Thètes

dans la cité soumise. C'est l'ancien propriétaire qui travaille la terre pour les clérouques souvent. Autre avantage pour Athènes : elle envoie souvent les plus pauvres citoyens là-bas, ceux qui pouraient poser problème à Athènes. Ce sont souvent des thètes (pas propriétaires). En devenant clérouques, ils deviennt zeugites (classe sociale supérieure), propriétaires. Athènes externalise les problèmes sociaux possibles, car il n'y a plus de pauvres à Athènes du coup. Les clérouques ne sont pas des colons

et qui sont régis par des lois. Ces lois sont votés en général avec la présence de six milles citoyens, tous réunis en une assemblée « l’Ecclésia », au sein de laquelle les votes se font à main levée et à la majorité simple. L’ecclésia s’ouvre aux thètes, ces individus sans fortune, exempts d’obligations militaires et dépourvus jusque là de droits politiques accèdent à l’assemblée et aux pouvoirs nouveaux que Solon lui reconnait. Quiconque est citoyen de la cité peut légitimement prendre la parole

roitelets des dynasties achéennes) et l’Odyssée. Section I : la société des royaumes homériques :Les classes sociales sont les suivantes:- Propriétaires fonciers éleveurs de chevaux,- Paysans, dépendants de la première,- Artisans, les démiurges,- Les thètes, petits ouvriers dans une dépendance complète vis-à-vis des paysans, des propriétaires et même parfois des artisans,- Les esclaves.Les cadres sociaux:- L’Oikos [prononcez ikoss]: la maison, le domaine. Racine du mot « économie ». C’est le grand domaine

+ doit disposer d'un kléros (lot de terre) suffisant. Différence avec athènes où il y a vraiment des pauvres qui vont exercer leur droit de citoyenneté, au moment où la flotte va prendre de l'importance : pauvres vont ramer dans les galères. C'est thetes participent au combat : c'est eux qui gagnent à Salamine. Aristote critique régime où hommes au sommet ne sont pas les meilleurs. Pouvoir limité par celuis des rois. +conflits possibles ac les rois, notament à propos de la paix ac Athènes. 4

corps citoyen dans l’objectif d’une plus grande égalités. Ainsi, il y a es pentacosiomédimes, citoyens dotés de 500 médimes et cultivant le blé, les hippeis, dotés de 300 à 500 médimes, les Zeugites, possédant un joug et 200 à 300 médimes, et les thètes, ayant moins de 200 médimes. Cette stratification semble plus égalitaire puisque qu’elle succède à Athène la suivante : Les eupatrides, aristocrates, les gémores, paysans, les démiurges, les dépendants économiques et agraires. Cependant, les critères

le travailleur manuel puisse être citoyen (Aristote 1970 III, 5) et il n’est guère douteux qu’il rapporte là un sentiment largement partagé au sein de l’élite athénienne et que l’accès aux charges par les représentants de la classe inférieure, les thètes, n’allait pas de soi. Que la démocratie athénienne n’ait pas été radicale à cet égard, c’est ce qu’indique la division des citoyens en quatre classes, déterminées par la fortune, l’appartenance à la classe la plus élevée ayant durablement été une

aux jeunes aristocrates Eupatrides, les fils des plus grandes familles d'Athènes. Avec Solon, l'éphébie s'ouvre aux athéniens des trois premières classes censitaires. Ces trois classes sont les pentacosiomédimnes, les hippeis et les zeugites. Les thètes, c’est à dire les citoyens les plus pauvres, ne peuvent y participer. En 335 av J.C., Lycurgue entreprend une réforme globale de l’éphébie. L’accès à cette institution s’élargit alors à tous les jeunes athéniens. Les sophronistes sont en charge de

les citoyens à se tourner vers l’artisanat et le commerce, ce qui entraîna la création d’un prolétariat déraciné : ces hommes n’étaient plus des esclaves mais ils vinrent s’installer en ville, augmentant la population urbaine et le groupe social des thètes (groupe social le plus bas dans la hiérarchie sociale de Solon, la classification censoriale qui substitue la naissance à la richesse). II) Une réforme juste. A) Un intérêt public. La réforme sociale devient indispensable car les problèmes

qu’aucun droit politique ni citoyenneté n'était accordés aux femmes, aux esclaves, et aux métèques parmi les 250 000 habitants d'Athènes, seuls 40.000 environ étaient citoyens et, sur ces 40 000, tous les hommes riches (environ 5 000) et la plupart des thètes (environ 21 000) participaient aux réunions de l'ecclésia. On ne pourrait donc utilisé le même procédé pour 62 millions d’habitants en France. C’est pourquoi un système représentatif est né, avec la volonté de prendre en compte les sujets d’un royaume

l'une des quatre « tribus » suivantes : les pentacosiomédimnes (qui possèdent plus de 500 médimnes de céréales), les hippeis (plus de 300 médimnes), les zeugites (plus de 200 médimnes) et les Thètes (moins de 200 médimnes). Les plus hautes magistratures ne sont accessibles qu'aux plus hautes classes, les Thètes n'eurent accès qu'à l'Ecclésia et aux tribunaux. L'accès aux charges passait par une élection à l'Ecclésia toutefois. Aristote affirme qu'il aurait créé un deuxième Conseil de quatre-cent membres