Théatre Moralité Vice Vertu

morales et le besoin de divertissement. L'auteur des Mémoires s'emploie à convaincre le lecteur de la réalité des faits et de la fidélité de son récit. Il insiste sur la valeur de l'exemple, seul capable de « servir de règle [...] dans l'exercice de la vertu ». Notons l'utilisation de certains procédés destinés à garantir la réalité de l'histoire : le récit à la première personne du singulier installe le lecteur dans un climat de confiance, il s'agit d'une expérience personnelle, l'auteur nous introduit

Le théâtre : comique et tragique lundi 12 décembre 2005, par NAUGRETTE Catherine, Université de Paris-III * * * * * * * * * Sommaire * Introduction * Dressons la problématique du comique et du tragique à partir de la Poétique d’Aristote * La question de la catharsis et de la séparation des genres de la comédie et de la tragédie au cours des siècles Compte rendu de la conférence de Catherine Naugrette, Université de Paris-III Introduction

L’essai selon Montaigne S’essayer L’essai de type plus argumentatif apprend à différencier en seconde : il est défini comme texte d’idées. En effet, il ne s’agit pas de construire un monde fictif, qu’il soit sous forme de récit ou de pièce de théâtre, mais de réfléchir à des thèmes divers en utilisant la prose. La réflexion est personnelle, c’est-à-dire qu’elle est un « je » qui s’exprime, que l’auteur choisisse une énonciation à la première personne ou qu’il s’efface derrière l’emploi des pronoms

l'impossibilité de nouer les liens innombrables et sont voués à une connaissance parcellaire. Elle tire le poétique de l'anecdotique, du fugitif, du contingent. Au Moyen Age en Europe. Le récit bref existe déjà en Europe sous la forme du fabliau, de la moralité, du lai, du dit, de l'exemplum, de la "chantefable" (Aucassin et Nicolette, XIIIe siècle). Les nouvelles en reprennent souvent les thèmes. - Les lais (XIIe siècle). Le lai de Marie de France "le Chèvrefeuille" relatant un épisode des amours de Tristan

aussi ma propre fin. » Si le devoir envers soi-même consiste à travailler à sa perfection morale personnelle et non à rechercher son propre bonheur, la recherche n’est pas pour autant contraire à la morale, car elle peut contribuer à garder de la moralité. Nous pouvons poser comme question : si je dois travailler au bonheur d’autrui, mais que je peux aussi travailler au mien propre, comment répartir mes efforts entre ceux qui ont un but égoïste et ceux qui ont un but altruiste ? La réponse de Kant

innocente vie. Prends soin après ma mort de la triste Aricie… » v.1561-1566 Phèdre). Tous les éléments essentiels sont donc regroupés pour faire d’Hippolyte un héros tragique parfait. Toutefois, est-il si parfait que cela ? N’a-t-il aucun défaut, aucun vice ? II. Hippolyte, anti-héros ? A. Un personnage lâche. Dans la pièce de Racine, Hippolyte se présente comme un héros, mais est démasqué très rapidement par Théramène. Le personnage d'Hippolyte est construit sur de fausses actions. En effet, le

l'essai L'essai fait partie des cinq genres littéraires que l'on vous apprend à différencier en seconde : il est défini comme texte d'idées. En effet, il ne s'agit pas de construire un monde fictif, qu'il soit sous forme de récit ou de pièce de théâtre, mais de réfléchir à des thèmes divers en utilisant la prose. La réflexion est personnelle, c'est-à-dire qu'elle est un « je » qui s'exprime, que l'auteur choisisse une énonciation à la première personne ou qu'il s'efface derrière l'emploi des pronoms

collectif. Le DON JUAN de Molière n'est pas qu'un séducteur, c'est un révolté qui renie tous les codes moraux et sociaux                  DOM JUAN ou LE FESTIN DE PIERRE  1665 COMEDIE REPRESENTEE POUR LA PREMIERE FOIS LE 15e FEVRIER 1665  SUR LE THEATRE DE LA SALLE DU PALAIS-ROYAL PAR LA TROUPE DE MONSIEUR, FRERE UNIQUE DU ROI   contexte: |Libelle écrit par un certain Rogemont derrière lequel pourrait se cacher le Prince de Conti, ancien libertin devenu dévot. | |" Une religieuse débauchée

croit au moine bourru tout va bien, le reste n'est que bagatelle. Un démon qui se mêle dans toutes les scènes et qui répand sur le théâtre les plus noirs fumées de l'enfer. Et enfin, un Molière, pire que tout cela, habillé en Sganarelle, qui se moque de Dieu et du Diable, qui joue le Ciel et l'Enfer, qui souffle le chaud et le froid, qui confond la vertu et le vice, qui croit et ne croit pas, qui pleure et qui rit, qui reprend et qui approuve, qui est censeur et athée, qui est hypocrite et libertin

d’Antigone, parce qu’il était traître à sa patrie. Antigone vient mettre de la terre sur son corps par devoir moral. Les lois éternelles des dieux veulent que l’on respecte les morts. L’autorité en matière de bien et de mal vient de la religion et la moralité conduit Antigone à violer la loi de l’État. Toute religion pose pour ses fidèles des interdits et des prescriptions. La conscience religieuse voit dans l’immoralité le péché (texte) et dans l’accomplissement du devoir l’obéissance à un commandement