Tirade Du Nez

qu’indifférence pour les hommes. Il est donc comme un marionnettiste qui manipule les hommes sans s’en soucier.. C’est alors une parabole satyrique. Le derviche fait alors penser à Pangloss au début du roman. Seulement, celui-ci leur ferme la porte au nez ce qui remet en question « passait pour ». On peut alors revenir sur le « passait pour » qui nous confirme alors l’indice du second degré de Voltaire. Mais, vient ensuite la rencontre avec le vieillard, dont le portrait est mélioratif (« bon vieillard »)

quatre textes, on observe un comique de situation et un comique de geste. Dans Dom Juan, Sganarelle s'embrouille avec ses idées, il commence à gesticuler et finit par tomber à terre, ce qui le rend ridicule. « Bon ! Voilà ton raisonnement qui a le nez cassé »(l.114). Dans les Fourberies de Scapin, la scène commence pas une course entre Géronte et Scapin qui faisait semblant de ne pas le voir mais aussi lorsque par pure avarice Géronte n'arrive pas à lâcher sa bourse et repars comme s'il l'avait

une manière de faire un dernier pied de nez à la société les armes à la main. Cyrano se soutient à l’arbre : symbole romantique du temps qui passe et qui le raccroche encore un instant à la vie, l’arbre devient l’allégorie de la mort car lorsque Cyrano s’adosse à lui il en ressent la froideur, l’emprise fatale : « je me sens déjà botté de marbre, ganté de plomb » La métamorphose cadavérique s’opère, c’est le moment qui précède l’agonie de la dernière tirade (dernier sursaut d’orgueil de Cyrano : « Vous

acte I, scène 3, avec Done Elvire; « Tu pleures, je pense », acte IV, scène 6, toujours avec Done Elvire). Don Juan se révèle entièrement devant son valet et exprime longuement devant lui sa manière de pensée (acte I et surtout acte V avec la grande tirade sur l’hypocrisie religieuse). Ainsi le valet apparaît comme une sorte de confident dont le maître a absolument besoin pour faire valoir sa singularité. Sganarelle, de son côté, est également ambigu. Bien sûr, il critique les comportements de son

Certes, à la scène 2 de l’acte 1 il explique d’abord son goût pour les femmes par une mise en parallèle de la conquête amoureuse avec la conquête militaire, dans la tirade à laquelle j’ai déjà fait allusion. Mais outre qu’il s’agit de la seule tirade dans laquelle Dom Juan semble expliquer plus que justifier son comportement, cette tirade, dans la deuxième scène de la pièce, joue surtout un rôle programmatique, nécessaire pour la compréhension du personnage par le public. Et de plus on n’a pas assez

lexical du précieux les gouttes de sang devenaient rubis la cervelle, le fil argenté de la pensée. Je lui rendit trois pages, Mais dès le lendemain c'est la voix tremblante de rage Et ses yeux dans les miens couleur jade Qu'il me déclama cette tirade « comment un jeune garçon sans problème de raison peut-il avoir une âme noire comme le pelage du mouton qui seul se promène fuyant la norme et enlevant ses rennes? » et l'on me contraignit a refaire cet essai avec une prairie en guise de

Catherine de Cyrano qui vivait avec la tante de Savinien au couvent des Filles de la Croix où dans le livre il meurt. En revanche le fait que Cyrano ait un grand nez est prouvé par ses propres écrits. Il est mort le 28 juillet 1655 (et pas le 26 Septembre comme c’est dit dans le livre). Contrairement a ce que nous fait penser la tirade du « non merci » Savinien de Cyrano avait un protecteur qui était le duc d’Arpajon. C’est en se rendant chez son protecteur que Cyrano reçut la poutre sur la tête

Acte III scène 1 : Sganarelle se casse le nez Introduction : -Au XVIème siècle, le libertinage religieux est condamné. De ce fait la pièce de Molière intitulée dj qui fut représentée pour la première fois en 1665 est interdite au bout de 5 représentations. - En effet, dom juan est un aristocrate libertin qui ne croit pas en dieu et enchaîne les provocations dans cette extrait son valet Sganarelle essaye de lui prouver le contraire I la confrontation maître/ valet II le comique de la scène 1°

public lettré n’avait pas l’habitude de se rendre à ce genre de représentations, un peu trop populaires. Des bruits de coulisses, pendant les répétitions de la pièce, présageaient un désastre. Trop d’acteurs, de costumes, texte trop long et la tirade des nez, morceau de bravoure, paraissait même trop ridicule et on risquait l’emboîtage, c’est-à-dire, comme le dit Guitry, “la manifestation d’une exaspération qui ne peut plus se contenir” et qui, finit par des sifflets. La veille de la première, Rostand

l'amant sur ses sentiments. On découvre un personnage moins candide qu'on ne l'aurait cru. Scène 5Le stratège réussit tout de même  : les deux amoureux osent se chanter leur amour au nez du groupe entier et profiter de ce moment avec un tantinet de provocation. Comique de situation  : mise en abyme de la pastorale qui est une représentation et un récit de leur coup