Théorie Des Bulles Spéculatives

les cours qu’affichent les marchés de capitaux sont conformes aux fondamentaux. Le cours d’une action reflète fidèlement et fiablement la valeur fondamentale de la société correspondante. Théorie des coûts de transaction (Ronald Cose et Oliver Williamson). Théorie de l’agence (de l’incitation) : théorie qui dérive de l’asymétrie d’information. ( Rôle des institutions financières : - Rôle de « courtier », ou de « courtage » : l’entremetteur qui va mettre en contact les personnes possédantes

Concurrence pure et parfaite La concurrence pure et parfaite correspond à la théorie de la formation du prix élaborée au xixe siècle par les économistes classiques. La concurrence pure et parfaite est censée permettre l’équilibre sur tous les marchés sous des conditions suffisantes très particulières. La concurrence pure et parfaite représente un des deux cas extrêmes de structures de marché étudiés par les économistes néoclassiques, le second étant le cas de monopole. En 1921, les conditions

vu) la monnaie dans l’économie, donc les prêts aux entreprises, les dépenses augmentent grâce à cet afflux de crédits supplémentaires, et l’inflation remonte à son niveau désiré (2%). Ce mécanisme peut ne pas fonctionner aussi bien que le veut la théorie qui le sous-tend, il peut y avoir des ruptures. La relation hausse des réserves à la BC - crédit à l’économie peut ne pas avoir lieu, le ‘fine tuning’ augmentation de la base monétaire (monnaie banque centrale)-réalisation du taux d’inflation désiré

anticipations contribuent à part prépondérante dans la stabilité financière, tant à l’échelle nationale qu’internationale. Un dysfonctionnement unilatéral pourrait se propager et affecter plusieurs intervenants, c’est le cas par exemple des bulles spéculatives. Ce papier s’inscrit dans cette nouvelle logique d’explication des crises financières, une logique qui stipule la profondeur des analyses et le traitement des micros mécanismes cernant les dysfonctionnements les plus préliminaires. Ainsi

modélisation théorique qu’en ce qui concerne l’estimation économétrique des facteurs ou des indicateurs de crises (warning signals). De façon générale, puisque les modèles de crises de change traitent des situations dans lesquelles une attaque spéculative provoque une dévaluation, en changes fixes, ou une forte dépréciation du taux de change, en changes flexibles impurs, malgré les interventions massives des banques centrales, il était naturel d’associer ces crises aux déséquilibres de balances des

financement en fonction des rendements, du risque, de l’échéance, du dégré de liquidité, des anticipation et de l’aversion au risque. Rmq: risque = analyse de la situation (objectif) Aversion au risque: décision subjectif (confiance de l’agent) Cf théorie du choix de portefeuille (chapitre 1) et modèle déterminant la demande de monnaie. Quelles différences en termes de risque entre obligations et actions? * L’action est plus risquée: le rendement dépend des profits * On connait le montant

circuler les capitaux. A partir des années 80, les néolibéraux pensent que si on applique la libre circulation aux flux financiers, cela aura un impact positif : libération de la création de richesse. => mercantilisme abandonné au profit de cette théorie libérale. Cette évolution des 3D est complété par la R&D : l’informatique : on peut alors faire des choses plus complexes : plus besoin de courtiers : facilité. Ex : la bourse de Londres passe au tout informatique en 1985. L’informatique permet des

pleurs » (j. rueff), cad par des act° sr la valeur du $. L’endettement massif des EU permet surtt auj’ de supporter coûts de conflits contestés (afghanistan, irak), de maintenir un niveau de conso élevé malgré ↘ indus au profit pays emergents et d’↗ les bulles de financiarisation de l’economie mondiale. Mais cette po de déficits élevés peut nuire au $. Celui doit remplir plusieurs conditions pr rester une monnaie internat : qlté du système financier domestique (liquidité, efficience…)/ taille du pays émetteur

------------------------------------------------- SECTION 1 : L’inscription des banques dans la théorie de l’intermédiation financière. I- Les imperfections de marché à l’origine de l’émergence des intermédiaires financiers : 1. Les économies d’échelles et la diversification de portefeuilles: L’existence des intermédiaires peut se multiplier aux économies d’échelles provenant de la gestion des portefeuilles et

sociaux puisqu’ils amplifient - Les effets des médias qu’ils soient modernes ou traditionnels - Les médias tard ont une influence sur les consommateurs2. Des courants de penser très actuels, mais négligés Profiter des connaissances existantes Les théories dont nous parlons ont été développées notamment aux Us entre 1930 à 1950 avec deux objectifs : - Remplacer la spéculation autour des effets des médias par des observations systématiques de la réalité et des analyses rigoureuses - Appliquer cette