Théorie Paix Démocratique

contexte dans  lequel la politique étrangère est menée,  et  ce,  à l’échelle mondiale. C’est dans  ce contexte que  s’inscrit  le  Droit  des  Peuples  de  John Rawls,  qui  propose une  solution de justice globale  fortement inspirée  des idéaux du Projet de paix kantien, tout en s’inscrivant dans un contexte réaliste de ce que sont les relations  internationales  actuellement.  Nous  verrons  d’abord comment il conçoit  possible  un  équilibre et une  stabilité  dans  les  relations  internationales,  pour 

la nécessité de la réforme de l’ONU se ramènent essentiellement au déficit démocratique qui, d’une part, est interne au CS et à l’AG (I), et, d’autre part, lié à leurs rapports (II). I. Un déficit démocratique interne au CS et à l’AG Les insuffisances démocratiques internes à l’ONU le sont principalement au CS (A) et, dans une moindre mesure, à l’AG (B). A- Un déficit démocratique interne au CS Ce déficit démocratique interne au CS est d’abord lié au système de représentation inégalitaire des

04. Délimitation spatio-temporelle du sujet 05. Méthodes et techniques de recherche exploitées Chapitre I. Cadre conceptuel et théorique I. 1. Théorie du modèle bibliologique I.2. Modèle bibliologique appliqué et les travaux analogues sur la RDC Chapitre II. Rappel du contexte politique de la République démocratique du Congo II.1. Contexte politique avant 1990, II.2. Réinstauration de la démocratie et problèmes de son application (24 Avril 1990) II.3. La Conférence

de stabiliser la paix. Mais aucun d’entre eux n’est universel ou supérieur à l’autre ; Montesquieu[footnoteRef:1] souligne à cet effet qu’il n’y a pas de régime politique universellement valable, d’autant plus que le meilleur gouvernement est celui qui s’adapte mieux au peuple pour lequel il est établi. [1: Montesquieu est né en 1689 au château de la Brède, près de bordeaux et mort en 1755. Il est le premier théoricien moderne des formes de gouvernement, fondateur de la théorie constitutionnelle

    Analyse des théories politiques  P. Gérard         

FAMILLE   THEORIE   Réalisme  classique   RÉALISTES   Néoréalisme   PRESUPPOSÉS   -­‐  Les  Etats  sont  les   principaux  acteurs  des   R.i.   -­‐  Les  Etats  sont  des   acteurs  unitaires  et   rationnels.     -­‐  Les  Etats  poursuivent   leur  intérêt  national   défini  en  termes  de   puissance.   -­‐  Leur  politique  s’inscrit   dans

selon l’existence ou non d’une séparation des pouvoirs. L’organisation du pouvoir au sein de l’État démocratique : la séparation des pouvoirs La séparation des pouvoirs est d’abord une théorie. Cette théorie, on la doit surtout à un philosophe français du 18e siècle, Montesquieu, auteur de L’esprit des lois. Montesquieu, comme beaucoup d’auteurs qui l’ont précédé, vise une chose en élaborant sa théorie de séparation des pouvoirs : mettre fin à la concentration des pouvoirs entre les seules mains d’un

suzrins ont le droit de demander un financement de leur vassaux (pr voyages/mariage). Par contre le Roi a besoin de l'argent pour défendre le Royaume et lever une armée. Au début le Roi utilise l'idée de croisade pour avoir de l'argent (menace de paix), il réclame un impot en disant que c'est une aide (truande). Mais au final l'impot est completement différent de l'aide féodale, les raisons sont différentes(Vassaux#contribuables). Pouvoir du Roi n'est pas le même que le pouvoir religieux. On va

LA TRANSITION POLITIQUE EN REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO FACE A L’EVOLUTION DE LA JUSTICE INTERNATIONALE (LA CONTEXTUALISATION DE L’AVENEMENT DE LA COUR PENALE INTERNATIONALE OU ESSAI SUR LA THEORIE DE LA DESOUVERAINISATION DE L’ESPACE REPRESSIF INTERNATIONAL)1 INTRODUCTION Lorsque, le 6 juin 2003, s’adressant aux énarques, ainsi qu’aux actuels pensionnaires de l’Ecole nationale d’administration à Paris, le Procureur des Tribunaux internationaux pour l’ex-Yougoslavie et le Rwanda

s’agisse de la ruse, la cruauté, la corruption ou même la religion (exemple de l’Ancien Régime avec Louis XIV, qui était roi de droit divin). Pascal affirme dans la même ligne que « les lois n’ont pas à être justes, elles doivent surtout garantir la paix sociale ». Ainsi, « il vaut mieux une injustice qu’un désordre » d’après Goethe. De surcroît, il n’y a qu’à voir les expériences totalitaires de l’URSS et de l’Allemagne nazie lors du siècle dernier, pour se rendre compte que l’ordre politique n’exclut