Tirso De Molina Dénouement

| |(Sources ina.fr). | |La violence |- Dénouement : Acte 2 (p. 131 – 134) | | | |De « Le soleil se couche »

Commentaire comparé LE DENOUEMENT : Dom Juan ou le festin de pierre de MOLIERE, V, 6 Intro : parcours succinct de Molière, citez quelques œuvres. Don Juan est une pièce censurée, que le mécène de Molière, Louis XIV, n’a pas voulu soutenir. Molière était en conflit avec le parti des dévots (clan des religieux extrémistes pour qui le théâtre n’était pas moral) suite au Tartuffe qui a fait scandale en dénonçant les faux dévots. Don Juan n’a jamais pu être joué en public du vivant de Molière. Il

1665, connaît un succès considérable jusqu’à ce qu’il soit secrètement interdit par le roi sous la pression des dévots qui venaient de faire interdire Tartuffe. En effet, cette pièce, qui reprend un sujet à la mode déjà illustré par l’espagnol Tirso de Molina, est une tragi-comédie qui raconte la vie dissolue d’un libertin. Si Molière est considéré comme un classique, Dom Juan est néanmoins une pièce d’un genre hybride, une tragi-comédie, qui fait plus d’une entorse aux règles classiques, ainsi elle

littéraire entre texte et représentation Sommaire Cours - Séance - Séance - Séance - Séance - Séance - Séance I- Découvrir le personnage de Dom Juan II- Une scène d’exposition paradoxale III- L’autoportrait de Dom Juan IV- La tentation du pauvre V- Le dénouement et la mise en scène du surnaturel VI- Bilan : Une pièce mêlée Questions d’analyse : questions de préparation et éléments de correction - La structure de la pièce - Maître et valet - Les personnages secondaires dans Dom Juan : questions de préparation

CONCLUSION : la scène trouve sa réponde dans la scène du pauvre (III-2) où la confrontation entre le pauvre et Dom Juan, figure diabolique, est remportée par le pauvre. Dom Juan V-5/6 I. Un dénouement baroque 1) un dénouement fantastique Intrusion d’évènements inexplicables au sein d’un contexte réaliste : - Présence du spectre, qui se transforme et disparaît - la statue parle - la terre s’ouvre pour engloutir Dom Juan. « Deus ex machina » (artifice

Dom Juan qui met en scène la vie de débauché d'un libertin et sa condamnation finale par Dieu. Création de Dom Juan : La première version écrite de l'histoire de Don Juan est L'Abuseur de Séville (1630), une comédie de l'auteur espagnol Tirso de Molina (1583-1648). Cette pièce baroque reprend la morale chrétienne : Don Juan est un trompeur qui multiplie les mauvaises actions et remet sans cesse son repentir au lendemain ; il est foudroyé pour n'avoir pas su demander le pardon de Dieu à temps

revendications, et quittent par là un rôle figé dans l'artefact théâtral, par exemple dans Le Mariage de Figaro de Beaumarchais. Dénouement Un dénouement tragique, mais qui reste comique (acte V, scènes 4,5 et 6). On sait que Dom Juan est emporté dans les Flammes des Enfers par la Statue du Commandeur. Dom Juan meurt, on pourrait se croire dans le dénouement d’une tragédie. Mais très rapidement, le registre comique revient au galop avec la réplique finale de Sganarelle : « Mes gages, mes

sinon on est puni. Dom Juan n’est pas qu’une histoire de séducteur et d’amour. Il y a une histoire avec le respect des morts et croire ou ne pas croire. La 2ème source d’inspiration : le personnage se fixe en 1630 en Espagne sous la plume de Tirso de Molina qui va mettre en scène une sorte de pièce morale. Il va mettre en scène Dom Juan Ténorio, héros aristocratique mauvais farceur, séduction intrépide accompagné de son valet Catalinon. Trame ? La conduite du jeune homme. Il ne regrette jamais

spéciaux, pour éblouir les spectateurs avides de merveilleux), surtout dans son dénouement) dont le sujet a déjà été joué par d’autres troupes rivales avec des décors, des statues ambulantes, des éclairs, du tonnerre, des flammes qui jaillissent…C’est le thème de l’homme qui séduit les femmes, tue sans gêne, hors la loi… Molière s'est inspiré du personnage principal de El Burlador de Sevilla y Convidado de piedra de Tirso de Molina, sauf que ce Don Juan espagnol, qui passe son temps à renier Dieu et séduire

basses.) L’alternance de scènes graves et de scènes divertissantes contribue ausii à cette impression de diversité, d’absence d’unité de ton. La mise en scène de cette pièce requiert une machinerie de théâtre pour pouvoir réaliser le prologue et le dénouement, où les dieux apparaissent dans les airs . Les didascalies le précisent bien. A l’époque de Molière le Théâtre Royal possédait des machines permettant des effets spectaculaires, dans le goût baroque. Enfin le thème développé par cette pièce relève