Théorie Keynésienne Du Marché Du Travail

Corrigé Dissertation Sujet : Les réglementations sur le marché du travail sont-elles responsables du chômage dans les PDEM ? Remarques liminaires : a) La question du chômage est historiquement « récente », il ne fallait donc pas proposer une perspective historique longue (un historique du salariat en tant que tel était hors sujet). b) L’opposition binaire néoclassiques / keynésiens est réductrice et pénalisante : il ne faut pas donner le sentiment que ce type de plan est convenable pour n’importe

donc faire des choix 3- La science de l'échange Il est réalisé sur un marché si il a pour but de procurer un profit au vendeur. La détermination du prix résulte de la confrontation entre l'offre et la demande. Le prix du marché s'impose à l'entreprise dans un système de concurrence pure et parfaite Profit = prix de vente – coût de production Certains services remplissent des besoins collectif qui échappent au marché car ils sont gratuit ou quasi-gratuit = production non-marchande. Réaliser

* Le marxisme(1850) théorie de la valeur travail théories de l’exploitation les travailleurs grâce a leur activité créer des richesses mais le salaire qu’il obtienne en contre partie de leur travail est inférieur au richesse crées. La différence entre la valeurs des richesses et la valeur de salaire c’est la plus value qui est accaparé par le capitaliste (la personne prop de l’entreprise) * École néoclassique c’est l’école qui reçois le plus de prix nobel -individualisme méthodologique :

Macro-économie et effets de répartition : histoire et théories Maison des Sciences Économiques 27 avril 2007 halshs-00143948, version 2 - 8 May 2007 Alain Béraud1 KALDOR ET LA THÉORIE KEYNÉSIENNE DE LA RÉPARTITION Résumé : Kaldor présente l’analyse qu’il fait de la répartition comme une théorie keynésienne. Son travail s’inspire, nous dit-il, des contributions de Keynes, dans le Traité de la Monnaie, et de Kalecki. Cependant, alors que Keynes et Kalecki développent des analyses de courte

prix· Th de la main invisible (la recherche de l’intérêt personnel conduit, par le marché concurrentiel,

55% / USA 33%) Certitudes ou incertitudes du marché I – Les mots du Capitalisme « Le capitalisme a toujours existé » Rousseau, Tocqueville. Le système capitaliste est lui mis en place au 19ème siècle. Le capitalisme a été créé par les anglais. Le système : le système capitaliste est un système vaste : méthode de travail etc. Régime : Régime capitalisme, ce sont les applications au sein du système. (Régime de la propriété ; le droit du travail). Structure : Ce sont les institutions, ce qui

des pionniers du libéralisme. 2.Œuvres principales Théorie des sentiments moraux (1759) Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776) est son ouvrage le plus célèbre. Il est considéré comme le premier livre d’économie publié, dans lequel Adam Smith nous délivre ses principales analyses. 3. Ses analyses -Adam Smith a écrit « la richesse des nations » en se basant sur le travail productif. -La division du travail acquis grâce à la spécialisation des tâches est favorable

politique sociale : revenus de transferts • politique de revenus : SMIC, indexation des salaires sur les prix C – Les 2 grands courants de pensée Les politiques de relance s’inspirent de 2 courants de pensée : les keynésiens et les libéraux. 1 – Les keynésiens Les keynésiens sont partisans de l’Etat-Providence et prônent une politique de relance par la demande, la demande anticipée des entrepreneurs formant la demande effective (demande de consommation et demande d’investissement). Les buts

politique sociale : revenus de transferts politique de revenus : SMIC, indexation des salaires sur les prix   C – Les 2 grands courants de pensée Les politiques de relance s’inspirent de 2 courants de pensée : les keynésiens et les libéraux.   1 – Les keynésiens Les keynésiens sont partisans de l’Etat-Providence et prônent une politique de relance par la demande, la demande anticipée des entrepreneurs formant la demande effective (demande de consommation et demande d’investissement). Les buts

Sommaire I. LA REFERENCE QUANTITATIVISTE : Monnaie insignifiante 3 a. Origine de la théorie quantitative de la monnaie 3 b. La théorie quantitative d’Irving Fisher 4 c. L’analyse de l’école de Cambridge 5 II. L’ANALYSE KEYNESIENNE : Monnaie active 6 1. Le motif de transaction 6 2. Le motif de précaution 6 3. Le motif de spéculation 7 III. REACTIONS AUX ANALYSES KEYNESIENNES 9 A. L’ANALYSE DES MONETARISTES 9 B. LES NOUVEAUX CLASSIQUES 12 1) Les hypothèses des nouveaux classiques 12 2) La politique