Théodicée

que Voltaire disait a l'époque : « les malheurs particuliers font le bien général » chap.4 (Pangloss), « ce qui est mauvais par rapport à nous est bon dans l'arrangement général » (Voltaire en 1738). > Théorie de Leibniz : basée sur la Théodicée (théo = Dieu, Dicée = justice) – 1710 Dieu créé l'univers, il est tout puissant, de toute bonté, de toute justice et de toute sagesse. Or le monde est imparfait mais Dieu a fait de son mieux malgré l'imperfection de l'univers. Donc le monde

Platon, République, II, 379 b et X, 617 e. (incontournable) => Le mal n'a rien de positif: Bossuet, Sermons sur l'honneur II; Gilson, Le thomisme p.217. => "Si Dieu existe d'où vient le mal? S'il n'existe pas d'où vient le bien?" Leibniz, Théodicée I. &43 => Le mal fuit la lumière: S. Weil, La pesanteur et la grâce p.82. 2-Comment peut-on vouloir le mal?... Peut-on tirer un bien d'un mal? lien ouverture nouvelle fenêtre ========================== Des pistes de lectures 1) Les

/ Voltaire. - Larousse, 1998 190 COM* 190 VOL ♦ Le Choix des mots ; suivi de La joie et son paradoxe / Clément Rosset. - les Ed. de Minuit, 1995 190 ROS ♦ Eloge du pessimisme / Jacques Costagliola. - L'Harmattan, 2004 101 COS ♦ Essais de Théodicée sur la bonté de Dieu, la liberté de l'homme et l'origine du mal / Gottfried Wilhelm Leibniz. - Flammarion, [1990] 190 LIE ♦ Le monde comme volonté et comme représentation / Arthur Schopenhauer. - PUF, 2004 190 SCH ♦ La Naissance de la tragédie

Livre I de L’Emile ou de L’éducation. -Vous réagirez à cette assertion à l’aune de la lecture que vous avez faite de La Profession de foi du Vicaire savoyard de J.J.Rousseau. Plan : I- L’homme : de l’état de nature à l’état social II- La théodicée de Jean Jacques Rousseau III- La morale ou la thérapie du mal Dans son célèbre traité sur les Passions de l’âme(1649), Descartes émet cette assertion significative en relation étroite avec les penchants humains : « C’est d’elles seules que

de l’agent, qui, du point de vue de l’ordre de l’univers, doit être considéré comme une perfection, ce qui revient à dire que la cause du mal est un bien. La distinction entre les agents naturels et les agents volontaires est au fondement de sa théodicée, c’est-à-dire de sa justification de l’existence du mal. D’après ce que nous avons dit, le mal qui consiste dans une déficience de l’action a toujours pour cause le défaut de l’agent. Or, en Dieu il n’y a aucun défaut mais une perfection souveraine

difficultés de l'existence : recherche de soutien et d'informations, application de stratégies adaptées pour régler le problème ou améliorer son moral, etc. L’optimisme en philosophie de Leibniz Le philosophe allemand Leibniz expose en 1710 sa Théodicée : il y décrit un système philosophique célèbre fondé sur « une harmonie préétablie » pour expliquer l’existence du malsur Terre. Leibniz, pour sa théorie, part du principe de la perfection et de la bonté divine. D'après lui, rien ne peut être aussi

références au « meilleur des mondes possibles » sont récurrentes 1. C’est une allusion au philosophe allemand Gottfried Wilhelm Leibniz. Les lecteurs français connaissent sans doute bien l’œuvre à laquelle Vo ltaire s’en prenait car les Essais de théodicée (1710) avaient été rédigés en français. On peut voir dans cette opposition à Leibniz un refus plus général au monde germanique après l’épisode de Francfort ; mais c’est sans doute la question du Mal qui obsède Voltaire. Dans Candide ou l’Optimisme

Voltaire et Leibniz Candide a été écrit avec une intention polémique contre Leibniz (grand philosophe) : la théodicée, monadologie. Comme beaucoup de philosophe, il est autant philosophe que théologien. A cette époque les penseurs sont encore imprégnées du christianisme, la question de l’existence d’un dieu est donc au centre des réflexions.Leibniz est croyant : d’un dieu définit comme « être parfait » qui a la toute puissance, dont celle de créer et d’être à partir de rien, face aux êtres crées

Leibniz est un penseur allemand né en 1646 et mort en 1716. Esprit remarquable, il était à la fois philosophe, mathématicien, juriste et diplomate. Il a laissé de nombreux écrits importants comme le Discours de métaphysique en 1686 et les Essais de théodicée en 1710. Le texte que nous devons commenter est précisément extrait des Nouveaux essais sur l'entendement humain, composés en 1704 en réaction à l'Essai sur l'entendement humain du philosophe anglais John Locke. Dans cet extrait, Leibniz souligne

réalisables. Notre monde n’est pas parfait mais c’est le moins imparfait possible. Il est d’avis que, puisque « Dieu est Dieu », il a forcément fait du mieux qu’il a pu, donc ce qu’il y avait de mieux à faire. Cette citation provient des « Essais de Théodicée sur la bonté de dieu, la liberté de l'homme et l'origine du mal », écrit en 1710, dans lequel Leibniz imagine un prêtre romain, Théodore, guidé par Pallas, la fille de Jupiter, qui représente pour lui dieu tout puissant, visite le palais des destinées