Théorie Quantitative De La Monnaie De Friedman

THEORIE QUANTITATIVE DE LA MONNAIE ET ECOLE DE CAMBRIDGE Marshall avait permis à Keynes de revenir à Cambridge dès 1908, sans lui demander en échange le moindre engagement d’abandonner les mathématiques au profit de l’économie. Il ne lui déplaisait pas que son protégé fût versé dans la science exacte. Il était lui-même bien entraîné aux mathématiques et à la physique, et déclarait avoir été très influencé par Dupuit et Cournot. Il affectionnait ce qu’aujourd’hui nous appelons la formalisation,

_______________________________________________________________________________________________ ECONOMIE GENERALE _______________________________________________________________________________________________ PARTIE I CHAPITRE 1 Les théories économiques Les principaux courants de pensée économique Mots clés : Boyer Robert Démarche normative Demande effective Division du travail Ecole de Chicago Ecole de l’économie de l’offre Ecole de l’économie publique Equilibre économique

s’intéressant aux comportements individuels. Analyse keynésienne : ce qui se passe au niveau global n’est pas applicable au niveau individuel. Le point de départ de la macroéconomie, c’est l’ouvrage de Keynes, «  la théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie », publié en 1936. En 1936, c’est la plus grande crise économique de l’histoire née en octobre 1929, a la bourse de NYC. Cela débute par un effondrement des cours de bourse (Krach), en 2 jours la bourse de NYC perd plus

l’utilise, il a donc duré longtemps. Chapitre 1 : Le modèle ISLM I investissement S épargne L liquidity (demande de monnaie) M money (offre de monnaie) IS équilibre en terme réel LM équilibre en terme monétaire Ce modèle a pour objectif la détermination du niveau du revenu global Y et du taux d’intérêt r de tel façon que les marchés des biens et services, IS, et le marché de la monnaie LM soit en équilibre simultané. La courbe IS représente l’ensemble des différentes combinaisons du taux d’intérêt

il publie au préalable la Théorie des sentiments moraux (1759). Dans cet œuvre, il montre que la sympathie pour autrui et le jugement des autres exercent une influence essentielle sur les actes humains. Question centrale chez Smith est celle de l’origine de la croissance économique. Ø La division du travail est l’élément essentiel donc il faut une éco de marché Ø La main invisible du marché assure la meilleure allocation possible des ressources disponibles Ø Théorie des avantages absolus .

les plus inflationnistes tans sur l’exportation que sur le marché intérieur. La détérioration de la balance commerciale qui en résulte déprécie la monnaie du pays déficitaire, ce qui enrichit les coûts de l’importation. Les différentes explications de l’inflation : Plusieurs causes d’inflations sont traditionnellement avancées : L’excès de monnaie en circulation est souvent considéré comme la cause principale de l’inflation(Fridman) L’excès de demande sur l’offre. Cet accroissement de la

tentative d’analyse des faits qui ont conduit à la grande dépression. 2. Keynes et les « classiques ». Vers l’interprétation macroéconomique des crises. 3. Le développement de l’analyse en termes de cycle. 1. l’analyse de la stagflation selon Milton Friedman. 2. Du capitalisme industriel au capitalisme financier. 3. Cycles financier et crises systémiques. Définition: Une crise économique se produit à la fin d’une phase d’expansion ou de croissance, c'est-à-dire lorsque la conjoncture économique

Dans cet élan vers l'intégration économique, l'intégration monétaire apparaît comme une suite logique. La zone euro, qui constitue l'exemple régional le plus avancé (BONZON P. et STRAUSS-KAHN M.O., 2005), nous en donne la preuve. En effet, la monnaie unique a marqué une nouvelle étape dans l'intégration européenne. Il est donc question de saisir toutes les opportunités que peut offrir la politique monétaire et qui renforceraient l'intégration économique. Toutefois, une communauté régionale est

quasi-stagnation, et inflation. La crise des années 1970 sera mutatis mutandis aux politiques keynésiennes ce qu’a été la crise de 1929 à la loi des débouchés : la mise en évidence apparente de l’échec d’un modèle. Parallèlement à ces évolutions, la théorie économique évolue et se transforme. Le paradigme keynésien perd de sa vigueur, les critiques et alternatives se multiplient. L’intervention de l’État ne semble plus être la solution, mais fait au contraire partie intégrante du problème. Les économistes

des relations sociales. Qualité qui dépend notamment de la confiance qui s'établit entre entre les salariés et les dirigeants. Th. Philippon : Le capitalisme d'héritiers, La République des idées, Seuil, 2007. 3- Le salaire d’efficience La théorie du salaire d'efficience défend l'idée que l'élévation du salaire accroit la productivité. Il existe un lien entre salaire et productivité du travail relation croissante entre les deux. => Il peut être intéressant pour des employeurs de payer plus