These De Pascal Blaise Imagination

définir 1 idéal vers lequel Homme doit tendre. L'idéal humaniste À Renaissance, nouvelle vis° de Homme apparaît. S'appuyant s/ connaissance de philosophie antique, humanistes valorisent savoir d'ê humain + diffusent idéal de perfec°. Reprenant thèse d'Aristote (IVe av J-C.), penseurs du XVIe établissent supériorité de homme/animal. Homme se distingue par capacité à acquérir "vertu + connaissance" comme préconise Dante (La Divine Comédie). Ex : Dans Discours sur la dignité de l'homme (vers 1488)

exercer son imagination. Ainsi, dans le cas du Miserere, les contraintes sont nombreuses. Tout d’abord, il s’agit de la mise en musique d’un psaume, ce qui impose au compositeur d’adapter sa partition au texte, sans modifications possibles dans le sens inverse. De plus, le Concile de Trente a ajouté des contraintes supplémentaires à la composition de musique religieuse, contraintes qu’Allegri se doit de respecter, en tant que maître de chœur de la chapelle Sixtine. Ainsi il voit son imagination une fois

directement responsable (texte 2, d’Alain). Il faut donc se demander pourquoi l’imagination fait l’objet d’interprétations à ce point antithétiques. Il apparaît que cette contradiction procède de la nature ambiguë de cette faculté. Le terme « imagination » vient du latin « imago », de « imitari », imiter. Suivant cette étymologie, comme pour le sens commun, l’imagination serait donc la faculté « d’imiter par des images ». Cependant cette approche suscite deux objections majeures. Tout d’abord, le

Léon BRUNSCHVICG Membre de l’Institut (1869-1944) Descartes et Pascal lecteurs de Montaigne (1942) Éditions de la baconnière, Neuchâtel Un document produit en version numérique conjointement par Réjeanne Brunet-Toussaint, et Jean-Marc Simonet, bénévoles. Courriels: rtoussaint@aei.ca et jmsimonet@wanadoo.fr. Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.ca/Classiques_des_sciences_sociales/ Une collection développée en collaboration

(Bergson) 12 3. Rétention et protention 12 B. La projection 12 1. Projection et existence (Heidegger) 13 2. L’imagination et le néant (Sartre) 13 C. La conscience, le moi et le monde 14 1. Le moi n’est pas directement connu (Pascal, Hume) 14 2. La conscience doit s’extérioriser dans le monde pour se comprendre (Hegel) 15 3. La conscience se constitue dans le rapport à autrui (Hegel, Sartre, Goffmann) 16 III. Approches morales 18 A. La conscience morale 18

Vers la Fin du XVII ème siècle, quelques auteurs annoncent déjà l'esprit philosophique et le Siècle des Lumières... Parmi eux, on peut citer : * Descartes, mettant en place le doute cartésien et la célèbre formule :"Cogito Ergo Sum" * Blaise Pascal, janséniste, exerce une influence importante avec l'idéologie de son oeuvre et sa valeur esthétique. * Pierre Gassendi, choisit l'expérience en tant qu'arme pour rejoindre l'idéologie de Descartes. Il contribue au libertinage. * Montaigne

d’être accueilli au Théâtre national de Chaillot, où Antoine Vitez interprète en 1982 le rôle-titre de sa pièce Schliemann, épisodes ignorés et où il présente régulièrement des spectacles salle Gémier, dont récemment Les Provinciales d’après Blaise Pascal (2008). Outre ses romans et ses pièces, il a écrit deux essais, Le Pli de la nappe au milieu du jour, sur la nature morte, et Pourquoi pas tout de suite, sur les polaroid. Il a cosigné le livret de l’opéra de Betsy Jolas, tiré de sa pièce Schliemann

Descartes (1596 – 1650) ............................................................................. 15 Pour mieux comprendre le texte ...............................................17 Texte 2 : Guerre perpétuelle entre raison et passions, B. Pascal (1623-1662) .................................................................... 18 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 18 Texte 3 : La raison est l’esclave des passions, D. Hume (17111776) ..........

Page 1 de 21 L'AUTOFICTION : UNE RÉCEPTION PROBLÉMATIQUE Mounir Laouyen Université Blaise Pascal L'auteur : Doctorant à l'Université Blaise-Pascal (Clermont-Ferrand II), il est lié au Centre de recherches sur les littératures modernes et contemporaines (CRLMC). Intéressé par tout ce qui se rapporte à l'écriture personnelle (en particulier l'autobiographie, l'autofiction et l'autoportrait), il travaille à une thèse sur l'autobiographie. Il a dirigé un ouvrage collectif intitulé Perceptions et réalisations

mains, pieds, tête (car ce n’est que l’expérience qui nous apprend que la tête est plus nécessaire que les pieds). Mais je ne puis concevoir l’homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute », constate de son côté Blaise Pascal dans une perspective à peu près similaire (cf. Pascal, Pensées, 347, 1660). Mais corrélativement, parce que la conscience l’arrache à l’innocence du monde naturel, l’homme, ce « roseau pensant », connaît par elle sa misère. Il peut à tout instant être détruit par la nature