Toponymie

prénom qui permet l’homophonie avec « aima ».  Or son prénom semble en opposition avec le nom de « Bovary » qui étymologiquement renvoie à sa racine latine de « bœuf » que l’on entend dans « bov » et par la terminaison « ry », fréquente dans la toponymie normande, qui évoque ainsi doublement le cadre rural de l’histoire. Le mal de vivre du personnage éponyme du roman semble donc déjà se lire en filigrane dans la tension entre le nom et le prénom. V. UNE STRUCTURE PYRAMIDALE  On a pu mettre

l’Antiquité et un point de référence incontournable de la géographie antique. A l’instar de la grotte d’Hercule près de Tanger, évoquée déjà par Pomponius Mela et dont le nom n’a pas changé, le souvenir des mythes antiques s’est perpétué dans la toponymie et dans notre imaginaire. w *Jean-Luc Pierre est professeur d’Histoire-géographie au lycée Lyautey de Casablanca. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, notamment sur le Maroc. J abside du temple d’Hercule à lixus. J vue de l’océan depuis

Cette démonstratif se réfère à la situation d’énonciation Compléments circonstanciels de lieu  : toponymie parisienne Conclusion de la description de la rue du 17 ème arrondissement par un jugement de valeur. Le poète exprime son enthousiasme à vivre dans cet environnement urbain et moderne. Apollinaire

particulier par les terres de remblai du fossé recreusé au XIVe s. autour de l'enceinte de Philippe Auguste. Jusqu'au milieu du XIXe s., on ignorait encore l'emplacement exact des arènes ; on en avait gardé le souvenir à l’aide de textes anciens et la toponymie (le lieu fut appelé longtemps clos des Arènes). Avec les travaux d'Haussmann, le percement de la rue Monge et le lotissement des terrains riverains ces vestiges vont être mis à jour en 1869. La conservation et la restauration de ce monument de l'occupation

rom. D’après le sociologue Jean-Pierre Liégeois, on peut considérer que « les Tsiganes forment une mosaïque de groupes diversifiés et segmentarisés dont aucun ne saurait représenter un autre ». Les noms de ces groupes sont calqués sur la toponymie, comme les Karpatis des Carpates, les Polskas de Pologne ou bien des noms des métiers, souvent en slave, grec, turc ou romain, tels les Arabadjis, voiturier, Boiadjis, teinturier en turc. Outre ces différences ils possèdent vraisemblablement une

repris d'une tradition orale dont l'origine celtiques est difficilement contestable. Le rôle d'un écrivain au Moyen Age n'est pas d'inventer sa propre histoire, c'est plutôt d'adapter des histoires qui existent déjà. Le nom des personnages, la toponymie (L'ensemble des noms de lieux propres à une région, à une langue.), semble indiquer que les sources sont d'origine galloise comme le pensait déjà le médiéviste Gaston Paris au début du XXe siècle. Chrétien de Troyes a harmonisé, conjoint plusieurs

des autres entités divines.À quelque clase qu’il appartient, tout Gaulois se sentait donc intiment attaché au sol par des liens sacrés, ce dont témoignent amplement les ex-voto associes à des lieux vénérés, retrouvés en grand nombre, ainsi que la toponymie qui, des mieux étudiée, révèle peu à peu l’existence d’un paysage sacralisé dont les noms étaient fortement évocateurs. Quatre fêtes essentielles certes, mais également quatre druides primordiaux (Esras, Moriesa, Semias et Uiscias), initiés par quatre

suis un huron, lui répondit le jeune homme » L'incipit doit introduire le lecteur. Comment ce début de conte met en place la fiction et la dimension satirique ? Signe d'humour à venir : la date très précise. Champ lexical de la mer. Soit une toponymie qui permet de situer l'histoire en Bretagne. => Un cadre spatio-temporel ancré dans la réalité. Noms bretons, liens familiaux, statut social et appartenance à une communauté, esquisse d'un portrait moral. => des personnages s'inscrivant de façon

strates historiques. Le fonds gallo-latino-germanique : Le fond originel reste le latin. Le latin populaire arrivé avec les soldats romains, les commerçants latins. On compte quelques vestiges celtiques et préceltiques : les noms de lieux (toponymie), et du vocabulaire de tous les jours. S’ajoute du IV au VIIe siècle, le fond germanique. L’apport est beaucoup plus important. Les apports ultérieurs : Les doublets sont deux formes phonétiquement différentes, remontant à un même étymon.

un chat. Le « vrai » établit une relation de transitivité de type : « Si A = B, et que B = C, alors A = C. » 8 La recherche a pour but de mettre en évidence le contraste délibéré entre la toponymie réelle : Collines parfumées, Temple du Ciel, Temple des Nuages azurés, Porte de la Paix céleste, etc. et la toponymie dépréciative inventée par Amélie Nothomb : Boulevard de la Laideur habitable ; l’antithèse du « splendide » (vestiges de l’Empire Céleste) et du « hideux » (République populaire). Il ne s’agit