédiaire financier qui l’alloue à un emprunteur de son choix : ceci correspond au circuit de la finance indirecte,

ultimes) collectent ces ressources par émission de titres ou par l’obtention d’un crédit bancaire. Ils ont donc deux possibilités. Titres primaires : toutes les dettes et toutes les actions émises par les agents non financiers. Définition de Gurley et Shaw Les dettes peuvent être un endettement bancaire (ex. : crédit bancaire) ou ils peuvent émettre des actions ou des obligations. Pour les agents à excédent de ressources, ils vont prêter leurs surplus et augmentent ainsi leur patrimoine financier

à la monnaie conduit à soustraire l’économie  réelle à l’intervention publique  1.1  La  monnaie  a  longtemps  été  considérée  comme  un  « voile »  dissimulant la réalité des échanges  1.1.1.  « La monnaie est un voile » (Say)  §  Emergence de la théorie quantitative chez les classiques (Jean Bodin, 1530­1596)  La découverte de métaux précieux en très grande quantité dès le début du XVI fait qu’il y a un afflux  considérable  d’or  en  Europe  (Espagne  notamment)  et  parallèlement  à  cet  afflux 

auquel correspond l'emprunt stimule la demande et permet d'alléger le coût de son remboursement. Cet argument reste plausible tant que le sous-emploi des ressources productives existe, selon la thèse keynésienne. C/Les approches alternatives à la théorie keynésienne : Pour les tenants de cette hypothèse, si dans un pays l'on a deux partis qui sont potentiellement en position d'accéder fréquemment au pouvoir, ces partis ont des préférences différentes quant à la nature des dépenses publiques. Le

plus rentable dans les couts de la base de donnés des clients, alors BNP ne récupérera pas ses couts d’investissement. Toutes ces activités ont correspondu à un cout d’entrer irrécupérable à la sortie. Ce sont des investissements immatériels. La théorie des marchés contestables (développée par Baumol, Panzar et Willig à la fin des années 1970) fournit une nouvelle analyse des structures de marché à partir des concepts de barrières à l’entrée et des coûts irrécupérables. • Un marché dans lequel

approches ont été adoptées. La théorie de l’accélérateur : Cette théorie, qui a été adoptée par A.Aphtalion puis J.M.Clark, associe les investissements réalisés chaque année aux variations des réserves en capital d’un pays résultant des fluctuations de la production annuelle : c’est la prise en compte de la demande finale qui explique l’investissement et le montant du prix du capital. Associé à d’autres hypothèses, cette approche joue un rôle considérable dans certaines des théories relatives aux cycles économiques