Théorie Quantitative De La Monnaie De Friedman

est tellement importante qu’elle permet de connaître la quantité de monnaie circulant au sein de l’économie. Afin d’agir sur le comportement des agents économiques notamment les entreprises et les ménages, les autorités monétaires doivent disposer d’un ensemble d’indicateurs statistiques susceptibles de refléter la capacité globale de dépenses de ces agents. I- C’est quoi la masse monétaire ? Dans cette tendance, la monnaie est appréhendée comme étant l’ensemble de moyens de paiement mis à

de la monnaie A) Jean Baptiste Say : le voile monétaire L'hypothèse de JB Say, en 1805, est la plus importante :"Le voile monétaire ne fait que masquer la réalité des échanges. Les produits s'échangent contre des produits, puisqu'ils se servent mutuellement de débouchés". Cela est encore plus nettement formulé par John Stuart Mill en 1848 : "Tous les échanges sont en substance et en réalité des trocs". L'économie avec monnaie fonctionne de la même façon que l'économie sans monnaie. La monnaie

la croissance de la masse monétaire de à ce que la quantité de monnaie en circulation ne soit pas trop importante pour éviter l’inflation, mais suffisante pour assurer le volume des transactions et ne pas freiner l’activité économique. La politique monétaire chez les monétaristes : La politique monétariste est une politique monétaire préconisée par les économistes libéraux monétaristes (dont le chef de file est Milton Friedman). Selon eux, la politique monétaire ne peut et ne doit avoir qu'un

salaire réel Les déterminants de la consommation et de l’épargne Les déterminants de l’investissement Le rôle de la monnaie Schéma d’ensemble et conclusions en termes de politiques économiques Deuxième partie : Le modèle ISLM en économie fermée Chapitre 1 : L’exposé du modèle Origines, principes et hypothèses Le marché des biens et la courbe IS Le marché de la monnaie et la courbe LM L’équilibre du modèle Les politiques économiques Chapitre 2 : Extensions et controverses

rencontrons sont apparues au fur et a mesure du développement des sociétés : «  le phénomène de l’épargne ». Pour les comprendre, expliquer les économistes se rassemblent dans des écoles de pensées. Ils observent les faits et analysent, élaborent les théories selon leur idéologie. Cela donne naissance aux courants de pensée d’où «  le développement de la science économique ». Section 1 : Ecoles des physiocrates (1756-1777) $1. Les apports de François Quesnay A. le droit naturel B. La loi

multiforme = controverse chez ses hértiers. Années 1950-60 : guerre des deux Cambridge : - keynésiens outre Atlantique = synthèse avec la pensée néo-classique - disciples anglais = défenseurs de l'orthodoxie de Keynes Parrallèlement, ertains libéraux (Friedman) réfutent tte conciliation avec les keynésiens. Echo particulier ans les années 1970-80. De plus, deps 1945, ++ hétérodoxies (marxisme/institutionnalisme) On serait tenté de dire que le pensée éco deps 1945 et en proie à deux mouvements complémentaires

s’inspire de la théorie quantitative de la monnaie qui stipule que la masse monétaire n’a pas d’influence sur la production et l’emploi mais qu’en revanche le niveau général des prix est fonction de la quantité de monnaie mise en circulation. Cette Théorie trouve ses origines dans les travaux de J. Bodin (XVIe siècle), de D. Hume et des classiques du XIXe siècle, D.Ricardo, J.B Say et L.Walras. Au début du XXe, I. Fisher donna une formulation mathématique à la théorie quantitative de la monnaie. Considérée

économique puisqu’il cristallise une opposition centrale entre activité et stabilité. A la suite de la crise de 1929, John Maynard Keynes dénonce les postulats de la théorie classique en insistant sur les quatre points suivants : - La monnaie peut être désirée pour elle-même. A côté du motif de transaction, il existe une demande de monnaie de spéculation et de précaution. Keynes introduit ce qu’il appelle la «préférence pour la liquidité». - Les prix sont fixes à court terme - L’offre ne crée par

2 La demande de monnaie 1- L’APPORT DE LA THEORIE 1- L’ANALYSE CLASSIQUE 1- La monnaie n’est qu’un moyen de transaction 2- La monnaie n’influence pas l’économie réelle : la monnaie est neutre 3- Le volume de monnaie en circulation peut influencer les prix 1.2 - L’APPORT KEYNESIEN 1.2.1 - Les nouveaux motifs de la détention de la monnaie. 1.2.2 - La monnaie est active 1.3 - L’APPORT DES MONETARISTES 1.3.1 - La monnaie a comme substitut

visions opposées de l’ajustement épargne-investissement La loi de Say, théorie classique de l’ajustement I-S Economie les débouchés ne sont pas réduit => la possibilité de toute crise de surproduction généralisée est niée (= pas d’ « excès » d’épargne ni de problème général des débouchés…) ( toute épargne est affectée à des fins socialement et individuellement productive SAUF la « thésaurisation »= détention de monnaie « pour elle-même », sorte d’avarice jugée irrationnelle et exclu de l’analyse