Thérèse Raquin Conclusion

Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « Dans la nuit fumeuse » - E. Zola, Thérèse Raquin, 1868 - E. Zola, « Ébauche » de La Bête humaine, 1890 ; Littérature 2nde p. 170-171 - Zola, L’Assommoir,  Une écriture métaphorique - E. Zola, Germinal, « Une mine de charbon en 1885 : le Voreux », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « La descente » Documents complémentaires : - Zola, Préface de Thérèse Raquin, 1868, Littérature 2nde p. 350-351 - Arbre généalogique des Rougon-Macquart

«12345678910...50» Dix Ptit Nègre 1) Ouvrage: Agatha CHRISTIE , Les dix petits nègres , Librairie Des Champs Elysées , Le Livre de Poche Policier , 1940 2) Résumé: Très cher lecteurs... Sauvegarder le document 10 Petits Nègres très petits. En conclusion, Dix petits nègres est un roman prenant, les personnages sont tous très différents et intéressants, on ne lâche pas le livre du début... Sauvegarder le document Les 10 Petits Negres AXES DANALYSE Le travail de culpabilisation La chanson INTRODUCTION

Malgré cette douceur, l’atmosphère est tout de même celle d’une promenade funèbre : le crépuscule apporte logiquement avec lui le côté sombre qui rappelle le noir de la boutique des Raquin et le passage du Pont-Neuf dans lesquels Thérèse étouffe. Comme dans le passage, l’ombre évoque des fantômes : " De grandes ombres tombaient " et les couleurs, même adoucies, sont principalement sombres : " les eaux étaient noires ", " les deux rives, d'un brun sombre tâché de gris ", " les coteaux n'étaient plus

descriptions.. il acquière une certaine connaissance des personnage. Il connait donc le personnage par la lecture mais le personnage n'étant qu'imaginaire, il ne pe dire qu'il le connait réelement. Exemple, dans Therèse raquin, tout au long de la lecture, on en apprend de plus en plus sur therese raquin sur sa personnalité mais aussi sur son physique. On peut dire qu'on la connait mais seulement par la lecture. Il en est de même pour les lieux, ils peuvent etre réel mais aussi imaginaire. Du fait où lieu

réfléchir sur la question de la colonisation. De plus, pour Maupassant, le roman possède plus la fonction de décrire la réalité et ainsi, laisser le lecteur composer son propre questionnement plutôt que de l’induire à penser comme l’auteur. En conclusion, le roman possède une fonction d’ouvrir les yeux du lecteur non seulement sur lui-même, mais également sur le monde et sur les autres en le guidant dans sa propre réflexion et en lui montrant la conséquence de certaines actions grâce à un monde

Séquence 1 : Le Roman Lecture analytique incipit de Thérèse Raquin (chapitre 1) INTRODUCTION : Entrée en matière : Zola se défini avant tous comme un romancier naturaliste, et il se préoccupe essentiellement du réel en décrivant le quotidien même banal de ses personnages fictif. Aussi son roman Thérèse Raquin parut en 1867 avait fait scandale à cause du réalisme cru de certaines scènes jugées immorales et pornographiques. La critique bourgeoise qualifiait son ouvre de ‘’littérature putride’’

plaques ardentes ». Ce champ lexical renvoie à la réalité, cachée. • « Son corps maigre et robuste » est un oxymore qui réunit ces deux champs lexicaux. L’oxymore est une figure de style qui convient parfaitement au personnage contradictoire de Thérèse Raquin. Question 2 (3 points) • L’apparente pauvreté de Poupillier est traduite par l’emploi de mots appartenant au champ lexical de la misère, comme « crasseux », « rapetassé », « aumônes », « haillons », « d’effroyables sparteries », « le chef des

Sujet : Emile ZOLA (1840-1902), Thérèse Raquin, chapitre XI (1867) Le crépuscule venait. De grandes ombres tombaient des arbres, et les eaux étaient noires sur les bords. Au milieu de la rivière, il y avait de larges traînées d’argent pâle. La barque fut bientôt en pleine Seine. Là, tous les bruits des quais s’adoucissaient ; les chants, les cris arrivaient, vagues et mélancoliques, avec des langueurs tristes. On ne sentait plus l’odeur de friture et de poussière. Des fraîcheurs traînaient

feuilletons et des articles virulents, en faveur des Manets (Mes Haines, 1866). Admirateur des Goncourt et séduit par les idées de Taine et de Claude Bernard, il évolue assez vite vers le réalisme et même le "naturalisme" qui se manifeste déjà dans Thérèse Raquin (1867) et Madeleine Férat (1868) dix ans avant qu'il n'en expose la doctrine. Dès 1868, il trace le plan d'ensemble du cycle des Rougon-Macquart et, à partir de 1871, au prix d'un labeur régulier, il va publier à la cadence moyenne d'un roman

quelques ressemblances notables. Nous avons ici à faire aux textes de l’auteur romantique Stendhal avec son œuvre Le rouge et le noir, à Claude gueux de Victor Hugo du même mouvement littéraire et enfin au naturaliste Émile Zola avec son roman Thérèse Raquin. Nous verrons ici quelles visions du meurtre présente ces trois textes. Nous débuterons par conséquent avec des meurtres mis en scènes et finalement par les aspects symboliques. I / Meurtres mis en scènes Les textes 2 et 3 n'ont pas de mise