Théodicée

Intro : En novembre 1753, un terrible tremblement de terre à Lisbonne émeut tt l’Europe et provoque une série de débats philosophiques sur le mal après la Théodicée de Leibniz en 1710. Pour Leibniz l’univers crée par Dieu est à la fois imparfait et le meilleur des mondes possibles. Le pb débattu est celui de concilier la croyance en un Dieu bon et le constat de l’existence du mal. Voltaire poursuit la polémique avec Candide publié en 1759 qui montre l’impuissance de l’homme face au mal. Il invente

filles postée avant fils, gonflée d'orgueil (quartiers) => grotesque (réf Lettres Philo, X) Parodie romans d'amour en vogue Manon Lescaut (Abbé Prévost), Pamela (Richardson) 3. L'optimisme pris à contre-pied Réponse à Leibniz et sa théorie (Théodicée) : « le Tout est bien » Leibnizien est réd à l'hyberb risible «Tout est pour le mieux» à Wolf, principal disciple de Leibniz (réf néologisme de Wolf 'cosmologie' mélange 'cosmogonie' + -nigo) A Pope (Essay on man) avec son « whatever is, is right

découverte selon laquelle toute nouvelle critique de la raison pure serait rendue superflue par une plus ancienne. * 1790 : Sur le mysticisme et les moyens d'y remédier. * 1791 : Sur l'échec de toute tentative philosophique en matière de théodicée. * 1791 : Quels progrès effectifs a accompli la métaphysique depuis l'époque de Leibniz et de Wolff ? * 1792 : Sur le mal radical. * 1793 : La religion dans les limites de la simple raison. * 1793 : Sur le lieu commun : cela est bon

existe (souvent, recours à preuve téléologique : l’ordre naturel renvoie à un grand architecte/ artiste, à un dessein) ; on ne pose que quelques propriétés b) par suite, pas une religion parmi d’autres, mais le noyau commun de toute religion - théodicée : comment justifier l’existence de Dieu face aux souffrances, au mal ? (ce qui sous-entend d’ailleurs que le monde n’est pas aussi ordonné que ce que sous-entendent ceux qui adhèrent à la preuve téléologique) Auteurs ou textes  : Nietzsche

(évènement ou phénomène) a une finalité l.18 (…) - Philosophie qui pousse son adepte à une insensibilité et une passivité mortifères l. 17 (…) " danger de ces théories Voltaire oppose à la conception du monde selon Leibniz (1646-1716 ; 1710 : Essais de théodicée) une conception non optimiste : - incertitude et fragilité des choses humaines : l.2 « vaisseau » (et non simple bateau) w l.23 « une planche » nombreux « passagers » l.1 w 3 rescapés l.20-21  - impuissance des humains ! forme verbale finale au

ternisse son image. Pour la simple raison que il realise ces fait soit pour sa passion amoureuse, soit pour sa deffense.  Leibniz optimiste : penchant naturelle a toujours voir les chose du bon coté a l ;époque la définition est différente : vois Théodicée  1710 ce qui interesse voltaire, c ‘est la compatibilitée présente sur terre. Ce qui provoque une remise en question.  comment rendre compatibles les mefaits présents sur terre avec les idée de dieux  tout ce qui n’est pas dieu n’est pas parfait

La Monadologie et autres textes ici l'en−tête original.) 1 La Monadologie et autres textes 2 La Monadologie et autres textes • • • • La Monadologie Drôle de pensée Essai de théodicée, préface et abrégé. Lettres et textes divers 3 La Monadologie et autres textes LA MONADOLOGIE 1. La Monade, dont nous parlerons ici, n'est autre chose qu'une substance simple, qui entre dans les composés ; simple, c'est−à−dire sans parties. 2. Et il faut qu'il y ait des substances simples

l’ordre hiérarchique moral, geste sérieux, implique un acte beaucoup plus lourd de conséquences encore : il suppose se tromper soi-même, un mensonge « où l’être humain apprend à déformer ses déclarations intérieures devant sa propre conscience » (Théodicée, 370 –ma traduction). Le renversement éthique révèle beaucoup plus qu’une faiblesse charnelle, il trahit « une malice du cœur humain (dolus malus) qui se dupe luimême sur ses intentions bonnes ou mauvaises » (Rlg, 38, 106). Pour apprécier la radicalité

revendique son disciple. Génie polymorphe, à la fois juriste, mathématicien (à qui on doit l’invention du calcul infinitésimal) et philosophe illustre, Leibniz rédigea en français, à la fin de sa vie, un essai qu’il baptisa du néologisme de « Théodicée » (signifiant « Justice de Dieu »). Cet ouvrage, duquel Voltaire tire vraisemblablement ce qu’il sait de la théorie leibnizienne, a pour objet de plaider la cause de Dieu. Il entend le disculper de la présence du mal dans le monde — présence qui

consonance allemande), et l’histoire commence en Vesphalie 2. portrait ridicule de Pangloss, double de Leibnitz. —Caricature de philosophe : « compétences » de Pangloss désignées par un mot ronflant évoquant vaguement la théologie de la Théodicée de Leibniz : théologo , cosmo , logico, métaphysico. Idée que tout cela est pure stupidité : le mot final  nigo, ou nigaud. —Parodie de la formule de Leibnitz « tout est pour la meilleure fin », reprise sans cesse par Pangloss., comme une