Tirso De Molina Dénouement

Mais il travaillait sur un matériau préparé. Contrairement à d’autres mythes qui se perdent dans la nuit des temps, Dom Juan est un mythe moderne qui doit son existence littéraire à l’un des auteurs les plus prolifiques du siècle d’or espagnol, Tirso de Molina.» Conio G., Molière. Étude de Tartuffe, Dom Juan. Analyses et commentaires, Alleur, Marabout, 1992, coll. « Marabout Service », pp. 197-198. 1. Quelle est la différence essentielle entre un type et un mythe ? ________

Mais il travaillait sur un matériau préparé. Contrairement à d’autres mythes qui se perdent dans la nuit des temps, Dom Juan est un mythe moderne qui doit son existence littéraire à l’un des auteurs les plus prolifiques du siècle d’or espagnol, Tirso de Molina.» Conio G., Molière. Étude de Tartuffe, Dom Juan. Analyses et commentaires , Alleur, Marabout, 1992, coll. « Marabout Service », pp. 197-198. 1. Quelle est la différence essentielle entre

quatre font huit, il insinue que la religion est une chose absurde, impossible, une sorte de blague, il préfère croire à des choses plus sérieuses, logiques qui ne sont pas dénuées de sens. Cette pièce est à la fois une tragi-comédie, puisque le dénouement est tragique, mais aussi une comédie-baroque, puisque elle ne respecte pas les règles d’unité de lieu et de temps, et aussi parce que la mise en scène utilise de nombreuses machines. Le sous-titre Le Festin de Pierre, n’a pas de signification

dans la scène 7 de l’acte I de Shakespeare, et dénonce de la même manière la quête avide du pouvoir par les hommes, en utilisant toutefois pour faire passer ce message la comédie avec le comique de caractère d’Ubu père, qui annonce toutefois un dénouement tragique « je filerais vous dénoncer pour me tirer de cette sale affaire » mais aussi sur le comique de mot avec par exemple le juron « Merdre ». Alfred Jarry est parti du texte de Shakespeare, et quoiqu’en gardant l’intrigue, a modifié les personnages

l'année précédente et avait été censuré. La cause de la colère des dévots : sujet choisi est le libertinage ( th à la mode depuis la pièce de l'Espagnol : Tirso de Molina . Nous nous intéressons ici à la scène 1 de l'acte I : C'est la scène d'exposition où on apprend ce qui s'est passé ( et ce qui va se passer + les perso + intrigue + idée du dénouement ). L'extrait s'ouvre plus précisément sur Sganarelle, le valet de DJ et Gusman. Gusman veut savoir pourquoi DJ est parti alors qu'il vient de se marier

dans la scène 7 de l’acte I de Shakespeare, et dénonce de la même manière la quête avide du pouvoir par les hommes, en utilisant toutefois pour faire passer ce message la comédie avec le comique de caractère d’Ubu père, qui annonce toutefois un dénouement tragique « je filerais vous dénoncer pour me tirer de cette sale affaire » mais aussi sur le comique de mot avec par exemple le juron « Merdre ». Alfred Jarry est parti du texte de Shakespeare, et quoiqu’en gardant l’intrigue, a modifié les personnages

tous les vices de son époque mais en expliquant ses buts, ses convictions et ses raisonnements. 1665 = Tartuffe interdit. Dom-Juan pièce écrite dans l’urgence (difficultés financières). Il choisit le thème à la mode de D.J. (il s’inspire de Tirso de Molina) D.J. est une pièce de combat : M. reprend ses attaques contre les faux dévots : on retrouve les thèmes de la religion , de l’hypocrisie , de l’argent , des privilèges de la naissance + le thème dominant de l’infidélité . Contexte historique

contre le jansénisme. François Rey va jusqu'à affirmer que « l'ennemi de Molière [...] est un fantôme, une construction littéraire » de Molière lui-même (p. 346-347) : que Molière n'a pas été vraiment persécuté. En 1668, la pièce, assortie d'un dénouement nouveau (le roi intervient comme un deus ex machina pour remettre de l'ordre dans la famille d'Orgon, et mettre fin à l'emprise de Tartuffe), est enfin autorisée à la représentation publique ; l'atmosphère d'Amphitryon atteste la joie de Molière

reine Elisabeth (elle encourage ce genre de théâtre dans lequel on joue des pièces plus ludiques et consacrées à l’histoire de l’Angleterre. Ex. : le globe). 4) Le « siècle d’or » espagnol (17ième siècle) 3 auteurs très connus : Lope de Vega, Tirso de Molina et Pedro Calderon vont élaborer une dramaturgie (=écrire une pièce de théâtre) qui ne respecte plus la distinction entre les genres comiques et tragiques. La nouvelle satirique (= humours piquants) « Don Quichotte » de « Cervantès » en reste

Farce de Maître Pathelin) et des moralités ou des soties. Au xvie siècle, le théâtre est un art mineur en France (on repère néanmoins les noms d'Étienne Jodelle ou de Robert Garnier), alors que c’est l'âge d’or en Espagne avec Lope de Vega ou Tirso de Molina, en Angleterre avec le théâtre de Shakespeare (1564-1616) et en Italie où naît la commedia dell'arte. Les règle du théâtre au xviie siècle Au xviie siècle les doctes de l’âge classique comme Nicolas Boileau dans son Art poétique ont cherché