Théorie Des Bulles Spéculatives

déterminants monétaires. Cette approche fait ainsi une large place à la dynamique du crédit et aux comportements des agents bancaires et financiers dans la dynamique économique et dans la naissance éventuelle de déséquilibres, notamment sectoriels, et de bulles. Elle conduit alors à une double demande : instaurer d’abord une meilleure surveillance, par la Banque centrale, de la dynamique du crédit et de ce qui concourt au risque systémique ; rééquilibrer ensuite les missions entre stabilité monétaire et

retour entre une élaboration théorique et une confrontation au réel : on couple les deux méthodes, positive et normative. On peut partir d’une hypothèse pour construire des modèles qui visent à traduire le réel. Si il y a une vérification de la théorie, on considère que cette vérification est temporaire: on prend les faits pour ce qu'ils sont momentanément. On est obligé de reformuler les modèles souvent. Une méthode est dite déductive lorsque l'on part d'un ensemble d'hypothèse pour construire

analyserons l'impact des comportements des investisseurs sur la prise de décision et leur effet sur le succès de l'investissement. Le contexte Le concept d'homo economicus, l'homme économique rationnel, est à la base des théories économiques les plus largement appliquées. Parmi celles-ci, la théorie moderne du portefeuille, probablement la plus populaire, fournit des indications claires sur la façon d'optimiser un portefeuille. La réalité Si nous observons les comportements actuels, nous constatons toutefois

phénomènes monétaires n’ont pasd’incidence sur les conditions de l’échange. La monnaie est un voile, « les produits s’échangent contre des produits » (Jean-Baptiste Say, 1803). Cette approche a été formalisée par Irving Fisher sous la forme de la théorie quantitative de la monnaie (TQM). Mv = P T M : Masse monétaire, V : vitesse de circulation de la monnaie P : Niveau général des prix, T : transactions économiques (production) Cette équation souligne que toute augmentation de la masse monétaire

l’entreprise non plus au regard du seul EBITDA Budget mais aussi en considération de la valeur créée. Ainsi serons-nous amenés à identifier les inducteurs de valeurs, c'est-à-dire les paramètres clés qui auront une incidence, du strict point de vue de la théorie, sur la valeur (CHAPITRE 3). Puis nous verrons que la valeur n’est pas que la résultante des efforts internes entrepris pour la développer. Elle est aussi le fruit de la rencontre d’une offre et d’une demande. C’est une des limites du Management par

(épargne d’une population vieillissante dans les pays riches vers besoin de financement des pays pauvres. IV) Quels sont les avantages supposés de la globalisation financière ? AVANTAGES POUR L’ECONOMIE | AVANTAGES POUR LES ENTREPRISES | -En théorie libérale, la globalisation financière favorise une meilleure allocation (répartition) des capitaux au niveau mondial c'est-à-dire, qu’avec l’ouverture des frontières les capitaux disponibles s’orientent naturellement vers les secteurs et les pays

............13 Le keynésianisme .............................................................................................14 Aspect réel et aspect monétaire d'une économie.............................................. 14 Particularités de la théorie keynésienne ............................................................ 15 Déficit budgétaire : une stimulation keynésienne permanente de l'économie 16 Crises économiques et relance keynésienne ...................................................

Tout dépend de nos besoins en capital = c'est une ressource On prévoit le capital comme on prévoit le nombre de salariés Le coût de l'argent se détermine à partir du taux de base. C'est pour cela qu'on dit que c'est intéressant de s'endetter = théorie de Modigliani. EVALUATION DU COÛT DU FINANCEMENT PAR DETTE On mesure le coût du capital qui a été emprunté, de la dette = Rd = taux actuariel = coût du capital emprunté en terme de taux actuariel = taux d'intérêt net d'impôt que nous donne la

capacités de production (travail et capital). L’économie atteint, pour une population active donnée et pour un stock de capital, un niveau d’équilibre sous certaines conditions qui tiennent au fonctionnement de mécanismes de marché. Il s’agit de la théorie classique de l’équilibre du revenu et de l’emploi. Au total, l’approche néoclassique est une logique d’offre. Dans ce contexte, la non intervention de l’Etat est suggérée (les seules interventions nécessaires sont celles qui garantissent un fonctionnement

sociologico-économique 1. Thorstein Veblen (1857 -1929)  Théorie de la classe de loisir (1899)  Consommation ostentatoire : gaspillage total, on est plus dans un mode où l’on consommait ce dont on avait besoin mais ce qui fait bonne impression (contredit la consommation de besoin) et alors on passe aussi dans un mode où l’on contredit la loi d’offre et de demande (demande qui était avant trop faible, est maintenant énorme).  Cette théorie dit bien que les gens sont passés dans une optique de consommation