Thèse De Freud

Annexe : texte de Freud et corrigé-type d’une explication Développement : « On nous conteste de tous côtés le droit d’admettre un psychique inconscient et de travailler scientifiquement avec cette hypothèse. Nous pouvons répondre à cela que l’hypothèse de l’inconscient est nécessaire et légitime, et que nous possédons de multiples preuves de l’existence de l’inconscient. Elle est nécessaire parce que les données de la conscience sont extrêmement lacunaires ; aussi bien chez l’homme sain que chez

ne consiste-t-il pas en la satisfaction de nos désirs ? Nous allons donc commencer par étudier les relations entre le bonheur et le désir. 1-Conception du bonheur selon l’hédonisme Le bonheur est dans la satisfaction de nos désirs : telle est la thèse hédoniste. L’hédonisme est la conception qui fait du plaisir la valeur suprême, le but de la vie, qui identifie bonheur et plaisir. Or le plaisir est conçu comme ce qui accompagne la satisfaction de tout désir ; donc le bonheur consistera, pour l’hédoniste

L’inconscient I. L’inconscience 1. La conscience affaiblie Bergson : Ne partage pas les idées de Freud, pour lui il y a des degrés de conscience. Lorsqu’il s’agit des réflexes, la conscience est quasiment nulle. La conscience est maximale lorsqu’on analyse, qu’on se projette dans l’avenir. « Il est inconscient » : Ne réfléchit pas assez, ne mesure pas les risques : Renvoie a l’absence de réflexion, le défaut d’analyse. Dans le rêve, la conscience n’est pas active. La spontanéité

données par Sigmund Freud, l'Introduction à la psychanalyse constitue le livre de base de l'étude psychanalytique. Pour la comprendre, il convient de rappeler que Freud est à la base médecin et que la psychanalyse est à la fois une thérapie médicale ou plus précisement une thérapie psychologique. Elle débouche chez son fondateur sur une vision du monde et de l’homme. D’où son intérêt pour la philosophie. Mais elle n’est pas une philosophie. Elle se veut une science. Selon Freud, l'appareil psychique

PARANOÏAQUE » - SIGMUND FREUD INTRODUCTION Présentation du texte Nous allons vous présenter le chapitre III du livre Le président Schreber, un cas de paranoïa où Sigmund Freud propose une interprétation et une analyse basée uniquement sur sa lecture de faits mémorables d’un névropathe écrit par Daniel Paul Schreber en 1903 (car il ne l’a jamais rencontré). Cet ouvrage lui a été présenté par l’un de ces amis : Carl Jung. Contexte Historique Contexte étudié dans Freud présenté par lui-même

puis dans une seconde partie nous déclinerons que la conscience de soi est insuffisante pour avoir une connaissance de soi-même. Dans une troisième partie, nous verrons qu’il n’y a aucun moyens pour se connaître soi même. Cette première thèse affirme que la conscience de soi suffit à avoir une connaissance de soi-même. La conscience de soi et la connaissance de notre identité d‘être vivant, ici la conscience porte sur le présent. La conscience de soi, saisie réflexive de nos propres vécus

Sommes nous vraiment libres ? Problématique : Nos pensées et nos actions dépendent-ils de notre volonté ou bien sont-ils déterminés par des facteurs déterminants extérieurs à notre conscience et à notre volonté ? I/ La défense de la thése du libre arbitre Définition du libre arbitre : capacité à se déterminer à partir de sa seule volonté sans influence du milieu extérieur. 1) Défense du libre arbitre par l’opinion commune. L’acte gratuit, paroxysme du libre arbitre (André Gide). 2)

Explication du texte L’interprétation des rêves de Freud  Dans ce texte extrait de L’interprétation des rêves, Freud tente d’expliquer le sens des rêves. Pour cela, il nous affirme que le contenu du rêve est une transcription des pensées du rêve. Cette thèse nous permet de mieux comprendre l’interprétation de nos rêves. L’auteur commence par nous exposer les pensées du rêve, et le contenu du rêve. Ce dernier doit être traduit grâce aux pensées du rêve. Il nous explique alors brièvement ce que

Leipzig en 1887. Sigmund Freud Psychologue d'origine autrichienne, naît le 6 mai 1856 à Freiberg, Moravie (actuelle République Tchèque) dans une famille juive. Installé avec sa famille dans un quartier juif de Vienne, Sigmund Freud est un brillant élève. Il hésite entre études de droit, de médecine et de philosophie. Ayant choisi la médecine, Sigmund Freud obtient un doctorat en médecine en 1881 mais dut abandonner ses recherches afin de gagner sa vie. Sigmund Freud travaille donc comme médecin

l’autre des sexes, donc on parle ici des personnes bisexuelles. Selon Freud, l`orientation sexuelle n’est pas vraiment un choix puisque cela se définit comme le désir inconscient d'entretenir un rapport sexuel avec le parent de sexe opposé. Cependant, Jean-Paul Sartre n`était pas du tout d`accord avec la thèse de Freud sur l`inconscient. D`après Sartre, l`orientation sexuelle était l`objet d`un choix conscient dès l`enfance. D`après Freud, jusqu’a trois environ, les jeunes enfants sont principalement bisexuel