Thomas d'Angleterre

casser la loi. Le prince c'est le souverain législateur. C'est au nom de la souveraineté que le prince peut abroger et changer la loi. Il peut intervenir dans des domaines où le pouvoir monarchique n'était jamais intervenu, exemple des coutumes. Thomas HOBBES, Le léviatan : le souverain d'une république n'est pas assujetti aux lois, il peut quand cela lui plait refaire les lois. Monopole du droit positif comme base de l'Etat moderne. A partir du siècle dernier, apparition d'autres courant de

l'argent corrompt et on ne voulait pas que les dirigeants politiques sont corrompus. Au Moyen Age, l'économie ne concerne que la châtellenie. Puis apparaît la moral chrétienne sur l'argent, certaines réflexions aboutissent sur le juste prix de Saint Thomas d'Aquin qui dit qu'il faut trouver un juste prix pour le vendeur et pour l'acheteur pour que tout le monde s'en sorte et que personne ne soit lésé. A cette période la religion catholique interdit les taux d'intérêt au nom de la moral chrétienne. Les

d sint r t est souvent grand de Cf. infra, II, p. 354. Par ordre chronologique, et pour les plus importants : pour S n que 376 , pour les textes de saint Anselme et Gaunilon 7 trad. Pautrat ; la trad. Koyr , 6 , est moins conseill e, pour saint Thomas d'Aquin 420 , pour Descartes 112, 111 , pour Spinoza 402 , pour Leibniz 252, 249 , pour Hume 206, 207 , pour Kant 223, 222, 224 , pour Hegel les passages cit s dans 7 et en n, pour Plantinga, 315 . Pour les auteurs mineurs, que nous nous contentons

| |Anne Basanoff, Henri Bernard-Maître, Moché Catane, | |Marie-Roberte Guignard et Marchl Thomas | | | |

Aristote, pour qui l’homme est aussi un zôon politikon (animal politique), lui conseille de s’y engager. Car, pense-t-il, c’est le seul moyen d’accéder au bonheur véritable, au bien commun, à la justice et à la morale. Et pour y arriver, il faut, d’après Thomas Hobbes, un souverain, la seule personne avec qui la justice et la morale débutent dans la société[4]. Selon Nicolas Machiavel (1469 -1527), ce souverain doit être un hypocrite démagogue incarnant en lui l’homme et la bête. Le prince, comme le

 Thomas HOBBES (1651) Léviathan Traité de la matière, de la forme et du pouvoir de la république ecclésiastique et civile Première partie : DE L’HOMME Chapitres I à XVI disponibles. Chapitres XVII à XXIX disponibles. Traduction originale de M. Philippe Folliot, Professeur de philosophie au Lycée Ango, Dieppe, Normandie. 23 novembre 2002. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, bénévole, Professeur de philosophie au Lycée Ango à Dieppe en Normandie Courriel: folliot

êtres passés au crible de la raison, y compris la religion. = très critiqué par l’Eglise. Son audace intellectuelle permet à terme la généralisation d’une nouvelle attitude : idée que l’on peut analyser ce que nous transmet la tradition. Thomas d’ACQUIN : grand représentant du renouveau de la pensée d’Aristote. B- L’aristotélisme médiéval : A partir du 13ème siècle, les théologiens ont redécouvert la pensée d’Aristote : rapport nouveau entre la Nature et la religion, entre la politique

l’a toujours emporté sur le principe d’hérédité. Ce principe de l’élection l’a toujours emporté chaque fois que l’exigeait l’urgence et la sauvegarde du salut du pays. A. Les thèses en présence Selon Jacques Ier ainsi que le philosophe Thomas Hobbes auteur du Léviathan qui prône un Etat fort et un Roi tout puissant, le Roi n’est responsable qu’envers Dieu et en aucun cas envers ses sujets. En conséquence, il ne peut pas être soumis à la loi puisqu’il est la loi lui-même. Cette théorie

(1775-1785), guerre qui met fin à la domination des Anglais sur un territoire comprenant à l’époque 13 colonies assujetties à la couronne britannique. En 1776, Thomas Jefferson préside une commission qui signe la Déclaration d’Indépendance (adoptée le 4 juillet, date de la fête nationale américaine) qui rejette définitivement l’autorité du roi d’Angleterre Georges III. Or, les articles de la Confédération rédigés un an plus tard (1777 et mis en œuvre en 1781) se révélant, à l’usage, insuffisants pour assurer

championnat par saison dès ses premières années dans le club mancunien, il reçoit en 2005 et 2006 la récompense de meilleur espoir de Premier League. Son rendement en attaque fait de lui l'un des principaux artisans des deux titres de champion d'Angleterre acquis par Manchester United en 2007 et 2008. Il participe aussi au triomphe mancunien en Ligue des champions, bien que son efficacité dans cette compétition soit moindre qu'en championnat, un seul but européen cette année-là. Lors du match de