Théâtre Moeurs Société

Le théâtre est la représentation d’une action (un drame), de la vie réelle, pour un public, il peut également signifier le lieu ou est joué l’action ou bien le genre littéraire qu’il représente. C’est à l’antiquité que nait le théâtre au Vème siècle av. J.C. L’action était représentée en plein air, par quelques acteurs masqués (seulement des hommes). Aristote codifie les genres de drame en deux grands genres dramatiques. La comédie à pour but de divertir mais également de corriger les mœurs de la

l'inspirateur grec Esope qui marquent le mieux le talent inventif de La Fontaine. Sous prétexte de mettre ces histoires « sues de tout le monde » en vers, il renouvelle le genre en les égayants. On doit aussi à ce poète des poésies, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra. La Fontaine est multiple et semble côtoyer tous les genres, il fait alors de sa carrière un travail de diversité. Il fige cette diversité que le caractérise et en fait une description de ses fables dans un vers du Bucheron

espérances de son talent pour le théâtre ; mais il le dissuada de faire jouer cette pièce, et il lui donna comme plus dramatique le sujet de la Thèbaïde, ou la querelle des fils d'GEdipe et de Jocaste. Cette tragédie eut quelque succès (1664). Elle fut suivie d'Alexandre le Grand, dont la versification est bien supérieure, et où l'on trouve des traits qui annoncent déjà un grand écrivain dans le poëte de vingt-six ans. Cette pièce fut d'abord jouée sur le théâtre de Molière. Les acteurs, médiocres

L’héritage de la farce. Au Moyen Âge, la farce des tréteaux et les spectacles de foire utilisent des procédés comiques simples, grossiers. La farce est construite sur un rythme soutenu qui favorise les situations imprévues (multiplication des coups de théâtre et des quiproquos), et adopte une gestuelle bouffonne célèbre pour ses scènes de coups de bâton. Les noms des personnages sont ridicules, et les situations souvent absurdes (La Farce de Maître Pathelin, XVe siècle). L’héritage de la commedia dell’arte

peut-elle être complétée par d’autres éléments, y compris anachroniques, afin d’en enrichir la lecture et l’interprétation. Le mot « théâtre » vient du grec « théômaï », qui signifie « voir ». C’est-à-dire que les pièces de théâtre sont, par nature, liées à la représentation. Contrairement aux autres formes de littérature, qui relèvent avant tout de l’expérience intime, le théâtre est un art destiné à être partagé par un public, des spectateurs en relation directe avec les acteurs, ceux qui portent le texte

74, extraite de ce dernier se donne à voir à la fois comme un véritable pays semblant vivre en autarcie et un tableau exhaustif des mœurs. En quoi, par cette peinture d'une « région » ayant la prétention d'être étrangère au narrateur, LA BRUYERE démystifie-t-il la vie à la Cour ? La peinture d'une scénographie sociale où priment les apparences et l'absence de mœurs introduira notre propos. Ce constat nous permettra de réfléchir ensuite à la satire que cela suggère, notamment en ce qui concerne une

brillant moraliste. En 1717, il se marie avec Colombe Boulogne qui lui apporte une dot aisée. Mais 3 ans plus tard il est ruiné et perd sa femme peu de temps après. Il doit à présent travailler pour vivre. Sa raison d’être est toute trouvée dans le théâtre. Son premier succès est Arlequin poli par l'amour en 1720. Il apprécie les Comédiens Italiens et collabore avec eux pour quelques pièces. Marivaux révolutionne la comédie théâtrale, genre qu’il expose au travers de deux pièces Surprises de l’amour

Culturel : - Progrès scientifiques, essor des mathématiques, de l’astronomie et de la physique. - Découvertes maritimes, voyages (admiration du modèle politique anglais). - Le mouvement des Lumières : valeurs nouvelles, transformation profonde de la société : . Origine du mot « Lumières » . Mission : lutter contre l’aveuglement des préjugés, les croyances absurdes et les superstitions héritées des siècles précédents . Principes et thèmes - L’édition : . Le développement de la presse et de la lecture

Dom Juan V; 2 I/ Eloge paradoxal de l'hypocrisie ancrée dans les mœurs, masquant un certain cynisme 1) L'éloge paradoxal 2) L'hypocrisie ancrée dans les mœurs 3) Un cynisme masqué II/ Dénonciation de l'hypocrisie religieuse III/ L'hypocrisie comme art/théâtre Introduction : Au XVIIIème siècle, à l'époque de l'écriture de Dom Juan, il existait à la Cour une forte hypocrisie, notamment religieuse. Dans l'extrait étudié, Dom Juan transforme l'hypocrisie en vertu lors de sa tirade face

Le théâtre au Moyen-Age Introduction : Le théâtre médiéval apparaît au 11 e siècle et se poursuit jusqu’au 16 e siècle. Avant cette période, il n’existait que des spectacles de rue. Autour de l’an mil, le théâtre renaît (puisqu’il avait été condamné par l’église) et, peu à peu, se développe à travers l’Europe. Afin d’enseigner la religion chrétienne. Le théâtre sacré est d’origine religieuse et le théâtre profane est un théâtre comique mettant en scène la vie de tous les jours. Le théâtre sacré