Théodicée

terrestre, mais par orgueil il a convoité la connaissance égale à celle de Dieu. → Le mal existe sur terre, mais c’est l’homme qui en porte l’entière responsabilité. 2) La position des philosophes optimistes tels que Leibniz dans ses Essais de Théodicée (1710) Ils tentent d’apporter une explication rationnelle au mal et d’en écarter toute volonté du Créateur. - Seul Dieu est parfait et il a créé le meilleur monde possible - Sa créature, l’homme, est donc imparfaite, ce qui explique ses faiblesses

à la connaissance. Cette doctrine se systématise au XVII/XVIIIe, où de Descartes à Leibniz, on retrouve l’idée que tous les principes à la base de la réalité sont identiques aux lois de la raison. « Rien n’arrive sans cause » (Leibniz, Essais de théodicée). Ce courant a ainsi donné toute sa puissance à la science, au point d’en faire un savoir irréfutable. Mais n’est on pas allé un peu vite ? Le rationalisme est-il réellement la seule source de connaissance réelle ? 1. Si on considère qu’une doctrine

que le critère proposé par LEIBNIZ soit dans sa généralité même, le seul qui puisse obtenir l'adhésion de tous. V - DES REFERENCES POSSIBLES POUR LE SUJET ARISTOTE, La Politique L'Ethique à Nicomaque, Livres 3 et 5. LEIBNIZ, Essais de Théodicée VI - LES FAUSSES PISTES Il fallait absolument que la réflexion porte sur les principes de la justice, qu'elle en détermine le concept. Il fallait, à l'inverse, éviter de rabattre la question sur un simple sujet de société, et profiter

croyances rassurantes et permet de supporter la vie difficile . La vie présente est présenté comme inférieur à la vie future . Comment le monde tel qu'on le connait est-il imparfait alors qu'il a été crée par un Dieu parfait ? Leibniz : «Essais de théodicée» ( justice : dicée , de Dieu : théo ) → réglée le problème du mal ; théologie monothéiste . Il fait l'avocat de Dieu pour avoir crée le mal . Pour cela il faut différencier : le mal relatif : Dieu poursuit le but dont on ne connait rien

de la manière la plus partisane). Ainsi, les années 1750 sont pour Voltaire des années de combat, de polémique, de questionnement et d'engagement. Il décide de traiter de la question de l'optimisme après avoir lu les thèses des Essais de théodicée du philosophe allemand Leibniz: selon ce dernier, le postulat de la perfection divine implique nécessairement que tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles. Or, la tragique nouvelle d'un tremblement de terre à Lisbonne (1755), qui

philosophe Leibniz qui défend que : « Dieu est parfait, le monde n'étant pas Dieu est imparfait, néanmoins notre monde est le meilleur des mondes possibles puisque Dieu, dans « sa suprême sagesse n'a pu manquer de choisir le meilleur » (Essais de Théodicée, Leibniz, 1710). Ce conte philosophique est une satire de la noblesse et de l'optimisme (qui sont caricaturés). I. Un conte philosophique qui rompt avec les traditions du conte Le titre du chapitre « d'icelui » ancienne manière de parler

personnage irréel pour nous amener vers une morale et une réflexion philosophique. Titre explicite : Candide : homme naïf (péjoratif) # optimisme : concept philosophique de Leibniz (philosophe, mathématicien allemand, qui publie Les Essais de Théodicée dans lequel il s'interroge sur D. Le mal et l'harmonie du monde, croyant. Pour lui, D. est parfait : juste et bon, il a créé le meilleur des mondes possibles. D. a créé une "harmonie préétablie" : le malheur de chacun s'annule dans un dessein qui

yeux, il retrouve sa fortune et enfin Dieu s’en prend aux amis de Job. Le mal n’est-il pas la preuve que Dieu n’existe pas ? Solution théologie, religion Philosophique Leibniz : théodicée Spinoza B- Elaboration de la doctrine du péché. Doctrine du péché originel : un homme pèche (Adam) hommes et la responsabilité est assumé par tous les hommes à cause de la transmission. C’est de la faute

chasse à courre, dirigent la meute à la poursuite du gibier. 3. Grand aumônier : prêtre attaché à la cour d’un prince ou d’un roi par opposition à la modeste fonction de vicaire du village. 4. Point d’effet sans cause : allusion aux Essais de Théodicée de Leibniz. 5. Chausses : bas. 2. Présentation du passage Cet extrait est le tout début de Candide, conte philosophique rédigé par Voltaire en 1759. Ce texte d’ouverture plonge le lecteur dans un univers qui apparemment semble être proche de celui

une crise existentielle après le tremblement de terre à Lisbonne , qui l’a complétement troublé car il s’était beaucoup imprégné de L’optimisme de Leibniz. Depuis cet incident , il refuse la conception idéaliste qu’est L’optimisme (Critique de la Théodicée : justice divine , que tout malheur est justifié par le projet de dieu , qui est trop grand pour pouvoir être perçu par l’homme). Alors il se tourne vers l’Empirisme , avec quoi il va attaquer l’Optimisme car cette thèse ne résiste pas face à l’épreuve