Théatre Moralité Vice Vertu

invraisemblable autant que la mytholog, mais supérieur par son inspi chrétienne et transmet la sagesse naïve du peuple. Donc qualité des Contes = leur moralité, il dit que fables des Anciens ‘été faites que pr plaire ss égard aux bonnes mœurs qu’ils négligeaient bcp’. Cette préface sortie l’année de la mort de LF, pd distance ac lui car aussi hist pr enfants ac une moralité mais fables inspirées d’Esope (poète Antiq). 2 – Gustave Doré, ‘le plus illustre des illustrateurs’

Lieu : Théâtre Jean Vilar Durée du spectacle : 1h45 Réservations : 0800/25 325 Contact écoles : Adrienne Gérard - 010/47.07.11 – adrienne.gerard@atjv.be I. Lorenzaccio, l!intrigue Florence, première moitié du 16ème siècle. Réinstallés par les armes impériales mises à la disposition du pape Clément VII et de l!empereur Charles Quint, les Médicis sont de nouveau au pouvoir. Dès 1530, le duc Alexandre de Médicis règne avec sauvagerie sur Florence, exerçant une tyrannie sanguinaire où le vice est maître

3 : « de tête, elle était bourgeoise ; elle avait une honnêteté absolue, un amour des choses logiques, une crainte du ciel et de l’enfer, une dose énorme de préjugés. […] Elle appartenait à son père, à cette race calme et prudente où fleurissent les vertus du foyer. » Le noir, c’est aussi la couleur de l’ancien.A cet égard, l’hôtel Béraud, situé sur l’Île Saint-Louis, reste à l’écart des travaux haussmanniens, des transformations et de la nouveauté. Ainsi, Saccard note que le père de Renée « ne sort

genres divers • Au théâtre, le dialogue constitue généralement l’essentiel du texte prononcé, et même sous la forme du monologue délibératif il garde son caractère de dialogue avec soi-même. C’est lui qui assure la progression dramatique dans la tension entre des intérêts divergents. Ce discours est souvent coloré extérieurement par les didascalies (indications scéniques) qui indiquent notamment les émotions et les sentiments qui agitent les personnages. Au théâtre (mais aussi parfois dans

Lecture analytique n°1 Acte I, scène 1 (intégrale) du Tartuffe (1669) de Molière.   Rappel sur les enjeux d’une scène d’exposition (d’après Michel Pruner, L’analyse du texte de théâtre, 2e édition, éd. Armand Colin, 2010) : Dans un théâtre où l’action se présente selon un enchaînement de causes et d’effets, l’exposition est le moment où l’auteur livre les éléments indispensables à la compréhension de l’action. L’exposition constitue une convention dramaturgique qui pose les bases

(Jésuites) à partir de 1633 jusqu'à l’âge de dix-sept ans, et en ensuite des études de droits à Orléans jusqu'à la licence. * Fondation de l’Illustre-Théâtre en 1643 avec Madeleine Béjart (immédiat échec financier) et création de Molière. * De 1645 a 1658, Molière et sa troupe font le tour de la province car il n’y a pas la place pour une autre théâtre a Paris. En 1655, a Lyon, est donné la première comédie de Molière : L’Etourdi. * Dans l’octobre de l’année 1658, la troupe devenue Troupe de

« de tête, elle était bourgeoise ; elle avait une honnêteté absolue, un amour des choses logiques, une crainte du ciel et de l’enfer, une dose énorme de préjugés. […] Elle appartenait à son père, à cette race calme et prudente où fleurissent les vertus du foyer. » Le noir, c’est aussi la couleur de l’ancien.A cet égard, l’hôtel Béraud, situé sur l’Île Saint-Louis, reste à l’écart des travaux haussmanniens, des transformations et de la nouveauté. Ainsi, Saccard note que le père de Renée « ne sort

clefs qui touchent la sensibilité du lecteur. On peut également parler ici de l’utilisation de procédés rhétoriques qui se rencontrent aussi bien dans un roman, dans un poème en vers, dans un discours, ou encore dans les répliques de personnages de théâtre. On peut ainsi considérer le fameux article de Zola dans le journal L'Aurore, J'accuse, comme une pièce d'éloquence au service d'un homme injustement condamné et victime d'une machination. L’accumulation des exclamations « Hé mon Dieu ! » « Ha, vous

dans des genres divers Au théâtre, le dialogue constitue généralement l’essentiel du texte prononcé, et même sous la forme du monologue délibératif il garde son caractère de dialogue avec soi-même9. C’est lui qui assure la progression dramatique dans la tension entre des intérêts divergents. Ce discours est souvent coloré extérieurement par les didascalies (indications scéniques) qui indiquent notamment les émotions et les sentiments qui agitent les personnages. Au théâtre (mais aussi parfois dans

convictions religieuses note . Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie, que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. En présentant un libertin foudroyé par la vengeance divine, il espère convaincre les spectateurs et les autorités de la moralité de ses intentions. Certains ont cru voir dans le personnage de Dom Juan un contemporain de Molière ; on cite ainsi Vardes, Lionne, Retz, Henri de Guise, le comte de Guiche ou le comte de Lauzun (amants présumés d’Armande Béjart) et Armand de Conti