These Antithese Dom Juan

centrale et du sud sont découvertes : on découvre que l'Europe n'est pas le centre de la terre. Au niveau scientifique, la révolution copernicienne a des résonances philosophiques : l'héliocentrisme remplace le géocentrisme de Ptolémée, d'où la thèse de la pluralité des mondes (que l'on retrouve dans Voyage dans la Lune de Cyrano de Bergerac en 1662). Umberto Eco rappelle dans L'oeuvre ouverte, que dans un contexte politique, scientifique et théologique particulier : Contexte politique

ce baroque si complexe, tourmenté, irrégulier et, au fond, plus fascinant que bizarre… L’historien d’art d’origine suisse Heinrich Wölfflin (1864–1945) Renaissance et Baroque 8 définit le baroque comme un « mouvement importé en masse », un art antithèse de l’art de la Renaissance. Il ne fait pas de distinctions entre le maniérisme et le baroque, ce que font les auteurs modernes, et il ignore sa phase plus récente, le rococo qui s’épanouit dans la première moitié du xviiie siècle. En France et en

baroque si complexe, tourmenté, irrégulier et, au fond, plus fascinant que bizarre… L’historien d’art d’origine suisse Heinrich Wölfflin (1864-1945), dans Renaissance et Baroque[4], définit le baroque comme un « mouvement importé en masse », un art antithèse de l’art de la Renaissance. Il ne fait pas de distinctions entre le maniérisme et le baroque, ce que font les auteurs modernes, et il ignore sa phase plus récente, le rococo qui s’épanouit dans la première moitié du XVIIIe siècle. En France et en

d'étudiant et de médecin ainsi que dans les témoignages littéraires contemporains (Senghor, Césaire, Mayotte Capécia...), et d'autre part les analyses de philosophes (Sartre, mais aussi Michel Leiris, Georges Mounin, Marie Bonaparte, Alfred Adler). Sa thèse est que la colonisation a créé une névrose collective dont il faut se débarrasser. Il en décrit toutes les moindres caractéristiques pour permettre une prise de conscience de la part des Antillais et, secondairement, des Noirs d'Afrique et des Français

Contraire de la religion car elle impose une religion. Beaucoup de redondance : « Tu aies et possèdes »  Nécessité d’insister. Libre arbitre : capacité à raisonner, capacité à choisir ses règles et de les respecter. La liberté est difficile Antithèse : « Je ne t’ai fait ni céleste ni terrestre, ni mortel ni immortel ». Des procédés oratoires (l’art du discours oral)  des anaphores, des répétitions, des figures de rhétorique, qui va créer un rythme solennel. Présent d’énonciation, de vérité

n’était qu’un badinage ingénieux inventé pour égayer le souper ; mais Voltaire, vif et ardent au travail, commença dès le lendemain 2. L’arrivée à la cour du roi de Prusse de l’abbé de Prades, encyclopédiste persécuté qui avait osé défendre dans sa thèse de théologie la philosophie de Locke, a peut-être donné aux convives de Frédéric II l’idée d’une « encyclopédie de la raison » dont l’orientation antireligieuse se devine aisément au regard des articles dont Voltaire entreprend la rédaction : « Abraham

rétrospective sur le siècle des lumières. - Terme « Lumières » pas original, très utilisé pour parler d’une évolution de la Soté. I. Brève chronologie & Tableau social du 18° A. Chronologie. - 1715-1723 : régence de Philippe d’Orléans sous Louis XV : antithèse de Louis XIV. Libéralisation des mœurs, mise à l’écart de la bourgeoisie et présence exclusive des nobles à la cour. Fin de la méritocratie. France en faillite, création de billet de banque, mais pas de confiance dans cette monnaie de papier. -

d’objets d’étude librement déterminés par le professeur et associés à la lecture d’œuvres intégrales. À titre d’exemple, voici cinq séquences possibles : • Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière, Dom Juan ou Hugo, Ruy Blas ou Cocteau, La Machine infernale. Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille

si complexe, tourmenté, irrégulier et, au fond, plus fascinant que bizarre… L’historien d’art d’origine suisse Heinrich WölfflinR 3 (1864-1945), dans Renaissance et BaroqueA 3, définit le baroque comme un « mouvement importé en masse », un art antithèse de l’art de la RenaissanceNote 6. Il ne fait pas de distinctions entre le maniérisme et le baroque, ce que font les auteurs modernes, et il ignore sa phase plus récente, le rococo qui s’épanouit dans la première moitié du XVIIIe siècle. En France

châtier la rébellion des Rochelois. Sa poésie est une poésie impersonnelle (il ne veut pas décrire les émotions particulières, il eut développer les thèmes éternels). C’est une poésie oratoire (il utilise les interrogations, les apostropes, les antithèses..) et c’est en même temps une poésie rigoureurse et pure qui unit la plénitude de l’expression avec l’harmonie. Sur son plan théorique, Malherbe réussit à construire une base sur laquelles sera fondé le lyrisme français jusqu’à Baudelaire. Il n’a