Tirade De Don Elvire

vieux duc Don Ruy Gomez de Silva, s'est introduit, la nuit, dans la chambre de la nièce de celui-ci, Doña Sol, le roi d'Espagne, Don Carlos, qui est secrètement amoureux d'elle. Or, caché dans une armoire, il assiste à la rencontre entre elle et Hernani, proscrit qui se cache dans les montagnes, mêlé à une bande de brigands, mais à qui la belle inspire une passion telle qu'il ne peut se passer d'elle. Elle l'aime aussi, et lui accorde des rendez-vous secrets. Mais on l’a fiancée à son oncle. Don Carlos

DOM JUAN : ACTE I, Scène 2 : Le livre, la logique, la langue. SGANARELLE. Vertu de ma vie, comme vous débitez ! Il semble que vous ayez appris tout cela par coeur, et vous parlez tout comme un livre. Dom Juan vient de faire une longue tirade dans laquelle il semble avoir éprouvé le besoin de justifier son attitude en matière amoureuse. Sganarelle sans doute ne s'attendait pas à cela et sa remarque indique et sa surprise face à une telle dépense de paroles et son besoin de désamorcer le sérieux

préciser les éléments de costumes et la présence d’accessoires nécessaires à la représentation – qui parfois jouent un rôle indispensable dans l’action même et donnent un éclairage sur les personnages, sur leur statut ou leur caractère. L’habit de Don Salluste, avec son « riche manteau de velours vert clair, brodé d’or et doublé de satin noir », répond au décor fastueux. La « Toison d’or » signale et symbolise sa toute-puissance. Le noir de son costume est à l’image de son âme de traître, mais son

Étape 5 Étape 6 Étape 7 Étape 8 Un théâtre dans tous ses états ................................ Un nouvel avatar du mythe de Don Juan ............ Don Juan à la recherche de lui-même : sincérité, duplicité, complicité ................................ Le libertinage dans la dramaturgie de sa problématique ...................................................... Don Juan traître à lui-même ou la mort d’un surhomme ................................................................... Une dramaturgie

AU XVII e SIÈCLE : MOLIÈRE • 1 67 TEXTE 2 Molière, Dom Juan (1665) 40 Représenté en 1665 au Palais-Royal, Dom Juan connaît un grand succès, mais fait scandale. Dom Juan, noble espagnol, libertin et séducteur, a abandonné son épouse Elvire. À la scène 2 de l’acte II, Dom Juan fait l’apologie du libertinage amoureux, au grand scandale de son valet Sganarelle. 5 10 15 20 25 30 35 DOM JUAN. — Quoi ? tu veux qu’on se lie à1 demeurer au premier objet2 qui nous prend

étrangers, ils n’en ont pas moins considéré cette patrie comme la leur et cela ne rend que plus grand encore leur acte de bravoure. 4 Analyser et interpréter 1. a. On identifie deux voix dans ce dialogue théâtral : celle d’Elvire et celle de Chimène. Elvire, qui parle peu, s’étonne que Chimène exprime et éprouve encore un sentiment d’amour pour Rodrigue. Ses arguments, brefs et injonctifs, prouvent sa désapprobation face à l’amour de Chimène qui souhaite recevoir Rodrigue. L’impératif initial «  Reposezvous »

FRANÇAIS CONCLUSION: LL princesse de cleves Cette confession que Madame de Clèves fait à son mari révèle la grandeur héroïque des protagonistes qui se vouent un respect mutuel hors du commun. Elle met aussi en évidence la souffrance intense à laquelle sont en proie nos deux héros, suscitant la compassion du lecteur. Cette scène atypique permet en outre de faire avancer l’action puisque cet aveu sera à l’origine de la mort du Prince de Clèves.LL1313h55 à 14h55Conseils pour progresser :-Il faut expliquer

suivante et lui permettre d’avancer ses affaires d’une façon décisive. Il va feindre de vouloir quitter la maison d’Orgon sous prétexte que celui-ci ci finira sans doute pas accorder foi à ses accusateurs :On m’y hait et je voisQu’on cherche à vous donner des soupçons de ma foi.- Qu’importe ? Voyez-vous que mon cœur les écoute ?- On ne manquera pas de poursuivre, sans doute ;Et ces mêmes soupçons qu’ici vous rejetezPeut-être une autre fois seront-ils écoutés. - Non, mon frère, jamais. - Ah ! mon frère

de la parole qui correspond pas aux codes de l’époque (pronom personnel « je ») -prise de parole qui se prolonge : « je veux vous parler encore » encore = modélisateur. -Longueur de la prise de paroles significative, presque de l’ordre de la tirade (texte2) : « je vous conjure de m’écouter sans m’interrompre » = elle veut dominer l’entretien. ( Bienséance mise à mal puisque que le rapport homme/femme est inversé. 2) -Mise en avant de la logique de sa démarche (texte1) : « l’innocence de

ceux qui ont manifesté une sensibilité romantique dans des écrits du début du siècle, comme Chateaubriand (voir corpus précédent). Parmi les poèmes les plus célèbres de ce recueil, voici sans doute le plus connu : « Le lac » . Ce poème est dédié à « Elvire », en réalité Julie Charles, rencontrée l’année précédente, en 1816, lors d’une cure à Aix-les-Bains, au bord du Lac du Bourget. Trop malade, elle doit rester à Paris quand Lamartine revient sur les lieux l’année suivante et revoit seul les endroits