Théatre Moralité Vice Vertu

des genres divers • Au théâtre, le dialogue constitue généralement l’essentiel du texte prononcé, et même sous la forme du monologue délibératif il garde son caractère de dialogue avec soi-même9. C’est lui qui assure la progression dramatique dans la tension entre des intérêts divergents. Ce discours est souvent coloré extérieurement par les didascalies (indications scéniques) qui indiquent notamment les émotions et les sentiments qui agitent les personnages. Au théâtre (mais aussi parfois dans

seulement des idées, mais des valeurs : selon une logique des principes et des sentiments8 : 7 Le recours à la première personne est fréquent même lorsque l’essai traite de questions philosophiques. 8 Comme le chantait non sans humour Guy Béart « en vertu des principes et des grands sentiments » rarement en accord... car les principes sont souvent des déguisements qui cachent des intérêts moins reluisants. -6- • morales (le bien / le mal, le juste / l'injuste, la sincérité/ le mensonge...) ou sociologiques

l’art (Ces  deux thématiques répondent aux problèmes littéraires suivants : quel est le but de l’art ?pourquoi écrit-on ?comment doit-on écrire ?quelle est la fonction /quel est le rôle de l’écrivain ?) A-L’engagement littéraire 1-« Rendre la vertu aimable, le vice odieux, le ridicule saillant, voila le projet de tout homme honnête qui prend la plume »DIDEROT 2-« Le rôle de l’écrivain ou sa mission envers le public est de combattre l’injustice partout où elle se trouve »JEAN PAUL SARTRE 3 « Un écrivain

de la morale. Les personnages sont constamment confrontés à des choix moraux difficiles qui mettent en danger leur amour. Par exemple, des Grieux est confronté à la question de savoir s'il doit suivre Manon dans sa vie de vice ou la quitter pour préserver sa propre moralité. La passion amoureuse est donc présentée comme étant en conflit avec la morale, ce qui ajoute à la complexité du thème. Conclusion : En conclusion, le thème de la passion amoureuse est exploité de manière complexe et nuancée

littérature, le dialogue d’idées s’inscrit dans des genres divers * Au théâtre, le dialogue constitue généralement l’essentiel du texte prononcé, et même sous la forme du monologue délibératif il garde son caractère de dialogue avec soi-même. Ce discours est souvent coloré extérieurement par les didascalies (indications scéniques) qui indiquent notamment les émotions et les sentiments qui agitent les personnages. Au théâtre (mais aussi parfois dans le roman ou le dialogue philosophique), ce dialogue

qui s'est attachée à cet énigmatique apologue. La mise en relation intertextuelle de /Paul et Virginie/ et des /Études de la nature/ éclaire en réalité nombre de difficultés de lecture celles relatives notamment aux rapports entre « nature » et « vertu », et au rôle du malheur. Le roman garde la trace d'une pensée spéculative qui s'est élaborée ailleurs et qu'il s'emploie à expérimenter, ajuster, ou remodeler. La philosophie morale et religieuse de Bernardin de Saint-Pierre est responsable dans une

des genres divers Au théâtre, le dialogue constitue généralement l’essentiel du texte prononcé, et même sous la forme du monologue délibératif il garde son caractère de dialogue avec soi-même9. C’est lui qui assure la progression dramatique dans la tension entre des intérêts divergents. Ce discours est souvent coloré extérieurement par les didascalies (indications scéniques) qui indiquent notamment les émotions et les sentiments qui agitent les personnages. Au théâtre (mais aussi parfois dans

de ses fondements sociaux. Cet honnête homme du XVIIème siècle, élégant et équilibré, préfigurait alors l’esprit des Lumières du XVIIIème. Quelques citations de l’époque : « L’honnêteté n’est rien de moins que la quintessence de toutes les vertus... peu s’en faut que nous ne comprenions sous ce mot les plus belles qualités du cœur et de l’esprit ». Chevalier de Méré Conversations avec le maréchal de Clérambault Dictionnaire de l'Académie Française, première édition (1694) 2. Analyse de

humaine dans sa critique des thèses anthropologiques de Buffon, la grande autorité scientifique de l’époque. Pour ce dernier, c’est la raison qui distingue l’homme de l’animal, et qui rend possibles le langage, la perfectibilité ou le progrès et la moralité. L’auteur de l’Émile reconnaît que l’homme diffère de l’animal par la pensée, mais il voit là une différence de degré, puisque l’animal, pourvu de sens, a aussi des idées. Par contre, ce qui constitue une différence de nature entre l’homme et l’animal

roman devient plus réaliste et s'oriente vers une analyse psychologique des personnages. Son but est de plaire et instruire. Il condamne les passions, cherchant à corriger les défauts des Hommes. La fin doit voir la vertu couronnée et le vice châtié. Les passions sont alors considérées comme trompeuses et sources de désordre. ORIGINE Mouvement littéraire qui se développe en France (uniquement) sous le règne de Louis