Thucydide Pericles

début où tout va bien Ephialtès, le maître de Périclès, a pour but de « faire le ménage » dans l’Aréopage (les vieux magistrats, conservateur, qui bloquent tout). Il a manipulé l’appareil judicaire, il a attaqué en justice tous les membres de l’aréopage les uns après les autres. Il les a accusé de tout et n’importe quoi pour les mettre sous pression, les rabaisser et les humilier. Il « pourrit » la vie des personnes. (Ephialtès a été assassiné.) Périclès a profité de ça, puisque quand il arrive, il

document 2 s’intitule « Discours prononcé par Périclès en 430 avant J.C. »    il s’agit d’un texte, plus précisément d’un extrait de discours politique prononcé par Périclès, le principal stratège (donc dirigeant) d’Athènes au 5ème siècle av. J.C.. Il a été retranscrit par Thucydide (460-400), l’un des premiers historiens, dans son ouvrage Histoire de la guerre du Péloponnèse.    Le contexte est celui de la Guerre du Péloponnèse, qui a opposé notamment Athènes à Sparte ; lediscours est une oraison

DS-ATHENES ! • Pericles : (-495 à -423).est un stratège et homme d'État athénien entre les guerres médiques et la guerre du Péloponnèse. Périclès fait de la Ligue de Délos un empire athénien. ]il favorise la démocratie athénienne. •Euripide :. auteur tragique(-480, -406) qui est contemporain de la démocratie athénienne (il a vécu en même temps). les contemporains d'Euripide étaient encore attachés à la fonction religieuse du théâtre, et n'appréciaient guère voir des drames humains sur la scène

de la fin du Vème siècle avant J-C, Thucydide (historien athénien ayant participé à la guerre du Péloponnèse et admirateur du Périclès) fait l'éloge du système démocratique en vigueur à Athènes. En premier lieu, nous évoquerons avec lui les points positifs de ce système de gouvernement. Ensuite nous argumenterons sur les aspects critiquables du récit de l'historien grec. Enfin nous montrerons que ce système démocratique était un progrès pour l'humanité. Thucydide explique que la démocratie est le

DES RELIGIONS Les Panathénées A travers l’étude de divers documents (Thucydide, La guerre du Péloponnèse, II, 1: «éloge des morts de la première année de la guerre par Périclès -430 av. J.-C.-) et une cérémonie à l’ordre du jour dans les programmes scolaires, à savoir les Panathénées, nous avons cherché à montrer le lien qui existait entre la cité et la religion dans la Grèce Antique. Dans l’éloge des morts par Thucydide, nous avons pu noter que le héros n’était plus un individu isolé, mais bien

les guerres médiques, le stratège contrôle toute la vie militaire de la cité, et donc sa politique extérieure et financière : il a donc le contrôle de la cité entière. Cette fonction acquiert même un caractère de magistrature suprême au temps de Périclès : celui-ci l'exerca sans discontinuer pendant 15 ans, de 455 à sa mort en 429, sans que personne ne puisse se mettre sur son chemin sans être éliminé ou ostracisé comme Cimon. Les stratèges formaient certes une collégialité mais il était cependant

débats suscités par le régime démocratique, à travers des extraits d’œuvres d’Euripide et d’Aristophane. Elle permet également à l’enseignant d’introduire dans son cours la dimension « Histoire des arts ». Le texte de Thucydide, p. 54, dans lequel l’historien donne la parole à Périclès qui y expose sa vision de la démocratie et en fait l’éloge, permet également d’aborder ce point du programme, ainsi que le texte proposé en exercice, p. 57, dans lequel Hérodote imagine un débat contradictoire entre

Ephialtés (495-461). 461 : Ostracisme de Cimon. Assassinat d’Ephialtés. Périclès (495-429), chef du parti démocratique jusqu’en 429. Alliance d’Athènes et de Mégare. 459 : Début de la première guerre du Péloponnèse. 457 : Ouverture de l’archontat aux zeugites. 454 : Désastre athénien en Egypte. Transfert du trésor de la Ligue de Délos à l’Acropole d’Athènes. 451 : Paix de cinq ans entre Athènes et Sparte 451-450 : Loi de Périclès sur la citoyenneté. Début de la mistophorie (chaque citoyen, même

histoire et vitales pour l’autonomie de leur cité. Les 50 années qui suivent les guerres médiques sont les années d’apogées d’Athènes. A l’extérieur l’empire athénien se constitue et se renforce et à l’intérieur la démocratie s’affirme. Nous devons à Thucydide et à Aristote l’essentiel des connaissances sur ce demi-siècle particulièrement riche complété par certaines Vies de Plutarque. Nous verrons tout d’abord que la démocratie athénienne ne sait pas construite en un jour qu’elle a eu besoin d’un

successeurs de Périclès, et qui s'est illustré au cours de la Guerre du Péloponnèse grâce à un coup d'éclat dans la réduction du blocus de l'îlot de Sphactérie. Fils d'un riche tanneur, Cléainétos, il avait hérité de l'entreprise familiale, ce qui faisait de lui un personnage vulgaire dont Aristophane a fait une caricature d'une violence extrême dans plusieurs de ses comédies. Il est considéré comme le type même du démagogue1. Le caractère de Cléon ne nous est connu que par Thucydide, qu'il fit exiler