Torchis

arrondissements sont numérotés de 1 à 4 à partir de l’avenue centrale, et ce, de chaque côté. On pouvait donc dire « j’habite le 2e bô du 3e jô de la capitale sakyô ».(Page 16) 2. Les arrondissements : • Comme en Chine, les bô sont entourés de murs de torchis (bôchô no kaki 坊町垣) et de caniveaux (hori 堀). • Des portes (bômon 坊門) se trouvent au milieu de ces murs. Y passent des petites avenues (koji 小路) qui délimitent 4 nouveaux blocs appelés sousarrondissements (hô 保).(Page 16) 3. Les sous-arrondissements

tard ananas, noix, kakis, sucrins. Quand la nuit tombait, s'aidant d'un caillou pointu, il gravait un trait sur un bâton. Vingt jours plus tard, il avait construit sa cagna: un vrai gourbi: sol battu, trois murs, un huis, un toit fait d'un mauvais torchis. Il n'avait pas d'amadou, aussi avalait-il tout cru. Il craignit cinq ou six fois l'irruption d'un animal. Mais, par hasard (crut-il) il n'y avait sur l'glot ni lynx, ni puma, ni jaguar, ni bison. Tout au plus crut-il voir un soir à l'horizon, un

carreaux de terre Par ailleurs, beaucoup de maisons avaient des pans de bois qui assurent la structure des murs. Beaucoup de ces maisons ont été détruites dans des incendies donc on en trouve peu de traces. Les pans de bois sont comblés par du torchis, des carreaux de terre ou de la brique. ¤ Extensions urbaines L’extensions des villages sur les parcelles viticoles est proscrite dans les documents d’urbanisme de certaines communes et devrait l’être pour toutes les parcelles de l’aire AOC. Les

cinéma, le personnage. Le début du roman illustre cela « Les derniers rayons du soleil filtraient entre les dentelures des nuages. Au couchant, des vagues de vapeurs se délayaient lentement (…) Au centre de la ceinture de collines, les concessions de torchis (…) les habitants de Bakayoko-so s’étaient réunis dans la cour (…) Assise un peu à l’écart… la vieille Niakoro… » (pp.13-14) Le mouvement est le suivant : de l’immensité du ciel, puis le regard descend dans les collines, enuite dans les maisons,

château fortifié du 13e siècle, remanié aux 17e et 19e siècles entouré de douves alimentées en eau courante. Porche, donjon, charpente du Moyen âge. Dans la salle médiévale, fresque murale réalisée par Rosario La Malfa et plafond en rondins de torchis. Pièces meublées. Accueil en juillet et août tous les jours de 14h à 18h. Tarifs des visites : 5,50€ pour un adulte, gratuit pour les moins de 12 ans, 3€ pour les groupes (à partir de 10 personnes). �Famille Ramillon, 03 86 20 01 22 ou 03 58 05

rapidement devant l’un de ses adversaires, il passe la balle et marque un point. Des tonnerres d’applaudissements accompagnent le héros. Un nouveau record est battu. V6 Les synonymes Dictée préparée Certains Africains habitent des maisons en torchis. Les Inuits construisent des habitations avec de la glace, les igloos. Dans les métropoles, on élève des immeubles. On trouve parfois des bidonvilles. Les différents sens d’un mot : la polysémie et le contexte Dictée préparée Le jazz naît

propriétaire se glisse pour inspecter ses provisions. La lutte est la grande distraction des villageois et les champions locaux sont traités en héros. Les maisons des Ashantis du Ghâna, également agriculteurs, ressemblent aux nôtres. Bien qu'elles soient en torchis, elles comportent une porte et des fenêtres et sont dotées d'un toit de paille à deux pans. Pour ne pas perdre un pouce de leurs maigres terres, les Dogons du Mali et de la Volta se retirent sur des éminences rocheuses. Chaque bourg est clôturé. Leurs

matériau périssable dont on ne retrouve comme vestiges que des trous de poteaux pour l’habitat. Peu de fonds de cabane* (pièce d’habitat unique, enfouie dans le sol sur une 22 dizaine de centimètres, avec fondations parfois en pierres et cloisons en torchis et bois) ont été mis à jour sur notre territoire. Il faut cependant citer le seul site d’importance régionale concernant l’habitat du Haut Moyen Âge (476 – 1 000) en Limousin : le Bois des Brigands à Valiergues (village de Liez). Aujourd’hui sur une

nouvelle coupe destinée à fournir du bois de construction et gagner des terres cultivables nous donnait l'impression de respirer et nous mettait en joie. De temps en temps, accolées à une tour ou à une maison forte, deux ou trois huttes aux murs en torchis et toits de chaume apparaissaient au loin. Depuis notre départ et tout particulièrement après la sauveté de Castelmoron, nous n'avions croisés que très peu de monde, comme si chacun cherchait à éviter tout contact avec un groupe de cavaliers armés

quatorzième et quinzième siècles, autour duquel courait un branle de dix-huit tours, de huit portes et de quatre poternes ou portelles, — le Dijon de Philippe-le-Hardi, de Jean-sans-Peur, de Philippe-le-Bon et de Charles-le-Téméraire, avec ses maisons de torchis à pignons pointus comme le bonnet d’un fou, à façades barrées de croix de Saint-André ; avec ses hôtels embastillés, à étroites barbacanes, à doubles guichets, à préaux pavés de hallebardes : — avec ses églises, sa sainte chapelle, ses abbayes, ses