Tim Burton

Robert Wiene → décor, contraste ombre et lumière, visage familier (rappel d’un squeltte), angle et zigzags, maquillage qui dramatise la noirceur des personnage. On ne cherche pas à représenter le réel mais plutôt à le recréer, à le repenser. (ex : Tim Burton) « Le Cri », Edvard Munch. III- Expérimentations idéologiques du cinéma soviétique 1 – le montage des « attractions », dialectique et démonstratif, pour dire un réel éclaté. Le cinéma = instrument rhétorique, invention de formes abstraites au service

permanence et au renouvellement du mythe de Peter Pan, que celui ci nous captive tous et à tout âge. Des oeuvres sans référence explicite : Charlie et la Chocolaterie de Roald Dahl publié en 1964 et repris au cinéma en 2004 par Tim Burton : Willy Wonka se faisant vieux, (il trouve son premier cheveu blanc ), décide d'organiser un concours afin de trouver un successeur digne de sa grande fabrique de chocolat pour que celle-ci continue de vivre. Cinq enfants gagnent le concours

notamment grâce au cinéma. Par exemple, une marque de vêtements en fournit quelques uns pour que les acteurs les mettent pour jouer leur rôle. ! Cʼest ce genre de marketing que nous avons pu observer à la sortie du film Charlie et la chocolaterie de Tim Burton, en 2005. Qui nʼa pas eu envie de se jeter sur une tablette de chocolat après avoir regardé ce film alléchant ? Ce désir est notamment lié à la mise en scène, à lʼunivers visuel très riche. Lʼouverture du film met en scène lʼemballage automatique

Hollywood de renier tout ce qui a fait, en publicité, la personnalité de cette marque. Hollywood a toujours offert au public un spectacle publicitaire, pas de la réclame. C’est inscrit dans ses gènes : on peut ainsi penser aux excellents films de Tim Burton (la virée nocturne du nain de jardin pour aller mater le bain de minuit de Blanche-Neige, ou le non moins délirant strip-tease de la statue de la Liberté en plein New York) qui incarnent la « fraîcheur de vivre » d'Hollywood. ➢ Mais comment

D’autres réalisateurs de films ont rendu hommage aux toiles d'Hopper : George Stevens (Géant, 1956), Terrence Malick, Sam Mendes, Wim Wenders (Paris, Texas, 1984 ; Lisbon Story, 1994 ; La Fin de la violence, 1997 ; Don't Come Knocking, 2005), Tim Burton (Sleepy Hollow, 1999), Alan Rudolph (Choose me, 1984), Peter Greenaway (Le Cuisinier…, 1989), Warren Beatty (Dick Tracy, 1990), les Frères Coen (Barton Fink, 1991) ou Woody Allen (Accords et Désaccords, 199925), Dario Argento (Les Frissons de l'angoisse

l’écran de l’ordinateur. 19 « De bout en bout épatant au sens traditionnel du terme, turbulent et colorié, le mirobolant Micmacs à tire-larigot fait rêver d’Houdini, Edison ou Meliès ; rêveurs de cinématographe qu’il aurait fait rêver, entre Tim Burton, Gilliam et Jeunet lui-même, dont ce nouveau film tire une épure. Soit un bricorama grand spectacle qui brasse méli-mélodrame, intrigue et mésaventures en cascade dans un Paris féerique dont le cœur serait le Tire-Larigot ; une machine dramatique

moins de trois films relatent les aventures de héros de papier glacé. Ce n’est qu’au début des années 80 que l’adaptation se démocratise et devient un genre cinématographique mainstream avec la réalisation de Superman. Mais l’influence majeure de Tim Burton va révolutionner le genre avec la réalisation décalée de deux opus de Batman. Il y apporte une dimension plus noire et en fait une œuvre plus fouillée que les aventures de Superman, tout simplement parce qu’il est influencé par les dernières publications

spécialisés dans les créations artisanales (Dawanda, Etsy, A little Market…). Cette créatrice, personnellement « fan » d’Alice au pays des merveilles lança toute une ligne de bijoux sur le thème d’Alice un an avant la sortie en salle du film de Tim Burton « Alice In Wonderland » ® (déposé par Disney). Parmi cette collection, elle eut l’idée de faire un serre-tête avec à son sommet, une tasse de thé rappelant le lapin déjanté d’Alice. A l’heure actuelle, de nombreuses créatrices ont repris son idée

majorit des Toinette, elle nen est pas moins retorse, pas moins dtermine, et surtout pas moins drle. Dans la peau rougeoyante dun Monsieur Purgon dj bien engag dans la folie, Grard Giroudon est absolument dsopilant. Tout droit sorti dun film de Tim Burton, Alexandre Pavloff est un Thomas Diafoirus dlicieusement inquitant. Dans les rles des amoureux, Laurent Stocker et Julie Sicard sont aussi trs bien. Leur scne de lopra impromptu est hilarante. En 2005, Paris, Nicolas Brianon a os faire de ce grand

des Toinette, elle n'en est pas moins retorse, pas moins déterminée, et surtout pas moins drôle. Dans la peau rougeoyante d'un Monsieur Purgon déjà bien engagé dans la folie, Gérard Giroudon est absolument désopilant. Tout droit sorti d'un film de Tim Burton, Alexandre Pavloff est un Thomas Diafoirus délicieusement inquiétant. Dans les rôles des amoureux, Laurent Stocker et Julie Sicard sont aussi très bien. Leur scène de l'« opéra impromptu » est hilarante. En 2005, à Paris, Nicolas Briançon a osé