Tombeau de François II de Bretagne

théâtre d’Euripide présente les gens tel qu’ils sont et non pas tel qu’on voudrait qu’ils soient, avec une grandeur. Chez Eschyle le monde, les héros sont sacrés. Tout est empli de religiosité. Par exemple dans les perses on fait sortir un mort de son tombeau et il vient parler aux vivants. Dans Euripide, le héros de la guerre de Troie est en guenilles, il n’est plus rien. Cela montre bien le changement d’un monde. Il n’y a plus de tragédie, elle s’est dissoute dans la vie contemporaine, dans la vie réelle

de la Fable sont généralement des êtres composites, à plusieurs têtes (le chien Cerbère), de plusieurs espèces (le Sphinx). Hugo " voit" dans les deux colonnes qui chargent à la bataille de Waterloo "deux immenses couleuvres d’acier" (Les Misérables, II, 1), ou, dans l’étendue marine aux innombrables reflets : "L’hydre Océan tordant son corps écaillé d’astres." Le héros romain présente une caractéristique essentielle : même s’il vient de contrées lointaines (Hercule, Énée), il est fortement historicisé

40 cm au dessus de la taille moyenne. Plus modestement, on donne le nom de géant à quelqu’un qui mesure deux mètre ou plus. Certains corps d’armée étaient recrutés parmi les hommes grands, de 2 mètres minimum. Ex : la garde personnelle de Guillaume II de Prusse ou les grenadiers et cuirassiers dans toutes les armées du monde. Chez les auteurs on parle aussi de ces géants : - Victor Hugo « C’était des hommes géants sur des chevaux colosses ») - Voltaire dans Candide « Deux hommes habillés

une constitution, ils fondent donc la Constitution de l’An III (texte qui fonde le Directoire de 1795 à 1799). Par cette constitution ils veulent, entre autre, imposer un suffrage beaucoup moins égalitaire et ainsi restreignent le droit de vote. II) Division née de la Révolution : A) Division politique : basées sur la légitimité des institutions Révolutionnaires : Les divisions politiques s’établissent sur le problème de la légitimités des institutions révolutionnaires. Certains pensent

l'exercice de la justice sur leurs terres et un grand nombre de droits honorifiques. Les charges seigneuriales sont très inégales d'une région à l'autre et, à l'intérieur d'une région, d'une seigneurie à l'autre. Elles semblent peser très lourd en Bretagne, en Bourgogne et en Auxois, ainsi qu'en basse Auvergne. Dans le Midi provençal et languedocien, les redevances paraissent plus faibles. « Nulle terre sans seigneur », tel est l'a priori appliquée dans le nord du pays en cas de litige. Aux droits

8 II. L’Introduction historique au droit : une introduction au droit par l’étude de son histoire 17 III. Les institutions génératrices de droit : les sources institutionnelles du droit 24 IV. Les sources formelles du droit : coutume, loi, ordonnance, jurisprudence et doctrine 59 V. Bibliographie 84 Chapitre préliminaire. Les naissances du droit dans l’Antiquité : quelques monuments du droit 87 I. La Mésopotamie 87 II. Les Hébreux

importante encore que toutes les transformations matérielles, la cristallisation de l’idée nationale : la Nation, c’est la liberté contre l’oppression, c’est le peuple contre les privilégiés, c’est le droit de la majorité contre celui de la minorité. II. – L’évolution des idées : 1. « Réactionnaires » et « progressistes » L’émigration (la Révolution française a poussé à l’émigration hors du territoire national environ 150 000 Français), à laquelle furent contraints nombre d’aristocrates après la Révolution

Jean-Perrin, Rezé (44) Agrégé d’histoire-géographie Lycée Louis-Aragon, Givors (69) Nathalie Martine, Certifiée d’histoire-géographie Lycée Maurice-Genevoix, Bressuire (79) Morgane Page, Agrégée d’histoire-géographie Lycée Jean-François Millet, Cherbourg (50) www.hachette-education.com ISBN : 978-2-01-135617-8 © Hachette Livre 2014, 43, quai de Grenelle, 75905 Paris Cedex 15. Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous pays. Le Code de la

universitaire de France Isabelle Klock-Fontanille, Université de Limoges, Institut catholique de Paris Pierre-Yves Beaurepaire, Université de Nice Sophia-Antipolis, Institut universitaire de France, rapporteur Jean-Pierre Lassalle, Université de Toulouse II-Le Mirail, rapporteur Jean-Pierre Levet, Université de Limoges Jérôme Rousse-Lacordaire, Institut catholique de Paris 1 2 Sommaire Introduction ...................................................................................................

entend une dernière fois en confession celui qui est mourant et lui pardonne ses pêchés. Il a le droit, dès lors qu’il entend en confession, de remettre et pardonner les pêchés. C’est le sacrement qui permet au défunt de rentrer en paix dans son tombeau avec l’assurance que ses pêchés ont été pardonnés. Si le repentir est sincère, le pardon doit être accordé. La confession doit rester complètement secrète : lien entre le fidèle et le prêtre qui doit rester uniquement connu du prêtre. Un fidèle avouant