Thomas d'Aquin

l’homme, nous le disons de Dieu, nous le disons des anges ». Dire que Dieu et les anges sont des personnes au même titre que les hommes, c’est dire que le concept de personne garderait tout son sens même si l’homme n’existait pas. Saint Thomas d’Aquin ajoute au concept de personne l’idée de liberté. La personne désigne l’individualité d’un être libre de choisir, en tant qu’il est capable de raisonnement et de délibération. Locke enrichit la notion de personne en lui adjoignant la notion de

revenir sur sa création. Même s’il est tout puissant, il ne peut pas vouloir soudain que les arbres puissent se mouvoir. Ce sont les naturalistes. La plupart membres de la scolastique (l’entourage et la mouvance associé à Thomas D'Aquin, a l’époque mouvance dominicaine). Thomas D’Aquin n’est bien vu que depuis le 19è siècle, ses thèses avaient été condamnées par l’université de Paris. En réaction à cette doctrine d’autres pensent que les universaux n’existent pas en soi. C’est simplement par convention

animales (les insectes…), nous montre qu’il existe des règles. Donc à l’inverse du droit divin, le droit naturel existe dans l’organisation dans certaines sociétés animales. Les grands théoriciens des droits naturels : Aristote, Saint Thomas d’Aquin, Jean Bodin, Grotius, Pufendorf, Locke, Kant, Quesnay. Le droit divin est une limite aux abus de pouvoirs. Le droit naturel est un frein à la puissance des tirans. Dans le droit positif (droit d’aujourd’hui), les droits naturels sont

Genèse - d’ailleurs Jean utilise les mêmes premiers mots « Au commencement était » « In principio erat ». Mais plus qu’au «Prologue», c’est à tout l’Évangile de Jean que je veux relier ma réflexion. Dans son commentaire sur l’Évangile de Jean, Thomas d’Aquin nous montre ce qu’il y a d’unique dans cet Évangile : «La Révélation du Verbe». Si on s’essaye à découper cet Évangile, on y trouve trois grandes parties. Dans la première (chap. 1, vers 19 à chap. 12) dominent les témoignages qui portent

perçu comme une religion différente, à part. Les 1ers commentaires considèrent l’islam comme une hérésie du christiannisme -> en fait, intégration dans l’erreur, donc il faut l’éradiquer comme un paganisme schismatique. c. Auteur important : Thomas d’Aquin =grd théologien du MA chré, du 13èm s. né à Monte Cassino, devient dominicain, enseigne à la Sorbonne. Chez lui, la religio n’est pas la conception de la religion -> ce n’est pas un genre universel dt le christiannisme serait un genre particulier

plus politique. Au XIIIe siècle, l’histoire sort des monastères et est entraînée par d’autres courants. Elle s’adresse à un public plus large mais moins soucieux d’authenticité. Il y a un épanouissement de la pensée dominicaine (Albert le Grand, Thomas d’Aquin) et un retour à l’œuvre d’Aristote. On assiste au passage des monastères aux universités comme centres privilégiés de la diffusion des savoir. →époque des encyclopédies, des synthèses et des manuels mais l’histoire est diminuée Le retour du politique

Dissertation : La vérité est-elle libératrice ou contraignante ? D’après Saint Thomas d’Aquin la vérité est « l’adéquation de l’énoncé à ce qui est ». Mais cela ne prend pas en compte les conséquences que la vérité peut avoir sur notre vie. Que ce soit des découvertes scientifiques ou personnelles, la vérité influe sur notre façon de penser c’est pourquoi le sens commun s’accorderait à penser que la plupart du temps, il vaut mieux s’en protéger. Mais à cette affirmation, nous pourront nous demander

distinguaient : dieux, démons, héros, humains. Les théologiens antiques classent les êtres supérieurs en quatre catégories : dieux, démons, héros, âmes. Jusqu’à la fin de XIIIº siècle, peu d’intérêt était porté aux démons. Le Traité sur le mal de saint Thomas d’Aquin en 1272 rappelle que le diable est un hérétique, et la sorcellerie un crime d’hérésie. Les théologiens vont alors se retourner sur les entités du Mal. La théologie va se diviser en une angéologie (théodicée) qui est l’étude de Dieu, et une démonologie

constituer un frein à sa recherche et à son établissement d'une vérité universelle. D'une part, car l'homme éprouve déjà une difficulté à découvrir une vérité de lui même, d'autre part, car en se basant sur la définition de la vérité de Saint Thomas d'Aquin (XIIIème siècle), la vérité étant l'adéquation entre l'objet et l'intellect, un homme ne peut pénétrer dans l'intellect d'autrui, ainsi, une confusion sur l'objet étudié est possible, enfin, l'ipséité peut être un obstacle à son élaboration d'une

développent la théorie laïque du Droit naturel selon laquelle ce Droit n'est qu'une quête de la justice. Seul le Droit naturel servirait de fondement aux Lois. S'inspirant d'Aristote, Saint Augustin, et plus tard les Scolastiques, dont Saint Thomas d'Aquin, reconnaissent un Droit naturel, Droit reposant sur un idéal supérieur d'ordre divin. Ils sont aussi à l'origine d'une théorie du Droit naturel religieux. Les Saintes Écritures inspireraient donc le Droit naturel et serait le fondement du caractère