Theories De La Croissance

Les prémières théories d'un commerce basé sur le libre échange c'est à dire la mise en place d'une politque qui préconise la suppression des entraves aux échanges internationaux, apparurent au 18° siècles. Ces théories s'opposent au protectonnisme étatique, en effet pour les liberaux l'objectif du libre échange est d'obtenir une répartition plus efficiente des ressources. Cependant, on voit aujourd'hui une remise en question de ce système, du fait des positions inégales des acteurs à l'échange

de PIB d’un même pays ou entre pays. Ces évolutions permettent de calculer le taux de croissance (évolution du PIB d’une année sur l’autre) : si le PIB à l’année t0 est de 100 et à l’année T1 de 110, l’évolution est de 10% entre les deux années. Est-ce que le dvpm se résume à la croissance : Non car le dvpm n’est pas le seul responsable de la croissance, c’est un des éls. Catégorie de taux de croissance : - fort : + 5% - moyen : entre 2% et 5% - faible : - 2% Si le PIB est

internationale et théorie monétaires Chapitre 2 : La mondialisation Chapitre 1 : Economie internationale et théories monétaires Au début du 20ème siècle, dans les années 30, Keynes réhabilite une vision mercantiliste du commerce entre les nations, parce que cette vision avait disparu. Elle avait été anéantie par les théories du commerce international, par les classiques. I. Monnaie et mercantilisme Rappel sur la théorie quantitative de la monnaie. 1. Les origines de la théorie quantitative

choc pétrolier, deux périodes essentielles se distinguent : 1) Les années 50 où des « pionniers» construisent un nouveau champ d'analyse, puis les années 60 où apparaissent d'importantes controverses. Sur un plan théorique les réflexions sur la croissance se multiplient. Les travaux fondateurs de Rosenstein- Rodan, Lewis, Hirschmann et Perroux doivent donc être étudiés dans cette perspective 2) La seconde décennie de l'économie du développement va souligner une fracture des écoles de pensée : D'un

terme, la croissance de la productivité explique qu’il a été possible, à la fois, de réduire la durée du travail (sous toutes ses formes), d’augmenter le pouvoir d’achat et de financer la protection sociale ainsi que l’offre de services publics. Aspects théoriques : Schumpeter (typologie des innovations, rôle de l’innovation dans la croissance – « destruction créatrice ») ; le progrès technique exogène ou autonome (Carré, Dubois et Malinvaud, Solow…), les théories de la croissance endogène (Romer

long terme, la croissance de la productivité explique qu’il a été possible, à la fois, de réduire la durée du travail (sous toutes ses formes), d’augmenter le pouvoir d’achat et de financer la protection sociale ainsi que l’offre de services publics.  Aspects théoriques : o Schumpeter (typologie des innovations, rôle de l’innovation dans la croissance – « destruction créatrice ») ; o le progrès technique exogène ou autonome (Carré, Dubois et Malinvaud, Solow…), o les théories de la croissance

Thème 1 : La croissance économique La croissance économique désigne l’augmentation régulière des quantités produites, ce qui renvoie donc à l’accroissement durable de la production. C’est donc un phénomène quantitatif qui renvoie à des dynamiques de long terme. A court terme, on parle plutôt d’expansion économique. Croissance annuelle du PIB/hab (%) Pays | 1950-1973 | 1973-1998 | France | 4,2 | 1,6 | Allemagne | 4,9 | 1,8 | Japon | 8,1 | 2,5 | R.U | 2,5 | 1,9 | EUA | 2,2 | 1,5

que les gouvernants tentent vaille que vaille de rendre réelle. Pour parvenir à cette émergence, nombre de réformes ont été entreprises dans ces pays depuis des décennies avec l’appui des différents bailleurs de fonds dans le but d’atteindre une croissance économique significative et durable, condition sine qua none de toute réduction véritable de la pauvreté et de l’émergence effective des économies en question. Mais force est de constater que ces pays sont loin d’avoir atteint cet objectif de

Document en appui au cours AE 1 L1 - DAVID RICARDO (1772 – 1823) La théorie de la valeur chez Ricardo Chez Ricardo, la valeur d’une marchandise a deux composantes : sa rareté et la quantité de travail qu’elle incorpore. La rareté fixe la valeur des biens dont l’offre est donnée : il s’agit de la catégorie des biens non reproductibles (biens de luxe) comme un grand cru de vin, une œuvre d’art, une pièce unique, etc. Pour les biens reproductibles par l’industrie (c’est

Alexandre PELLATON CREGO (bâtiment 19) alexandre.pellaton@wanadoo.fr THEORIES DE LA FIRME I.A.E Montpellier Master 1 commun Année universitaire 2006/2007 PLANNING DU COURS AMMT 102 / Théories de la firme / 18h 9h avec A. PELLATON: • Théorie néo-classique et sa remise en cause • Théorie des coûts de transaction • Théorie évolutionniste 9h avec J. POUGET: • Théorie des droits de propriété • Théorie de l’agence • Théorie des conventions 22 novembre, 17h/20h, Amphi IAE 29 novembre, 17h/20h